Page images
PDF
EPUB

Ainfi la farce était finie,

Au terme où je fuis parvenu

Quel mortel eft le moins à plaindre?
C'eft celui qui fait ne rien craindre,
Qui vit & qui meurt inconnu.

encore à la renommée, les progrès de la raison, & ce mouvement prodigieux qu'il a imprimé à l'efprit humain depuis le commencement de ce fiècle: voilà ce qui a fait pour lui de fes contemporains une forte de poftérité; voilà ce qui l'a mis à fa place. Toutes les voix ont applaudi à fon triomphe, & c'eft peut-être le premier où l'envie n'ait pas été même aperçue.

Fin des Contes, Satires & Poëfies mêlées.

[blocks in formation]
[blocks in formation]

Lettre de M. de Melon, ci-devant fecrétaire du régent du
royaume, à madame la comtesse de Verrue, fur l'apologie du

luxe.

116

[blocks in formation]
[blocks in formation]

Le Temps préfent, par M. Jofeph Laffichard, de plufieurs

[blocks in formation]

Quoi! pour le prix des vers accorder au vainqueur.

282

[blocks in formation]

Il faut au duc d'Ayen montrer vos vers charmans.

331

[blocks in formation]

Que j'ai goûté le plaifir de l'entendre!

Tu cherches fur la terre un vrai héros, un fage.

Vous embelliffez la retraite.

Croyez-moi, je renonce à toutes les chimères.

Reçois de cette amazone.

Vous me mandez que je fuis mort.

Je le ferai bientôt ce voyage éternel.

ADIEUX A LA VIE.

Adieu, je vais dans ce pays.

AIGUILLON. (à madame la ducheffe d')
Deux héros différens, l'un fuperbe & fauvage.

ALGAROTTI. (à M. le comte) Sonnet.

On a vanté vos murs bâtis fur l'onde.

ARGENTAL. (à madame la comtesse d')

Jean fut un faint, fi l'on en croit l'hiftoire.

372

373

ibid.

377

381

385

3go

394

291

309

302

[blocks in formation]

Vous vous plaignez à tort, on ne vous a rien pris.

346

[blocks in formation]
« PreviousContinue »