Annales Franc-Comtoises, Volume 6Nicolas François Louis Besson 1866 - Franche-Comté (France) |
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âmes archevêque de Besançon assez avaient Baudoncourt beau Bellefontaine Besançon Bourguignons c'était cent livres chanoines de Saint-Etienne chapelle château cher Chiflet chocolat chose chrétien Clément cœur colonge colongères comté de Bourgogne comtois coutume curé d'Ornans Desmares devait Dieu donner donnons Doubs église élevé enfants enfin famille femme fiefs fille franc-comtois Franche-Comté gens Grand'Combe-des-Bois Granvelle Gustave habitants hommes horlogère j'ai jeune jeunesse jour justice l'abbé Mougin l'archevêque l'église l'histoire laisser Lemercier lettre loi Gombette longtemps Luxeuil main mainmorte maison Mathay ment mère Millot monde Monsieur Montarlot Montgesoye mort Mougin moutarde blanche n'avait n'était noble Ornans ouvriers parlement paroisse passer pauvres payer pensée père personne peuple porte pouvait premier prêtre province qu'un religieuses religion reste rien romain royaume de Bourgogne s'était saint Saint-Jean savait science seigneur sentiments Séquanie sera seul siècle société sorte terre de Luxeuil tion titre trouve Ursulines venait Vesoul vieille vieux village Visoncourt Voilà vrai yeux
Popular passages
Page 379 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit...
Page 315 - Et moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
Page 398 - Essai de bibliographie et d'histoire, contenant la reproduction de plaquettes rares et curieuses et le catalogue raisonné des ouvrages et mémoires relatifs à l'histoire de Bourbonne et de ses thermes; par le docteur E.
Page 379 - Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique ; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'Etat, je le ferai savoir au Gouvernement.
Page 81 - Je voudrais découvrir quelle était alors la société des hommes, comment on vivait dans l'intérieur des familles, quels arts étaient cultivés, plutôt que de répéter tant de malheurs et tant de combats, funestes objets de l'histoire, et lieux communs de la méchanceté humaine.
Page 448 - Morellet , et son cœur de moi ; et il est bien vrai que c'est, le cœur seul qui m'a dicté cette petite lettre. Nous avons préféré, ne pouvant pas avoir PascalCondorcet, à Chapelain-Lemierre et à Cotin-Chabanon , Eutrope-Millot , qui a du moins le mérite d'avoir écrit l'histoire en philosophe , et de ne s'être jamais souvenu qu'il était jésuite et prêtre.
Page 283 - Saint-Jean jouissait de celte prérogative et SaintEtienne arguait d'une possession antérieure qu'il prétendait n'avoir perdue que par suite d'un incendie. « Cette querelle divisait la ville entière, et chacun des partis se défendait à l'aide de toutes les ruses de la chicane, d'où résultait un grand scandale (2).
Page 401 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page 329 - mon fils, je suis cxlrêmeiment touché de la mort de Granvelle ; car nous avons perdu, vous >et moi, un bon lit de repos: > /. /. 180.
Page 328 - Je suis en doux lieux où je vous ai souhaité mille et mille fois, parce que je suis certain que vous les jugeriez à propos pour philosopher, et dignes de l'habitation des muses, avec force belles montagnes hautes jusqu'au ciel, fertiles à tous...