Oeuvres choisies: disposées d'après l'ordre chronologique, avec une biographie, des notes critiques, grammaticales, historiques, des notices et des illustrations documentairesLibrairie A. Hatier, 1925 - 1068 pages |
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... Dieu . La nature me fait monter au cœur mille réflexions et une espèce de mélancolie qui me plaît ; je ne sais ce que c'est , si ce n'est une consonance secrète de notre âme infinie avec l'infini des œuvres de Dieu 1 . » Mme de ...
... Dieu . La nature me fait monter au cœur mille réflexions et une espèce de mélancolie qui me plaît ; je ne sais ce que c'est , si ce n'est une consonance secrète de notre âme infinie avec l'infini des œuvres de Dieu 1 . » Mme de ...
Page 32
... Dieu » . Le 12 novembre 1808 , dans une lettre à Virieu , il exprime le désir « de retourner à Belley ... visiter cette tribune où il allait prier Dieu trois ou quatre fois par jour ... » Cinquante ans plus tard , cet incendie de son ...
... Dieu » . Le 12 novembre 1808 , dans une lettre à Virieu , il exprime le désir « de retourner à Belley ... visiter cette tribune où il allait prier Dieu trois ou quatre fois par jour ... » Cinquante ans plus tard , cet incendie de son ...
Page 72
... Dieu , mais ce Dieu nous frappe toujours par où nous avons péché . Adieu , en reprenant de l'âme j'ai repris de la piété : je n'en suis guère digne , mais je prie Dieu pour toi et pour moi . Fais - en autant si tu t'y sens quelque goût ...
... Dieu , mais ce Dieu nous frappe toujours par où nous avons péché . Adieu , en reprenant de l'âme j'ai repris de la piété : je n'en suis guère digne , mais je prie Dieu pour toi et pour moi . Fais - en autant si tu t'y sens quelque goût ...
Page 118
... dieu du mal opposé par la mythologie persane au dieu du bien Ormuzd . Arimane y paraît « sur son trône , qui est un globe de feu , entouré par les Esprits . Et une Destinée entonne un hymne à sa gloire , en ces termes : « Gloire à ...
... dieu du mal opposé par la mythologie persane au dieu du bien Ormuzd . Arimane y paraît « sur son trône , qui est un globe de feu , entouré par les Esprits . Et une Destinée entonne un hymne à sa gloire , en ces termes : « Gloire à ...
Page 119
... Dieu t'a marqué ta place : Comment pourquoi ? qui sait ? De ses puissantes mains Il a laissé tomber le monde et les humains , Comme il a dans nos champs répandu la poussière , Ou semé dans les airs la nuit et la lumière ; Il le sait ...
... Dieu t'a marqué ta place : Comment pourquoi ? qui sait ? De ses puissantes mains Il a laissé tomber le monde et les humains , Comme il a dans nos champs répandu la poussière , Ou semé dans les airs la nuit et la lumière ; Il le sait ...
Common terms and phrases
Alphonse de Lamartine âme amour beau Belley bords brise bruit Byron Cédar céleste chant château de Montceau Chateaubriand ciel cieux cœur COGNETS Daïdha Dargaud dernier désert Dieu dieux divin doux Énéide enfants femme fleurs flots flottant front Girondins gloire goutte Graziella Harmonies heures Homère homme Hugo humain Ischia J'ai jeune Jocelyn jour l'âme l'amour l'aurore l'homme l'ombre laisse Lamar Lanson larmes Laurence lettre lèvres lord Byron Louis BARTHOU Mâcon main maison matin Méditations mère Milly Mme Charles Mme de Lamartine mois monde montagnes Montlevon monts mort mourir murmure Naples nature nuage nuit ombre passé pensée père peuple Phédon philosophie pieds pleurs poème poésie poète politique premier qu'un rayon regard René Doumic rêve Révolution roule saint Saint-Point Saül semble sens sentiment seul siècle silence sillon Socrate soir soleil sort souffle soupirs strophe terre tombe tombeau UNIV vague vallon vent Vergniaud Victor Hugo Virieu voile voix yeux
Popular passages
Page 160 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Page 147 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours: Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 901 - Aléa jacta est / Que Dieu et le peuple prononcent. Il faut laisser quelque chose à la Providence; elle est la lumière de ceux qui, comme nous, ne peuvent pas lire dans les ténèbres de l'avenir.
Page 111 - Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 161 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! 'Assez de malheureux ici-bas vous implorent: Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Page 162 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?
Page 164 - Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire, Descend avec lenteur de son char de victoire : Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux , Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue. Comme une lampe d'or dans l'azur suspendue , La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon , Et le voile des nuits sur les monts se déplie. C'est l'heure où la nature, un moment recueillie...
Page 160 - LE LAC Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 222 - Nous chanterons ensemble assis sous le jasmin, Jusqu'à l'heure où la lune, en glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Page 162 - Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...