Oeuvres choisies: disposées d'après l'ordre chronologique, avec une biographie, des notes critiques, grammaticales, historiques, des notices et des illustrations documentairesLibrairie A. Hatier, 1925 - 1068 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 6
... fut baptisé le lende- main . ( Archives Municipales de Mâcon , G. G. 75 , p . 178 ) . 2. Le Manuscrit de ma mère , p . 296 . ventions ; comme si le romanesque avait dû , jusqu'au. La maison natale de Lamartine ,. 6 LAMARTINE.
... fut baptisé le lende- main . ( Archives Municipales de Mâcon , G. G. 75 , p . 178 ) . 2. Le Manuscrit de ma mère , p . 296 . ventions ; comme si le romanesque avait dû , jusqu'au. La maison natale de Lamartine ,. 6 LAMARTINE.
Page 9
... main , sou- tenant de l'autre main la voiture dans les mauvais pas ; ses deux chiens tenus en laisse et deux chariots , pleins de femmes de chambre , d'ustensiles , de bagages , sui- vaient au pas ; puis venait la voiture , aussi à ...
... main , sou- tenant de l'autre main la voiture dans les mauvais pas ; ses deux chiens tenus en laisse et deux chariots , pleins de femmes de chambre , d'ustensiles , de bagages , sui- vaient au pas ; puis venait la voiture , aussi à ...
Page 67
... main prudente , Je dirige le soc entre un double sillon ; De l'autre , armé de l'aiguillon , Je presse de mes bœufs la démarche trop lente ; Moi - même , saisissant la faux , J'abats dans les guérets la moisson jaunissante , Ou , la ...
... main prudente , Je dirige le soc entre un double sillon ; De l'autre , armé de l'aiguillon , Je presse de mes bœufs la démarche trop lente ; Moi - même , saisissant la faux , J'abats dans les guérets la moisson jaunissante , Ou , la ...
Page 138
... main , Céleste messager , porte un flambeau divin ; Quand mon œil fatigué se ferme à la lumière , Tu viens d'un jour plus pur inonder ma paupière ; Et l'espoir près de toi , rêvant sur un tombeau , Appuyé sur la foi , m'ouvre un monde ...
... main , Céleste messager , porte un flambeau divin ; Quand mon œil fatigué se ferme à la lumière , Tu viens d'un jour plus pur inonder ma paupière ; Et l'espoir près de toi , rêvant sur un tombeau , Appuyé sur la foi , m'ouvre un monde ...
Page 152
... main , ou bien qu'on la blas- phème , Soumis ou révolté , qu'on te craigne ou qu'on t'aime ; Toujours , c'est toujours toi ! Hélas ! ainsi que vous j'invoquai l'Espérance ; Mon esprit abusé but avec complaisance Son philtre empoisonneur ...
... main , ou bien qu'on la blas- phème , Soumis ou révolté , qu'on te craigne ou qu'on t'aime ; Toujours , c'est toujours toi ! Hélas ! ainsi que vous j'invoquai l'Espérance ; Mon esprit abusé but avec complaisance Son philtre empoisonneur ...
Common terms and phrases
Alphonse de Lamartine âme amour astres beau beauté Belley bords brillant bruit Byron céleste chants charme château de Montceau Chateaubriand ciel cieux cœur Cognets d'Elvire Dargaud décembre dernier Dieu dieux divin doux écrit édition Élysées Énéide enfants fleurs flots flottant front Génie du Christianisme gloire Harmonies heures homme Hugo Ischia J'ai jeune Jocelyn jour l'âme l'amour l'aurore l'homme l'immortalité l'ombre laisse Lamar Lamennais Lanson Laurence lettre à Virieu loin lord Byron Mâcon main maison mère Milly Mme Charles Mme de Lamartine mois monde Montlevon mort mourir Naples nature Nouvelles Méditations nuage nuit octobre ombre passage passé pensée père Phédon philosophie pieds pleurs poème poésie poète poétique première qu'un rayon regard Remarque René Doumic rêve saint Saint-Point Saül semble sens sentiment seul silence Socrate soir soleil sort souffle soupirs souvenir strophe sublime temple terre tombe tombeau UNIV vague vallon vent Victor Hugo voile voix voyage yeux
Popular passages
Page 162 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 149 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours: Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 903 - Aléa jacta est / Que Dieu et le peuple prononcent. Il faut laisser quelque chose à la Providence; elle est la lumière de ceux qui, comme nous, ne peuvent pas lire dans les ténèbres de l'avenir.
Page 113 - Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 163 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! 'Assez de malheureux ici-bas vous implorent: Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Page 164 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?
Page 166 - Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire, Descend avec lenteur de son char de victoire : Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux , Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue. Comme une lampe d'or dans l'azur suspendue , La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon , Et le voile des nuits sur les monts se déplie. C'est l'heure où la nature, un moment recueillie...
Page 162 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 224 - Nous chanterons ensemble assis sous le jasmin, Jusqu'à l'heure où la lune, en glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Page 164 - Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...