Histoire complète de la révolution française, Volume 6Silvestre, 1837 - France |
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... génie , il parlait d'une expédition en Irlande comme d'une diversion nécessaire pour rompre les mau- vais desseins , les dangereuses pratiques de l'Angleterre . C'est là que Puisaye agissait contre nous , tandis que le déloyal Cormatin ...
... génie , il parlait d'une expédition en Irlande comme d'une diversion nécessaire pour rompre les mau- vais desseins , les dangereuses pratiques de l'Angleterre . C'est là que Puisaye agissait contre nous , tandis que le déloyal Cormatin ...
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... génie de son grand ministre , notre implacable ennemi , paraissait vraiment à craindre . Les hommes ne manquaient pas à la cour de Vienne , mais pour les équiper et les solder , elle avait besoin de la Grande - Bretagne . Celle - ci ...
... génie de son grand ministre , notre implacable ennemi , paraissait vraiment à craindre . Les hommes ne manquaient pas à la cour de Vienne , mais pour les équiper et les solder , elle avait besoin de la Grande - Bretagne . Celle - ci ...
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... génie de l'entreprise , refusa de faire aider par les troupes réglées les chouans qui en toute hâte s'é- taient mis à l'ouvrage . Ces derniers seuls augmentèrent les retranchemens du fort Penthièvre , en construisant de nou- velles ...
... génie de l'entreprise , refusa de faire aider par les troupes réglées les chouans qui en toute hâte s'é- taient mis à l'ouvrage . Ces derniers seuls augmentèrent les retranchemens du fort Penthièvre , en construisant de nou- velles ...
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... 'avait plus comprise depuis la chute du plus grand des ministres à ses yeux . Elle mettait presque du génie daus ses ouvrages , et peu de tenue dans sa conduite poli- tique ; du reste , accueillant tout le monde et VI . 3.
... 'avait plus comprise depuis la chute du plus grand des ministres à ses yeux . Elle mettait presque du génie daus ses ouvrages , et peu de tenue dans sa conduite poli- tique ; du reste , accueillant tout le monde et VI . 3.
Page 73
... génie de la révolution , seul ca- pable de la maintenir après l'avoir sauvée . Enfin , le 4 brumaire an iv ( 26 octobre 1795 ) , à deux heures et demie , le président prononça la formule sui- vante : La Convention nationale déclare que ...
... génie de la révolution , seul ca- pable de la maintenir après l'avoir sauvée . Enfin , le 4 brumaire an iv ( 26 octobre 1795 ) , à deux heures et demie , le président prononça la formule sui- vante : La Convention nationale déclare que ...
Common terms and phrases
anglais armée armes attaquer Augereau Autrichiens avaient Babeuf Barras bataille Bataille d'Aboukir Bernadotte bientôt Bonaparte braves brumaire camp Carnot cavalerie cents Championnet citoyens Clairfayt Clichyens colonnes comité commandement conseil des Cinq-Cents conspiration constitution Convention Cormatin Corps législatif courage déclara décret députés Desaix devait directeurs Directoire division Égypte émigrés ennemis envoya force fructidor général en chef gloire gouvernement guerre Hoche Italie Jacobins Joubert jour Jourdan Kléber Kray l'Adige l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'ennemi laisser Laréveillère liberté Lonato madame de Staël Mantoue marche Masséna ment Milan mille hommes mille soldats ministre Moreau mort Murat n'avait naparte nationale négociations nouvelle ordres paix passer patrie patriotes peuple Pichegru Piémont porter position pouvait pouvoir prairial premier consul prince Charles proclamation projet proposition représentans républicains république reste révolution révolutionnaires Rewbel Rhin royalistes Russes s'était Sieyès sorte Stofflet succès Suwarow tête tion tribunat troupes trouvait vaisseaux vendémiaire victoire victorieux vint voulait voulut Wurmser
Popular passages
Page 573 - République ; de respecter et de faire respecter » les lois du concordat et la liberté des cultes ; de » respecter et faire respecter l'égalité des droits , la » liberté politique et civile , l'irrévocabilité des ventes » des biens nationaux ; de ne lever aucun impôt , » de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du...
Page 149 - Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert : grâces vous en soient rendues, soldats ! La patrie reconnaissante vous devra sa prospérité; et si, vainqueurs de Toulon, vous présageâtes l'immortelle campagne de 1793,^ vos victoires actuelles en présagent une plus belle encore.
Page 167 - Soldats ! vous vous êtes précipités comme un torrent du haut de l'Apennin ; vous avez culbuté, dispersé, tout ce qui s'opposait à votre marche. Le Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous, et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité.
Page 149 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 486 - Depuis long-temps , général , vous devez savoir que mon estime vous est acquise. Si vous doutiez que je fusse susceptible de reconnaissance , marquez votre place , fixez le sort de vos amis.
Page 486 - J'ai reçu, monsieur, votre lettre; je vous remercie des choses honnêtes que vous m'y dites. Vous ne devez pas souhaiter votre retour en France; il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres. Sacrifiez votre intérêt au repos et au bonheur de la France...
Page 308 - Pour obtenir une Constitution fondée sur la raison, il y avait dix-huit siècles de préjugés à vaincre ; La Constitution de l'an III et vous, avez triomphé de tous ces obstacles ; La religion, la féodalité et le royalisme ont successivement, depuis vingt siècles, gouverné l'Europe; mais de la paix que vous venez de conclure date l'ère des gouvernements représentatifs...
Page 149 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout ; vous avez gagné des batailles sans canon, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert.
Page 574 - En prenant le titre d'empereur, en voulant le rendre héréditaire » dans sa famille, Bonaparte vient de mettre le sceau à son usurpation. » Ce nouvel acte d'une révolution, où tout dès l'origine a été nul, ne » peut sans doute infirmer mes droits, mais comptable de ma conduite...
Page 573 - Tout ce qui peut contribuer au bien de la Patrie est essentiellement lié à mon bonheur. J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.