Études sur la vie et les oeuvres de Molière |
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acte Alceste amoureux Amphitryon Armande Arnolphe assez avaient beau Béjard Boileau Bourgeois Bourgeois gentilhomme c'était Célimène chose cœur comédie Comédie-Française comédien comique Corneille d'Alceste d'Orgon devait dévots dire dit-il Don Juan Dorine doute esprit eût faisait fallait farce Festin de Pierre fille fût gens gentilhomme Georges Dandin Grimarest Gros-Guillaume homme italienne jouer jour l'abbé Roquette l'avait l'Avare l'Ecole des Femmes l'esprit l'Hôtel de Bourgogne laisser lière livres Louis XIV lui-même Luigi Groto madame Madeleine mademoiselle de Brie mademoiselle du Parc maison Malade imaginaire Mascarille Médecin volant ment mieux Misanthrope Modène monde Montfleury n'avait n'en n'était œuvre Orgon parler passer pauvre pensée père personnage personne Philinte pièce poète Poquelin pouvait première prince de Conti public qu'un répertoire représentation reste ridicule rien rire rôle s'en s'était sait satire savait scène semble sent seul sieur sorte Soulié succès surtout Tallemant tapissier Tartuffe théâtre tion tragédie trait troupe trouve vrai
Popular passages
Page 376 - Déshonore l'autel où leur cœur sacrifie. Mais les gens comme nous brûlent d'un feu discret, Avec qui, pour toujours, on est sûr du secret. Le soin que nous prenons de notre renommée Répond de toute chose à la personne aimée; Et c'est en nous qu'on trouve, acceptant notre cœur, De l'amour sans scandale, et du plaisir sans peur.
Page 400 - Clitandre a l'heur de vous plaire si fort ? Sur quel fonds de mérite et de vertu sublime Appuyez-vous en lui l'honneur de votre estime? Est-ce par l'ongle long qu'il porte au petit doigt Qu'il s'est acquis chez vous l'estime où l'on le voit?
Page 404 - D'une vingtaine d'ans, à ne vous rien celer, Et cela ne vaut pas la peine d'en parler; Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières, De vos jeunes muguets m'inspirer les manières ; M'obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux, Et de ces blonds cheveux de qui la vaste enflure Des visages humains offusque la figure...
Page 184 - ... un bouclier du manteau de la religion, et, sous cet habit respecté, ont la permission d'être les plus méchants hommes du monde? On a beau savoir leurs intrigues...
Page 47 - Cela est vrai, elle a les yeux petits; mais elle les a pleins de feu, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir.
Page 376 - Enfin, votre scrupule est facile à détruire. Vous êtes assurée ici d'un plein secret, Et le mal n'est jamais que dans l'éclat qu'on fait . Le scandale du monde est ce qui fait l'offense , Et ce n'est pas pécher, que pécher en silence.
Page 78 - C'est, de la tête aux pieds, un homme tout mystère, Qui vous jette en passant un coup d'oeil égaré, Et sans aucune affaire est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde; A force de façons il assomme le monde : Sans cesse il a tout bas, pour rompre l'entretien...
Page 424 - Oui, je vois ces défauts dont votre âme murmure, Comme vices unis à l'humaine nature; Et mon esprit, enfin, n'est pas plus offensé, De voir un homme fourbe, injuste, intéressé, Que de voir des vautours affamés de carnage, Des singes malfaisants, et des loups pleins de rage.
Page 300 - N'avancez pas davantage, et demeurez dans cet endroit, jusqu'à ce que je vous appelle. Il fait noir comme dans un four; le ciel s'est habillé ce soir en Scaramouche, et je ne vois pas une étoile qui montre le bout de son nez. Sotte condition que celle d'un esclave! de ne vivre jamais pour soi, et d'être toujours tout entier aux passions d'un maître ! de n'être réglé que par ses humeurs, et de se voir réduit à faire ses propres affaires de tous les soucis qu'il peut prendre...
Page 184 - Au travers de son masque on voit à plein le traître : Partout il est connu pour tout ce qu'il peut être ; Et ses roulements d'yeux, et son ton radouci, N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici.