Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 - Classical literature |
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... traits de Cicéron ou de Démosthene , est montée dans la tribune d'Athenes et de Rome , avec cet air de grandeur qu'elle devait avoir dans les anciennes républiques , et ce caractere énergique et fier , si naturel- lement empreint sur le ...
... traits de Cicéron ou de Démosthene , est montée dans la tribune d'Athenes et de Rome , avec cet air de grandeur qu'elle devait avoir dans les anciennes républiques , et ce caractere énergique et fier , si naturel- lement empreint sur le ...
Page 4
... traits brillans de Lucain , tout l'esprit de Pline et de Séneque , les pointes de Martial , n'ont servi qu'à nous faire sentir davantage quels hommes c'étaient que Cicéron , Virgile et Catulle . La Grece ne peut plus se glorifier que de ...
... traits brillans de Lucain , tout l'esprit de Pline et de Séneque , les pointes de Martial , n'ont servi qu'à nous faire sentir davantage quels hommes c'étaient que Cicéron , Virgile et Catulle . La Grece ne peut plus se glorifier que de ...
Page 15
... traits , qui préparait pour la chaire tant de citations heureuses et brillantes . S. Au- gustin est certainement le plus beau génië de l'Église latine : il est impossible d'avoir plus d'esprit et d'imagination ; mais on convient qu'il ...
... traits , qui préparait pour la chaire tant de citations heureuses et brillantes . S. Au- gustin est certainement le plus beau génië de l'Église latine : il est impossible d'avoir plus d'esprit et d'imagination ; mais on convient qu'il ...
Page 60
... traits . et même des morceaux pleins d'une verve satyrique , originale et piquante ; et après tout , on ne saurait croire qu'un auteur que Lafontaine lisait sans cesse et dont il a souvent profité , n'ait été qu'un fou vulgaire 60 ...
... traits . et même des morceaux pleins d'une verve satyrique , originale et piquante ; et après tout , on ne saurait croire qu'un auteur que Lafontaine lisait sans cesse et dont il a souvent profité , n'ait été qu'un fou vulgaire 60 ...
Page 108
... traits heureux et dont on a pu profiter ; car à cette épo- que , comme je l'ai déjà dit , celui qui se trompe souvent et qui rencontre quelquefois , ne laisse pas d'être utile . C'est une épreuve où l'art doit absolument passer , et ce ...
... traits heureux et dont on a pu profiter ; car à cette épo- que , comme je l'ai déjà dit , celui qui se trompe souvent et qui rencontre quelquefois , ne laisse pas d'être utile . C'est une épreuve où l'art doit absolument passer , et ce ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 442 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 127 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 161 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 429 - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
Page 386 - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
Page 338 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Page 413 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Page 208 - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes vœux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
Page 99 - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
Page 217 - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.