Exercices de conversation; ou, Recueil de scènes tirées des œuvres de nos meilleurs auteurs dramatiques contemporains, Issue 17 |
From inside the book
Results 1-5 of 40
Page 31
J'entends des pas .... on monte .... on vient .... la porte s'ouvre .... rentrez . ( Il referme vivement les deux battants de la croisée . Fran- çois I. reste en dehors sur le balcon . La porte du fond s'ouvre et donne passage à Charles ...
J'entends des pas .... on monte .... on vient .... la porte s'ouvre .... rentrez . ( Il referme vivement les deux battants de la croisée . Fran- çois I. reste en dehors sur le balcon . La porte du fond s'ouvre et donne passage à Charles ...
Page 47
Je tiendrai deux jours facilement : dans deux jours mes régiments sont aux portes : on parle- mentera , et je demanderai les Etats - Généraux . De toute façon c'était là que j'en voulais venir . Il me fallait les Etats - Généraux pour ...
Je tiendrai deux jours facilement : dans deux jours mes régiments sont aux portes : on parle- mentera , et je demanderai les Etats - Généraux . De toute façon c'était là que j'en voulais venir . Il me fallait les Etats - Généraux pour ...
Page 48
... les portes fermées , et des bouches à feu sur les remparts . Guise . Et comment justifierez - vous votre échauffourée ? car encore vous faut - il une excuse . La duchesse . Voilà qui est bien difficile .
... les portes fermées , et des bouches à feu sur les remparts . Guise . Et comment justifierez - vous votre échauffourée ? car encore vous faut - il une excuse . La duchesse . Voilà qui est bien difficile .
Page 59
Montez à cheval , sire , et venez sur l'heure avec nous droit à l'hôtel de Guise ; nous avons encore assez de pieux et de madriers pour en faire tomber les portes . Le roi . Vraiment ! Vous croyez qu'il serait encore temps de surprendre ...
Montez à cheval , sire , et venez sur l'heure avec nous droit à l'hôtel de Guise ; nous avons encore assez de pieux et de madriers pour en faire tomber les portes . Le roi . Vraiment ! Vous croyez qu'il serait encore temps de surprendre ...
Page 62
Je crois toujours qu'ils vont forcer les portes . Ils me tueront , bien sûr . Mais non , ils ne me tueront pas : ils n'oseront pas dans ce pays - ci .... Pauvre reine Marie ! on pourtant trouvé un bourreau pour la tuer !
Je crois toujours qu'ils vont forcer les portes . Ils me tueront , bien sûr . Mais non , ils ne me tueront pas : ils n'oseront pas dans ce pays - ci .... Pauvre reine Marie ! on pourtant trouvé un bourreau pour la tuer !
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Common terms and phrases
Albert amis arrive aurait avez avons beau Bernardet Bertrand Blondeau Bouvard Caroline Catherine cause Charles-Quint cher chercher chose Cloth compte comte conseil coup cousin Pierre demande Desgaudets Dieu dire disait donner duchesse Dutillet Edition Edmond enfant Est-ce êtes Eugénie fais femme ferai Fierdonjon fils François frère garde gens Guise haut Henri heure homme j'ai jeune jour l'autre laisse Louis loup Lucien Machicoulis madame mademoiselle main Manon Maxence Melle des Tournelles Mercadet mère messieurs mieux mille Mme de Lestrelle Mme de Saint-Prix Mme Langlois Mme Leclerc monde monseigneur monsieur n'ai n'en Nangis narrateur Oscar parler passe pauvre pense PERSONNAGES personne petit peuple place porte pourra premier président qu'une Raymond regarde réponds reste rien Ropiquet s'il sais Savenay savez SCÈNE sera seul Sire sœur sommes sort tante tenez trouvé Ursule vais venez vérité vieille cousine vient Villequier vivement voilà voix voulez voyez vrai
Popular passages
Page 17 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 14 - LE LOUP ET LE CHIEN. UN loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
Page 15 - D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car, quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée! Tout à la pointe de l'épée ! Suivez-moi, vous aurez un bien meilleur destin.
Page 18 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 17 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 18 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes Seigneur, En les croquant beaucoup d'honneur. Et quant au Berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 18 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 17 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 12 - La navigation fut heureuse : elles arrivent à Surate, non pour amasser des richesses, comme les marchands, mais pour se faire bien traiter par les Indous. A peine furent-elles entrées dans une maison destinée aux souris, qu'elles y prétendirent les premières places.
Page 18 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.