Œuvres Complètes, Volume 2 |
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Common terms and phrases
absolument infini absurde agir âme amour anciens degrés assez astronomie attribut de Dieu axiome c'est-à-dire cartésiens changemens cipes claire et distincte concevoir conclure conçoit conçu connaissance connaître conséquent Corol corollaire corps d'attributs d'idée Défin définition degrés d'être Démonstration Descartes détermine à exister Dieu est cause différentes dire doit donne effet élémens entéléchies esprits éternelle et infinie exemple existe nécessairement existence expliquer exprime une essence force hommes hypothèses idées imaginer Jupiter l'âme l'autre l'entendement l'esprit l'étendue l'existence l'imagination l'infini l'univers Leibnitz Mallebranche manière mencement ment modes modification monades mouvement n'en n'existe n'y a qu'une nature absolue nature divine néces nomènes notion objets observations par-là pensée perceptions peuvent phénomènes philosophes physiciens planètes première principes abstraits produit Prop PROPOSITION propre prouver rapport remarquer rendre raison renfer renferme représenter s'il sance saurait Scholie scolastique serait seule simples sorte suppose suppositions systèmes abstraits tance tence tion toyen triangle vague vérité Voilà vrai Zoroastre
Popular passages
Page 285 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses loix, Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 82 - Il faudra seulement prendre garde que ces rapports de l'esprit et de la matière ne sont pas entièrement justes, et qu'on ne compare ensemble ces deux choses que pour rendre l'esprit plus attentif et faire comme sentir aux autres ce que l'on veut dire.
Page 238 - II n'ya rien de contingent dans la nature, « tout est déterminé par la nécessité de la nature « divine à exister et à agir d'une façon. » . . • Démonstration. « Tout ce qui est, est en Dieu (Proposition xv). « Mais on ne peut pas dire que Dieu soit une chose « contingente, car (Proposition xi) il existe né
Page 13 - Seraient-ce des maximes si généralement reçues , que personne ne les ose contester ? // est impossible quune chose soit et ne soit pas en même temps...
Page 84 - L'étendue est capable de recevoir de deux sortes de figures. Les unes sont seulement extérieures, comme la rondeur à un morceau de cire; les autres sont intérieures, et ce sont celles qui sont propres à toutes les petites parties...
Page 79 - ... est vrai. Ici l'idée ou la perception claire et distincte n'est que la conscience de notre existence et de notre pensée : conscience qui nous est si intimement connue , que rien n'est plus évident. Il faudra donc, toutes les fois que nous voudrons faire usage de la règle , examiner si l'évidence que nous avons , égale celle de notre existence et de notre pensée. La règle ne sauroit s'étendre à des cas differens de l'exemple qui l'a fait naître. Si les Cartésiens n'avoient pas franchi...
Page 287 - Un système n'est autre chose que la disposition des différentes parties d'un art ou d'une science dans un ordre où elles se soutiennent toutes mutuellement, et où les dernières s'expliquent par les premières.
Page 143 - C'est marcher beaucoup pour faire peu de chemin ! « II y aurait, dit un philosophe moderne, bien des « remarques à faire sur l'infini. Pour abréger, je me bornerai « à dire que c'est un nom donné à une idée que nous n'avons « pas, mais que nous jugeons différente de...
Page 44 - ... alors le premier effort du génie. Tant que les maux ne furent que particuliers, aucune de ces conjectures ne se répandit assez pour devenir l'opinion générale. Mais sont-ils plus communs : est-ce la peste, par exemple, qui ravage la terre; ce phénomène fixe l'attention de tout le monde, et les hommes à imagination ne manquent pas de faire adopter les systèmes qu'ils se sont faits.
Page 94 - Les inclinations naturelles des esprits étant certainement des impressions continuelles de la volonté de celui qui les a créés et qui les conserve, il est, ce me semble, nécessaire que ces inclinations soient entièrement semblables à celles de leur créateur et de leur conservateur. Elles ne peuvent donc avoir naturellement d'autre fin principale que sa gloire, ni d'autre fin seconde que leur propre...