Oeuvres choisies: disposées d'après l'ordre chronologique, avec une biographie, des notes critiques, grammaticales, historiques, des notices et des illustrations documentairesLibrairie A. Hatier, 1925 - 1068 pages |
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Page 38
... Cieux , Éternité de la Nature , brièveté de l'Homme . Lamartine publia ce Cantique dans le Cours familier de Litté- rature . Il le recueillit , avec le Rossignol , dans ses Euvres complètes ( Édition de l'auteur , 1860-66 ) . I Qu'as ...
... Cieux , Éternité de la Nature , brièveté de l'Homme . Lamartine publia ce Cantique dans le Cours familier de Litté- rature . Il le recueillit , avec le Rossignol , dans ses Euvres complètes ( Édition de l'auteur , 1860-66 ) . I Qu'as ...
Page 83
... cieux ! Cette Invocation donne le ton des entretiens ; près de Mme Charles , Lamartine vivait en un mirage de paradis ; il séraphisait obstinément , avec délices ... K Le 26 octobre arriva , qui était le jour depuis longtemps fixé où l ...
... cieux ! Cette Invocation donne le ton des entretiens ; près de Mme Charles , Lamartine vivait en un mirage de paradis ; il séraphisait obstinément , avec délices ... K Le 26 octobre arriva , qui était le jour depuis longtemps fixé où l ...
Page 87
... cieux Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux . Il commence une seconde strophe : De la reine des nuits le char mélancolique Éclairait faiblement tes rivages déserts ... Il s'arrête encore ; une autre ...
... cieux Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux . Il commence une seconde strophe : De la reine des nuits le char mélancolique Éclairait faiblement tes rivages déserts ... Il s'arrête encore ; une autre ...
Page 112
... cieux , Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre , Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ? 35 40 29-32 . M. Lanson rapproche ce passage lyrique de J.-J. Rous- seau Mon cœur inquiet te cherche et ne trouve rien . Le soleil se ...
... cieux , Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre , Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ? 35 40 29-32 . M. Lanson rapproche ce passage lyrique de J.-J. Rous- seau Mon cœur inquiet te cherche et ne trouve rien . Le soleil se ...
Page 121
... Il aspire à recouvrer son rang ... » ( Article sur le Suicide , paru dans le Conservateur du 9 octobre 1819 , pendant que Lamartine écrivait ses vers ) . L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux MÉDITATIONS POÉTIQUES 121.
... Il aspire à recouvrer son rang ... » ( Article sur le Suicide , paru dans le Conservateur du 9 octobre 1819 , pendant que Lamartine écrivait ses vers ) . L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux MÉDITATIONS POÉTIQUES 121.
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 162 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 149 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours: Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 903 - Aléa jacta est / Que Dieu et le peuple prononcent. Il faut laisser quelque chose à la Providence; elle est la lumière de ceux qui, comme nous, ne peuvent pas lire dans les ténèbres de l'avenir.
Page 113 - Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 163 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! 'Assez de malheureux ici-bas vous implorent: Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Page 164 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?
Page 166 - Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire, Descend avec lenteur de son char de victoire : Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux , Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue. Comme une lampe d'or dans l'azur suspendue , La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon , Et le voile des nuits sur les monts se déplie. C'est l'heure où la nature, un moment recueillie...
Page 162 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 224 - Nous chanterons ensemble assis sous le jasmin, Jusqu'à l'heure où la lune, en glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Page 164 - Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...