| René Descartes - 1824 - 518 pages
...orgueil , ou un désespoir, ou un parricide. Je révérois notre théologie , et prétendois autant qu'aucun autre à gagner le ciel: mais ayant appris,...intelligence , je n'eusse osé les soumettre à la foiblesse de mes raisonnements; et je pensois que , pour entreprendre de les examiner et y réussir,... | |
| René Descartes - 1824 - 524 pages
...opgueil , ou un désespoir, ou un parricide. *s Je révérois notre théologie , et prétendois autant qu'aucun autre à gagner le ciel: mais ayant appris,...intelligence , je n'eusse osé les soumettre à la foiblesse de mes raisonnements ; et je pensois que , pour entreprendre de les examiner et y réussir,... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...désespoir, ou un parricide. (n) Je révérais notre théologie, et prétendais autant qu'aucun antre à gagner le ciel ; mais ayant appris , comme chose...assurée, que le chemin n'en est pas moins ouvert aux plus ignorans qu'aux plus doctes, et que les vérités révélées qui y conduisent sont au-dessus de notre... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...orgueil, ou un désespoir, ou un parricide. (n) Je révérais notre théologie, et prétendais autant qu'aucun autre à gagner le ciel ; mais ayant appris , comme chose très assurée, que le chemin n'eu est pas moins ouvert aux plus ignorans qu'aux plus doctes, et que les vérilés révélées qui... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...ayant appris, comme chose très-assurée, que le chemin n'en est pas moins ouvert aux plus ignorans qu'aux plus doctes, et que les vérités révélées...notre intelligence, je n'eusse osé les soumettre a la faiblesse de mes raisonnemens ; et je pensais que , pour entreprendre de les examiner et y réussir,... | |
| Philosophy - 1853 - 596 pages
...qu'aux plus doctes ''' rités' révélées qui y conduisent sont au-Aéssns.' de Mukihtelligencc , je n'eusse osé les soumettre à la faiblesse de mes...raisonnements , et je pensais que pour entreprendre de les efcàminer, il fallait quelque extraordinaire assïstan'cfe' Ûu' 'cfèT, et êtrc plus qu'homme. »... | |
| Francisque Bouillier - 1854 - 634 pages
...temps que les mathématiques : « Je révérais, dit-il , notre théologie et je prétendais autant qu'aucun autre à gagner le ciel, mais ayant appris...n'eusse osé les soumettre à la faiblesse de mes raisonnemen Is et je pensais que pour en treprendre de les examiner et y réussir, il étail besoin... | |
| Arsène Houssaye - Authors, French - 1856 - 396 pages
...prétendais autant qu'aucun « autre à gagner le ciel; mais j'ai appris, comme chose « très-assurée, que le chemin n'en est pas moins ouvert « aux plus ignorants qu'aux plus doctes, et que les vé« rités révélées qui y conduisent sont au-dessus de no,i tre intelligence. « Je ne dirai rien... | |
| Arsène Houssaye - Authors, French - 1857 - 424 pages
...autre à gagner le ciel; mais j'ai appris, i comme chose très-assurée, que le chemin n'en est ras « moins ouvert aux plus ignorants qu'aux plus doctes,...que les vérités révélées qui y conduisent sont au« dessus de notre intelligence. « Je ne dirai rien de la philosophie, sinon que, « voyant qu'elle... | |
| Alsace (France) - 1863 - 588 pages
...prétendais autant qu'aucun autre à gagner le ciel ; * mais ayant appris , comme chose très-assurée, que le chemin n'en < est pas moins ouvert aux plus...ignorants qu'aux plus doctes , et que les * vérités qui y conduisent , sont au-dessus de notre intelligence , je •• n'eusse osé les soumettre à la... | |
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