Oeuvres choisies: disposées d'après l'ordre chronologique, avec une biographie, des notes critiques, grammaticales, historiques, des notices et des illustrations documentairesLibrairie A. Hatier, 1925 - 1068 pages |
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Page 38
... bords duquel Lamartine allait souvent en promenade , soit avec ses camarades , soit seul avec le Père Varlet , qui serait le silencieux compagnon , « le sacré vieillard » dépeint à la strophe VII .. On remarquera ( toutes réserves ...
... bords duquel Lamartine allait souvent en promenade , soit avec ses camarades , soit seul avec le Père Varlet , qui serait le silencieux compagnon , « le sacré vieillard » dépeint à la strophe VII .. On remarquera ( toutes réserves ...
Page 40
... bords viendrait s'unir en chœur , Boirait ta goutte d'eau comme dans une coupe , Et riderait ton sein d'un battement de cœur . Ton écume vagabonde , Le limon , la feuille immonde , Qui roulent avec ton onde , 65 Ne terniraient plus tes ...
... bords viendrait s'unir en chœur , Boirait ta goutte d'eau comme dans une coupe , Et riderait ton sein d'un battement de cœur . Ton écume vagabonde , Le limon , la feuille immonde , Qui roulent avec ton onde , 65 Ne terniraient plus tes ...
Page 58
... bords du Tibre , et tout y est mort , jusqu'à ce vieil orgueil républicain qui s'est changé en une vile et servile vanité , le seul trait prononcé du caractère romain ... >> Description un peu travaillée , mais qui rend bien l'effet des ...
... bords du Tibre , et tout y est mort , jusqu'à ce vieil orgueil républicain qui s'est changé en une vile et servile vanité , le seul trait prononcé du caractère romain ... >> Description un peu travaillée , mais qui rend bien l'effet des ...
Page 61
... bords du lac Majeur et la Suisse , il s'achemina vers Mâcon , où il arrivait enfin dans les premiers jours de mai . Ce voyage d'Italie n'avait pas seulement apporté une diver- sion à son oisiveté morose . « Il élargit son horizon , il ...
... bords du lac Majeur et la Suisse , il s'achemina vers Mâcon , où il arrivait enfin dans les premiers jours de mai . Ce voyage d'Italie n'avait pas seulement apporté une diver- sion à son oisiveté morose . « Il élargit son horizon , il ...
Page 64
... bords riants , frais bocages , Où l'Arno promène ses eaux ? Qu'êtes - vous devenus , magnifiques rivages Où la mer de Tyrrhène , à l'abri des orages , Entoure Naples de ses flots ? Et vous brûlants aspects , sublimes paysages Qu'admira ...
... bords riants , frais bocages , Où l'Arno promène ses eaux ? Qu'êtes - vous devenus , magnifiques rivages Où la mer de Tyrrhène , à l'abri des orages , Entoure Naples de ses flots ? Et vous brûlants aspects , sublimes paysages Qu'admira ...
Common terms and phrases
Alphonse de Lamartine âme amour astres beau beauté Belley bords brillant bruit Byron céleste chants charme château de Montceau Chateaubriand ciel cieux cœur Cognets d'Elvire Dargaud décembre dernier Dieu dieux divin doux écrit édition Élysées Énéide enfants fleurs flots flottant front Génie du Christianisme gloire Harmonies heures homme Hugo Ischia J'ai jeune Jocelyn jour l'âme l'amour l'aurore l'homme l'immortalité l'ombre laisse Lamar Lamennais Lanson Laurence lettre à Virieu loin lord Byron Mâcon main maison mère Milly Mme Charles Mme de Lamartine mois monde Montlevon mort mourir Naples nature Nouvelles Méditations nuage nuit octobre ombre passage passé pensée père Phédon philosophie pieds pleurs poème poésie poète poétique première qu'un rayon regard Remarque René Doumic rêve saint Saint-Point Saül semble sens sentiment seul silence Socrate soir soleil sort souffle soupirs souvenir strophe sublime temple terre tombe tombeau UNIV vague vallon vent Victor Hugo voile voix voyage yeux
Popular passages
Page 162 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 149 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours: Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 903 - Aléa jacta est / Que Dieu et le peuple prononcent. Il faut laisser quelque chose à la Providence; elle est la lumière de ceux qui, comme nous, ne peuvent pas lire dans les ténèbres de l'avenir.
Page 113 - Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 163 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! 'Assez de malheureux ici-bas vous implorent: Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Page 164 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?
Page 166 - Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire, Descend avec lenteur de son char de victoire : Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux , Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue. Comme une lampe d'or dans l'azur suspendue , La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon , Et le voile des nuits sur les monts se déplie. C'est l'heure où la nature, un moment recueillie...
Page 162 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 224 - Nous chanterons ensemble assis sous le jasmin, Jusqu'à l'heure où la lune, en glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Page 164 - Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...