L'école des moeurs; ou, Réflexions, morales et historiques sur les maximes de la sagesse, Volume 2 |
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aimer âme arrive assez avez avoit avons ayant beau belle besoin bonheur bonté cacher cæur chagrin charité cher cherche choses chrétienne consolation contraire coup cour courage d'autres d'avoir d'être défauts demanda devant Dieu digne dire disoit dit-il divine doit donner effet ennemis esprit étoit exemple femme fils font force fortune frère garde gens gloire heureux hommes honneur jeune jour jugement juste justice l'esprit l'homme laisser lieu livre Louis lui-même main malheureux mieux mille monde mort n'en nécessaire noble nombre obligé pardonner parler paroles passer passions pauvres peines penser père personne peuples philosophes place plaisir porte pouvoir premier prince probité propre puisse qu'à qu'un quelquefois raison rare refuser regarde religion rend rendre répondit reste riches rien s'en s'il sage sagesse saint secours secret seigneur sentimens sentiment sera seroit servir seul soin sommes sort souffrir souvent soyez sujet terre trait trouve vengeance vérité vertu veut vrai yeux
Popular passages
Page 252 - Si la noblesse est vertu , elle se perd par tout ce qui n'est pas vertueux; et si elle n'est pas vertu, c'est peu de chose.
Page 278 - On sait assez qu'il ne faut guère parler de sa femme, mais on ne sait pas assez qu'on devrait encore moins parler de soi.
Page 185 - Si quelqu'un parle mal de notre personne ou de notre gouvernement, nous ne voulons point le punir" : s'il a parlé par légèreté, il faut le mépriser; si c'est par folie, il faut le plaindre; si c'est une injure, il faut lui pardonner.
Page 124 - Voyez-vous , dit-il , les effets de la bonté? Vous m'avez vu combler cet homme de richesses ; en voilà le fruit : mes bienfaits ont corrompu ce pauvre : ils ont été pour lui une source de nouveaux vices et d'une nouvelle misère. — Cela est vrai, lui répondit le sage, parce que vous avez donné à la pauvreté ce que vous ne deviez donner qu'au travail.
Page 244 - Brayer envisage son malade, se met à rire, descend chez madame de Longueville, et lui dit : « La maladie de votre gentilhomme n'est pas considérable; je vous conseille cependant de faire en sorte qu'il ne voie personne. Il ne faut pas le laisser parler.
Page 235 - Souffrez, qu'avant de subir l'interrogatoire, je vous demande, lequel d'entre vous, si le fils du prétendant se fût réfugié dans sa maison, eût été assez vil et assez lâche pour le livrer !" A cette question le tribunal se leva, et renvoya l'accusé.
Page 171 - Qu'il ne sert de rien à l'homme de gagner le monde entier, s'il vient à perdre son âme...
Page 244 - Saci ; mais je ne le crois pas de ce dernier, il n'écrit pas si bien. » A ce mot, Arnauld oubliant le rôle de son habit ef secouant vivement son ample perruque: « Que voulez-vous dire , monsieur? s'écrie-t-il; mon neveu écrit mieux que moi.
Page 62 - S'il a vu des miracles, Dieu s'est mêlé visiblement dans cet ouvrage : et s'il se...
Page 76 - Créateur , et de s'y soumettre; c'est-à-dire que c'est un fort honnête homme, à cela près qu'il a des principes qui vont à ruiner tout commerce, toute confiance entre les hommes, et...
Bibliographic information
| Title | L'école des moeurs; ou, Réflexions, morales et historiques sur les maximes de la sagesse, Volume 2 L'école des moeurs; ou, Réflexions, morales et historiques sur les maximes de la sagesse, Jean-Baptiste-Xavier Duchesne Blanchard |
| Author | Jean-Baptiste-Xavier Duchesne Blanchard |
| Publisher | Le Bailly, 1833 |
| Original from | the New York Public Library |
| Digitized | 20 Jun 2006 |
| Export Citation | BiBTeX EndNote RefMan |