Oeuvres complettes de M. Marmontel, historiographe de France ... |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
ainſi anciens aſſez auſſi avoit beau beautés belle c'eſt c'étoit caractère cauſe Chaire chaleur Chant choſes Cicéron Comédie comique commun couleurs crime Critique d'être Déclamation demande Dénouement Deviſe Dialogue Dieu dire doit donner doute Eloquence employé eſt étoit exemple fond font force forme général génie genre gloire goût grecs homme imitation j'ai jeune juger l'ame l'art l'autre l'Eloquence l'eſprit l'expreſſion l'homme l'orateur l'un langue lieu lorſque lui-même malheur ment mieux modèle Molière monde morale mort mots mouvement moyens Muſique n'en n'eſt nature naturel objet parler parole paſſions pathétique peine peint père peuple place Poème Poéſie poète porte premier propre qu'à qu'un quelquefois raiſon règle rendre ridicule rien Rome s'il ſans ſcène ſentiment ſeroit ſes ſeul ſoit ſon ſont ſouvent ſtyle ſujet ſur tableau théâtre tion touchant Tragédie traits trouve vérité veut vices vient vive Voilà voit voix Voyez vrai yeux
Popular passages
Page 75 - Ainsi de piège en piège, et d'abîme en abîme, Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas, ils ont des rois égaré le plus sage.
Page 81 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée Lorsqu'il verra sa fille, à...
Page 52 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Page 365 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 75 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 5 - Tout mortel doit ici paraître ; On ne peut naître Que pour mourir. De cent maux le trépas délivre ; Qui cherche à vivre Cherche à souffrir.
Page 51 - C'est devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé, dans ce moment, de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du TrèsHaut dans des temples couverts de chaume; j'ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j'ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion.
Page 363 - Des vainqueurs fumants de carnage, Un peuple au fer abandonné , Des mères pâles et sanglantes, Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné.
Page 448 - Des mères pâles et sanglantes Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d'un soldat effréné. Juges insensés que nous sommes, Nous admirons de tels exploits ! Est-ce donc le malheur des hommes, Qui fait la vertu des grands rois...
Page 166 - Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! J'ai lu Malherbe et Théophile.