Leçons et modèles de littérature française: ou, Choix de morceaux en prose et en vers tirés de meilleurs écrivains du XVIIe et du XVIIIe siècle |
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... venait toujours à l'esprit . Gourville le dit à M. le prince qui alla jusque dans la chambre de Vatel , et lui dit : " Vatel , tout va bien ; rien n'était plus beau que le souper du roi . " Il répondit : " Monseigneur , votre bonté m ...
... venait toujours à l'esprit . Gourville le dit à M. le prince qui alla jusque dans la chambre de Vatel , et lui dit : " Vatel , tout va bien ; rien n'était plus beau que le souper du roi . " Il répondit : " Monseigneur , votre bonté m ...
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... venait - il de ces glorieuses campagnes qui rendront son nom immortel , il fuyait les acclamations populaires , il rougissait de ses victoires , il venait recevoir des éloges , comme on vient de faire des apologies , et n'osait presque ...
... venait - il de ces glorieuses campagnes qui rendront son nom immortel , il fuyait les acclamations populaires , il rougissait de ses victoires , il venait recevoir des éloges , comme on vient de faire des apologies , et n'osait presque ...
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... venait vous juger en ce moment , vous pouvez presque décider ce qui vous arrivera au sortir de la vie . Or , je vous demande , et je vous le demande frappé de terreur , ne séparant point en ce point mon sort du vôtre et me mettant dans ...
... venait vous juger en ce moment , vous pouvez presque décider ce qui vous arrivera au sortir de la vie . Or , je vous demande , et je vous le demande frappé de terreur , ne séparant point en ce point mon sort du vôtre et me mettant dans ...
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... venait . Vivres , meubles , chevaux , voitures , tout était alors enlevé , et on aurait dit que les maisons des bourgeois étaient au pillage . ( Observations sur l'histoire de France . ) RAYNAL . RAYNAL ( GUILLAUME - THOMAS - FRANÇOIS ...
... venait . Vivres , meubles , chevaux , voitures , tout était alors enlevé , et on aurait dit que les maisons des bourgeois étaient au pillage . ( Observations sur l'histoire de France . ) RAYNAL . RAYNAL ( GUILLAUME - THOMAS - FRANÇOIS ...
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... venait de s'ouvrir , et Hippocrate acheva paisiblement une révolution qui a changé la face de la médecine . Ni l'amour du gain , ni le désir de la célébrité , n'animè- rent ses travaux . On ne vit jamais dans son BARTHÉLEMY . 107.
... venait de s'ouvrir , et Hippocrate acheva paisiblement une révolution qui a changé la face de la médecine . Ni l'amour du gain , ni le désir de la célébrité , n'animè- rent ses travaux . On ne vit jamais dans son BARTHÉLEMY . 107.
Contents
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Common terms and phrases
âme assez avaient avez beau Bichonne Biscotin Bossuet bras brillant Brisquet bruit Bug-Jargal c'était carrière cent chien chose ciel cœur CORMENIN Corneille Démétrius Desfonandrès devant Dieu Dimanche dire discours dit-il Don Juan Duguay-Trouin écrivain éloquence Érostrate femme Fénelon force gardes-françaises génie gloire guerre Hacker Henri IV Heureux les morts Hippocrate Histoire naturelle hommes humain j'ai jamais jeune jour l'Académie française l'esprit l'Europe l'histoire l'homme laisser lettres long-temps Louis XIV Mably madame de Sévigné main maison maître malades malheureux Massillon ment mille Mirabeau mœurs Molière monde Monsieur Montesquieu monuments morts qui meurent mourut naquit nation noble ouvrage ovipares parole passer patrie pauvre pensée père peuple philosophie pieds place pleure porte pouvait presque prince publia qu'un regard réputation reste révolution rien Roche-Bernard sais sciences Seigneur semble sentiment serait seul Sganarelle siècle soldats sort style sublime succès talent terre tête tion trouve Vatel victoire voilà voix Yago yeux
Popular passages
Page 29 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 252 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle on bâtit sur le sable ; Plus on est élevé, plus on court de dangers ; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois que les toits des bergers.
Page 341 - J'ai faim, dit-il ; et bien vite Je sers piquette et pain bis ; Puis il sèche ses habits. Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.
Page 279 - C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit. Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée. Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d'orner son visage, Pour réparer des ans l'irréparable outrage. « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; « Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi.
Page 31 - Mademoiselle, cousine germaine du roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de MONSIEUR. Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vousmême, si vous dites que nous avons menti, que cela est faux, qu'on se moque de vous, que voilà une belle raillerie, que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures, nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres...
Page 249 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme...
Page 269 - Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout le mal.
Page 267 - Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 296 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines ; C'est le sang de...
Page 332 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé , Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.