Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne;Chez H. Agasse, 1798 - Classical literature |
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Page 97
... main qui la ploya Et qui vers moi de grace l'envoya ; Bienheureux est qui envoyer la sut , Et plus heureux celui qui la reçut . Il peint avec une vérité touchante le regret qu'il eut , et l'effort qu'il se fit en jetant cette lettre au ...
... main qui la ploya Et qui vers moi de grace l'envoya ; Bienheureux est qui envoyer la sut , Et plus heureux celui qui la reçut . Il peint avec une vérité touchante le regret qu'il eut , et l'effort qu'il se fit en jetant cette lettre au ...
Page 119
... main du Dieu darde tonnerre ( 3 ) , ( 4 ) Montre la Terre au Ciel et le Ciel à la Terre . Desportes écrivit beaucoup plus purement que Ronsard et ses imitateurs . Il effaça la rouille im- primée à notre versification , et la tira du ...
... main du Dieu darde tonnerre ( 3 ) , ( 4 ) Montre la Terre au Ciel et le Ciel à la Terre . Desportes écrivit beaucoup plus purement que Ronsard et ses imitateurs . Il effaça la rouille im- primée à notre versification , et la tira du ...
Page 131
... main la lyre de Malherbe , et en tira même quelques sons assez heureux dans l'ode sur la bataille de Lens . On a remarqué cette strophe , la seule qui en effet soit belle , et qui de plus a été imitée par l'auteur de la Henriadé . monte ...
... main la lyre de Malherbe , et en tira même quelques sons assez heureux dans l'ode sur la bataille de Lens . On a remarqué cette strophe , la seule qui en effet soit belle , et qui de plus a été imitée par l'auteur de la Henriadé . monte ...
Page 197
... main . Mais Phénice la rassuré en fidelle suivante : Donnez - vous , s'il vous plaît , un peu de patience ,. Et de votre beauté faites expérience . Sachez ce qu'elle vaut et ce que vous pouvez . Mais comment le savoir si vous ne l ...
... main . Mais Phénice la rassuré en fidelle suivante : Donnez - vous , s'il vous plaît , un peu de patience ,. Et de votre beauté faites expérience . Sachez ce qu'elle vaut et ce que vous pouvez . Mais comment le savoir si vous ne l ...
Page 198
... main que des yeux . Voilà encore l'agréable alternative , des yeux et de la main . Mais on a quelque peine à concevoir pourquoi cette veuve si résignée craint tant que le chagrin n'ait altéré ses appas . Ce n'est pas du moins celui qu'a ...
... main que des yeux . Voilà encore l'agréable alternative , des yeux et de la main . Mais on a quelque peine à concevoir pourquoi cette veuve si résignée craint tant que le chagrin n'ait altéré ses appas . Ce n'est pas du moins celui qu'a ...
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Common terms and phrases
Acomat acte aime amour Andromaque assez Atalide Bajazet beau beautés Bérénice Boileau Britannicus Burrhus caractere César Chimene chose Cinna Cléopâtre cœur Corneille Cours de littér crime Curiaces d'Acomat d'Hermione défauts desirs dire doit dramatique Émilie ennemis eût Fontenelle François Ier frere génie genre gloire goût grace Grecs hémistiche Hermione heureux homme Horaces idées imité j'ai jamais jour l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisser langage langue long-tems lumieres malheureux maniere Mariamne Marot ment mérite modele morceaux mort Narcisse Néron Osmin ouvrages parler passion pensée pere personnages Phénice piece plaisir poëme poésie poëte poétique Polyeucte premier premiere prince Pyrrhus qu'un Racine raison reste rien Rodrigue rôle Romains Rome Ronsard Roxane s'il Sabine sang scene seigneur sentimens sentiment serait serrail Sertorius seul siecle Sophonisbe sort spectateur style sublime succès sujet sultane Syphax talent tems théâtre tion tragédie tragique trouve tyran venger versification veut Viriate Voilà Voltaire vrai yeux دو
Popular passages
Page 442 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 127 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.
Page 161 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 429 - II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle...
Page 386 - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux ; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée, Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié.
Page 338 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux, Et, de la même main dont il quitte l'épée Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et d'un style plaintif Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Page 413 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais ; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Page 208 - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes vœux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
Page 99 - Droit à l'étable, où deux chevaux trouva; Laisse le pire, et sur le meilleur monte, Pique et s'en va. Pour abréger le conte, Soyez certain qu'au partir du dit lieu N'oublia rien, fors à me dire adieu.
Page 217 - Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras, jadis l'effroi d'une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d'infamie, Si je n'eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son roi.