Exercices de conversation; ou, Recueil de scènes tirées des œuvres de nos meilleurs auteurs dramatiques contemporains, Issue 17 |
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... vivement les deux battants de la croisée . Fran- çois I. reste en dehors sur le balcon . La porte du fond s'ouvre et donne passage à Charles - Quint . ) SCÈNE II . Les mémes . Charles - Quint . L'Empereur ! --- venir .... Henri . Quoi ...
... vivement les deux battants de la croisée . Fran- çois I. reste en dehors sur le balcon . La porte du fond s'ouvre et donne passage à Charles - Quint . ) SCÈNE II . Les mémes . Charles - Quint . L'Empereur ! --- venir .... Henri . Quoi ...
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... avez de grandes préventions .... me deman- dait tout - à - l'heure bien vivement des nouvelles du roi . Henri . Qui donc , Sire ? Charles - Quint . Un Français .... le connétable de Bourbon ! Henri . Sire , de grâce , ne prononcez pas 32.
... avez de grandes préventions .... me deman- dait tout - à - l'heure bien vivement des nouvelles du roi . Henri . Qui donc , Sire ? Charles - Quint . Un Français .... le connétable de Bourbon ! Henri . Sire , de grâce , ne prononcez pas 32.
Page 33
... vivement la croisée et paraissant sur le bord du balcon ) . Il en a menti ! Charles - Quint . Ah ! Le roi de France ! François I. Lui - même ! aussi bien , et fût - ce au milieu de nos ennemis , nous aimons à paraître ! Charles - Quint ...
... vivement la croisée et paraissant sur le bord du balcon ) . Il en a menti ! Charles - Quint . Ah ! Le roi de France ! François I. Lui - même ! aussi bien , et fût - ce au milieu de nos ennemis , nous aimons à paraître ! Charles - Quint ...
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... vivement . Mon père ...... je vous en remercie pour lui , vous faites honneur à sa prudence . prudence . D'Espignac , comment trouves - tu les plans de campagne de la duchesse ? d'Espignac . Très poétiques , monseigneur , c'est une ...
... vivement . Mon père ...... je vous en remercie pour lui , vous faites honneur à sa prudence . prudence . D'Espignac , comment trouves - tu les plans de campagne de la duchesse ? d'Espignac . Très poétiques , monseigneur , c'est une ...
Page 133
... vivement . On ne sait comment ? .... Coquenet , continuant . „ Risque de tout perdre .... " Çà se pourrait bien .... et ça ne m'étonnerait pas , d'après ce qu'on sait de lui . . . . .... Un homme indigne ! 1er Baigneur . 2ème Baigneur ...
... vivement . On ne sait comment ? .... Coquenet , continuant . „ Risque de tout perdre .... " Çà se pourrait bien .... et ça ne m'étonnerait pas , d'après ce qu'on sait de lui . . . . .... Un homme indigne ! 1er Baigneur . 2ème Baigneur ...
Common terms and phrases
Albert amis arrive aurait avez avons beau Bernardet Bertrand Blondeau Bouvard Caroline Catherine cause Charles-Quint cher chercher chose Cloth compte comte conseil coup cousin Pierre demande Desgaudets Dieu dire disait donner duchesse Dutillet Edition Edmond enfant Est-ce êtes Eugénie fais femme ferai Fierdonjon fils François frère garde gens Guise haut Henri heure homme j'ai jeune jour l'autre laisse Louis loup Lucien Machicoulis madame mademoiselle main Manon Maxence Melle des Tournelles Mercadet mère messieurs mieux mille Mme de Lestrelle Mme de Saint-Prix Mme Langlois Mme Leclerc monde monseigneur monsieur n'ai n'en Nangis narrateur Oscar parler passe pauvre pense PERSONNAGES personne petit peuple place porte pourra premier président qu'une Raymond regarde réponds reste rien Ropiquet s'il sais Savenay savez SCÈNE sera seul Sire sœur sommes sort tante tenez trouvé Ursule vais venez vérité vieille cousine vient Villequier vivement voilà voix voulez voyez vrai
Popular passages
Page 17 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 14 - LE LOUP ET LE CHIEN. UN loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
Page 15 - D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car, quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée! Tout à la pointe de l'épée ! Suivez-moi, vous aurez un bien meilleur destin.
Page 18 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 17 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 18 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes Seigneur, En les croquant beaucoup d'honneur. Et quant au Berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 18 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 17 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 12 - La navigation fut heureuse : elles arrivent à Surate, non pour amasser des richesses, comme les marchands, mais pour se faire bien traiter par les Indous. A peine furent-elles entrées dans une maison destinée aux souris, qu'elles y prétendirent les premières places.
Page 18 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.