Exercices de conversation; ou, Recueil de scènes tirées des œuvres de nos meilleurs auteurs dramatiques contemporains, Issue 17 |
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Le narrateur . dit - il au glouton . Le loup . L'herbe tendre et fleurie , Le narrateur . lui répondit le loup . Le loup . Vous savez que rien n'est plus doux que de paitre dans une verte prairie émaillée de fleurs , pour apaiser 4 .
Le narrateur . dit - il au glouton . Le loup . L'herbe tendre et fleurie , Le narrateur . lui répondit le loup . Le loup . Vous savez que rien n'est plus doux que de paitre dans une verte prairie émaillée de fleurs , pour apaiser 4 .
Page 36
Ah ! vous ne savez pas ce que c'est que le joug de ces vieux pré- cepteurs de rois ! En vérité ! François I. Charles - Quint . Je voulais , moi , qu'on vous donnât pour prison un palais , avec une lieue de forêt pour la promenade et la ...
Ah ! vous ne savez pas ce que c'est que le joug de ces vieux pré- cepteurs de rois ! En vérité ! François I. Charles - Quint . Je voulais , moi , qu'on vous donnât pour prison un palais , avec une lieue de forêt pour la promenade et la ...
Page 49
Savez - vous qu'à votre place votre père n'aurait pas balance ? Guise , vivement . Mon père ...... je vous en remercie pour lui , vous faites honneur à sa prudence . D'Espignac , comment trouves - tu les plans de campagne de la duchesse ...
Savez - vous qu'à votre place votre père n'aurait pas balance ? Guise , vivement . Mon père ...... je vous en remercie pour lui , vous faites honneur à sa prudence . D'Espignac , comment trouves - tu les plans de campagne de la duchesse ...
Page 52
Vous me voyez dans de vives inquiétudes , ma fille ; vous savez l'imprudence qu'on a fait commettre au coi . Le roi . Qu'est - il donc arrivé ? Catherine . La ville est encombrée de soldats , et les pauvres habitants se demandent pour ...
Vous me voyez dans de vives inquiétudes , ma fille ; vous savez l'imprudence qu'on a fait commettre au coi . Le roi . Qu'est - il donc arrivé ? Catherine . La ville est encombrée de soldats , et les pauvres habitants se demandent pour ...
Page 54
Vous voilà toute tremblante ...... de quoi avez - vous peur ? ce n'est rien : vous savez bien qu'il est impossible qu'il y ait de danger . ( Entre d'Elbenne . ) Ah ! c'est vous . d'Elbenne . Arrivez donc ! quelle nouvelle ? que veulent ...
Vous voilà toute tremblante ...... de quoi avez - vous peur ? ce n'est rien : vous savez bien qu'il est impossible qu'il y ait de danger . ( Entre d'Elbenne . ) Ah ! c'est vous . d'Elbenne . Arrivez donc ! quelle nouvelle ? que veulent ...
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Albert amis arrive aurait avez avons beau Bernardet Bertrand Blondeau Bouvard Caroline Catherine Charles-Quint cher chercher chose compte comte conseil coup cousin Pierre demande Desgaudets Dieu dire disait donner duchesse Dutillet Edmond enfant Est-ce êtes Eugénie fais femme ferai Fierdonjon fils François frère garde gens Guise haut Henri heure homme j'ai jeune jour l'autre laisse Louis loup Lucien Machicoulis madame mademoiselle main Manon Maxence Melle des Tournelles mémes Mercadet mère messieurs mieux mille Mme de Lestrelle Mme de Saint-Prix Mme Langlois Mme Leclerc monde monseigneur monsieur n'ai n'en Nangis narrateur Oscar parler passe pauvre pense PERSONNAGES personne petit peuple place porte pourra premier président qu'une Raymond regarde réponds reste rien Ropiquet s'il sais Savenay savez SCÈNE sera seul Sire sœur sommes sort tante tenez trouvé Ursule vais venez vérité vieille cousine vient Villequier vivement voici voilà voix voudrais voulez voyez vrai
Popular passages
Page 19 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 16 - LE LOUP ET LE CHIEN. UN loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
Page 17 - D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car, quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée! Tout à la pointe de l'épée ! Suivez-moi, vous aurez un bien meilleur destin.
Page 20 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 19 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 20 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes Seigneur, En les croquant beaucoup d'honneur. Et quant au Berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 20 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 19 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 14 - La navigation fut heureuse : elles arrivent à Surate, non pour amasser des richesses, comme les marchands, mais pour se faire bien traiter par les Indous. A peine furent-elles entrées dans une maison destinée aux souris, qu'elles y prétendirent les premières places.
Page 20 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.