La libre recherche: revue universelle, Volume 18La libre recherche, 1860 |
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avaient beau beauté idéale c'était cachif catholique cause chameau chose chrétienne clergé concile conscience conséquences crime d'autres devant développement Dieu dire divine doctrine Dongolah donner esprits Étienne Marcel évêques fausses décrétales femme force général genre humain gens Goethe gouvernement Grégoire Grégoire VII guerre Guizot Hamlet Hegel hommes idées individuelle individus Innocent III intelli intelligence Jean Meslier jour justice l'art l'auteur l'Église l'empire l'esprit l'État l'histoire l'homme l'humanité l'idéal l'idée l'unité Laërte laisse Laurent législation liberté LIBRE RECHERCHE livre lois lord Cornwallis madame Ducocq mademoiselle Berthe main ment monarchie universelle monde morale moyen âge nations œuvre Ophélia pallium papauté pape passé pensée peuple philosophie Pierre Clément poëme poëte politique pouvoir première prêtres princes principe progrès puissance qu'un raison réalité Réforme religieux religion Renard reste révolution rien rois romaine Rome Sablonnière saint science semble sentiment serait seul siècle société sorte spirituel temporel théorie tion trouve Twyford type intelligible ultramontains vérité Voilà vrai
Popular passages
Page 323 - Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura des biens éternels à espérer ou non, qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et jugement, qu'en la réglant par la vue de ce point, qui doit être notre dernier objet.
Page 241 - Séries 11, p. 7. offre dans cet Hercule un corps idéal au-dessus de la nature, ou, si l'on veut, un corps viril dans la perfection de l'âge et au-dessus des besoins corporels.
Page 209 - Je n'ai jamais répété ces vulgaires flatteries ; j'ai cru que le peuple avait droit et besoin de devenir capable et digne d'être libre, c'est-à-dire d'exercer, sur ses destinées privées et publiques, la part d'influence que les lois de Dieu accordent à l'homme dans la vie et la société humaines. C'est pourquoi, tout en ressentant pour les détresses matérielles...
Page 285 - Vondel, de Goethe et de Schiller; il donnera une idée sommaire de ces œuvres, des ressources que son art peut y trouver et des principaux personnages qui y figurent. Les lauréats pourront indiquer eux-mêmes au jury les ouvrages qui ont fait particulièrement l'objet de leurs études.
Page 21 - On semble disposé à nous abandonner l'évêché de Spire, Trêves et le Luxembourg jusqu'à la Meuse qui deviendrait notre limite : recevez cela en indemnité et donnez-nous la paix. Donnez-nous la paix, dussions-nous même rentrer dans nos anciennes limites : nous serons encore assez grands, plus grands peut-être, puisque nous prouverons ainsi au monde que nous n'avons pris les armes que pour notre liberté, et que nous l'avons conquise sur nos ennemis de l'intérieur et de l'extérieur.
Page 179 - ... les empires, les royaumes, les principautés, les duchés , les marquisats , les comtés et les biens de tous les hommes...
Page 175 - Esprit, en vertu de la puissance accordée aux « apôtres et aux successeurs des apôtres , de lier « et de délier dans le ciel et sur la terre , tous « ensemble nous décrétons que Leudaste, se...
Page 226 - L'idéal dans le beau comme en tout, écrit Cousin, est la négation du réel, et la négation du réel n'est pas une chimère, mais une idée. Ici l'idée est le général pur, l'absolu dégagé de la partie individuelle. L'idéal, c'est le réel moins l'individuel ; voilà la différence qui les sépare...
Page 226 - L'idéal dans le beau, comme en tout, est la négation du réel, et la négation du réel n'est pas une chimère, mais une idée. Ici l'idée est le général pur, l'absolu dégagé de la partie individuelle. L'idéal, c'est le réel moins l'individuel ; voilà la différence qui les sépare; leur rapport consiste en ce que l'idéal, sans être tout le réel, est dans le réel, dans cette partie du réel qui, pour paraître dans sa généralité pure, n'a besoin que d'être abstraite de la partie...
Page 198 - XXII, i57.) jours été de défendre ma liberté. Je n'ai aucun mauvais dessein contre le pape. Je suis prêt à lui accorder toutes ses demandes; mais quant à ma religion, personne n'a le droit de s'en mêler, chacun étant libre en cela de suivre ses propres sentiments (1). Mon père m'a toujours vivement recommandé de maintenir cette liberté ; quand même le ciel menacerait ruine , je resterai ferme et inébranlable dans mes convictions. » La liberté religieuse était incompatible avec le...