Elle était à moitié couverte de sable, dans l'attitude où nous l'avions vue périr. Ses traits n'étaient point sensiblement altérés. Ses yeux étaient fermés; mais la sérénité était encore sur son front : seulement les pâles violettes de... Paul et Virginie - Page 187by Bernardin de Saint-Pierre - 1836 - 226 pagesFull view - About this book
| Bernardin de Saint-Pierre - Nature - 1788 - 488 pages
...'traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés ; mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondoient sur ses joues avec les roses de la pudeur. Une de ses mains étoit sur ses habits, et... | |
| ST. GILES OXFORD - 1788 - 636 pages
...Ses^itraits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux ètoient fermés ; mais 'la sérénité étoit encore sur son front :% seulement les pâles violettes de la mort se confondoiënt sur ses joues avec les rosés de la pudeur. Une de ses mains éloit sur ses habits, et... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 456 pages
...était à moitié couverte de sable, dans l'attitude où nous l'avions vu périr. Ses traits n'étaient point sensiblement altérés. Ses yeux étaient fermés...de la mort se confondaient sur ses joues avec les rosés de la pudeur. Une de ses mains était sur ses habits, et l'autre , qu'elle appuyait sur son... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 338 pages
...traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés ; mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondaient PAOLO E VIRGINIA. i6j • vklenza. Vi sono infatti de' mali così grandi e cosi poco meritati, che... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1795 - 506 pages
...traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés ; mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondoient ridenza. Vi sono infatti de' mali così grandi e così poco meritati , che la virtù anche... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - Natural history - 1797 - 464 pages
...était à moitie couverte de sable, dans l'àtthu'de où nous l'avions vu périr. Ses traits n'étaient point sensiblement altérés. 'Ses yeux étaient fermés...Une- de- ses mains était sur ses habits, et l'autre, qu^elle-appuyait sar son cœnr,; était fortement fermée et roidie. J'en dégageai avec peine une... | |
| Jacques Henri Bernardin de Saint Pierre - 1824 - 430 pages
...traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés : mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondoient sur ses joues avec les roses de la pudeur. Une de ses mains étoit sur ses habits, et... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - French literature - 1825 - 408 pages
...à moitié couverte de sable , dans l'attitude où nous l'avions vue périr. Ses traits n'étaient point sensiblement altérés. Ses yeux étaient fermés;...de la mort se confondaient sur ses joues avec les rosés de la pudeur. Une de ses mains était sur ses habits; et l'autre, qu'elle appuyait sur son cœur... | |
| French language - 1831 - 286 pages
...traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés ; mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondoient sur ses joues avec les rosés de la pudeur. Une de ses mains étoit sur ses habits, et... | |
| Nicholas Marcellus Hentz - 1833 - 282 pages
...traits n'étoient point sensiblement altérés. Ses yeux étoient fermés ; mais la sérénité étoit encore sur son front : seulement les pâles violettes de la mort se confondoient sur ses joues avec les rosés de la pudeur. Une de ses mains étoit gur ses habits, et... | |
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