Exercices de conversation; ou, Recueil de scènes tirées des œuvres de nos meilleurs auteurs dramatiques contemporains, Issue 17 |
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... Raymond , premier ministre . Cécile , sa pupille . Herminie de Guibert , sœur de Raymond . La marquise de Savenay , cousine de Cécile . Lucien de Villefranche , député , ami de Raymond . Belleau , garçon de bains . Trois Baigneurs . La ...
... Raymond , premier ministre . Cécile , sa pupille . Herminie de Guibert , sœur de Raymond . La marquise de Savenay , cousine de Cécile . Lucien de Villefranche , député , ami de Raymond . Belleau , garçon de bains . Trois Baigneurs . La ...
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... Raymond qui , jadis avocat médiocre , est devenu ministre .... on ne sait comment .... " Lucien , vivement . On ne sait comment ? .... Coquenet , continuant . " Risque de tout perdre .... " Çà se pourrait bien .... et ça ne m'étonnerait ...
... Raymond qui , jadis avocat médiocre , est devenu ministre .... on ne sait comment .... " Lucien , vivement . On ne sait comment ? .... Coquenet , continuant . " Risque de tout perdre .... " Çà se pourrait bien .... et ça ne m'étonnerait ...
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... Raymond tenant sous le bras une liasse de papiers . Lucien . Enfin , te voilà , mon cher Raymond arrives tard ! .... Raymond . .... comme tu Que veux - tu ? on n'est pas le maitre , quand on est ministre : on ne s'appartient plus . Le ...
... Raymond tenant sous le bras une liasse de papiers . Lucien . Enfin , te voilà , mon cher Raymond arrives tard ! .... Raymond . .... comme tu Que veux - tu ? on n'est pas le maitre , quand on est ministre : on ne s'appartient plus . Le ...
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... Raymond . Où done ? Lucien . Raymond . Pendant notre promenade en mer . Un combat naval ? Lucien . Justement . Je t'ai défendu contre ta sœur et son mari , qui t'attaquaient vivement . Raymond ( souriant ) En vérité ! c'est amusant ...
... Raymond . Où done ? Lucien . Raymond . Pendant notre promenade en mer . Un combat naval ? Lucien . Justement . Je t'ai défendu contre ta sœur et son mari , qui t'attaquaient vivement . Raymond ( souriant ) En vérité ! c'est amusant ...
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Victor Richon. Raymond . Et ce que j'ai fait obtenir dernièrement à son mari .... Lucien . Précisément , lui confier une opération aussi im- portante , c'était déjà un tort , ou du moins une fai- blesse à toi d'avoir cédé .... Raymond ...
Victor Richon. Raymond . Et ce que j'ai fait obtenir dernièrement à son mari .... Lucien . Précisément , lui confier une opération aussi im- portante , c'était déjà un tort , ou du moins une fai- blesse à toi d'avoir cédé .... Raymond ...
Common terms and phrases
2nd edition Albert amis avez Baigneur Bernardet Bertrand Biron Blondeau bon de Machicoulis Bouvard çà Catherine Cécile Charles-Quint cher de Thimbray chien Cloth bds comte Coquenet cousin Pierre Crillon cte de Fierdonjon d'Elbenne d'Espignac déjeuner Desgaudets Desrouseaux dire duchesse Dutillet Edmond English Est-ce êtes Eugénie et Caroline Exercises François FRENCH frère GERMAN Guise Gustave Henri Herminie homme j'ai j'aurais j'en Jean Chouan Justin Louchard Louis loup Lucien madame Gallois Madame Langlois Madame Leclerc mademoiselle maman Manon Maxence Melle des Tournelles mémes messieurs mis de Malespine Mme de Lestrelle Mme de Lucenay Mme de Saint-Prix Mme de Savenay Mme Langlois Mme Leclerc Mme Mercadet monde monseigneur monsieur Montlucar Nangis narrateur Ornano Oscar Pardon parler perroquet PERSONNAGES peuple Pigenat président puff Qu'est-ce Raymond regarde rien Ropiquet Saint-Estève SCÈNE Schools Sénaut sera seul Sire sœur tout-à-l'heure Ursule vais vieille cousine Villequier Villeroy Virginie Vocabulary voilà voulez-vous
Popular passages
Page 17 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 14 - LE LOUP ET LE CHIEN. UN loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
Page 15 - D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car, quoi ! rien d'assuré ! point de franche lipée! Tout à la pointe de l'épée ! Suivez-moi, vous aurez un bien meilleur destin.
Page 18 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 17 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 18 - Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non. Vous leur fîtes Seigneur, En les croquant beaucoup d'honneur. Et quant au Berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 18 - Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse. Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché? Non, non. Vous leur fîtes, seigneur, En les croquant, beaucoup d'honneur. Et quant au berger, l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire.
Page 17 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 12 - La navigation fut heureuse : elles arrivent à Surate, non pour amasser des richesses, comme les marchands, mais pour se faire bien traiter par les Indous. A peine furent-elles entrées dans une maison destinée aux souris, qu'elles y prétendirent les premières places.
Page 18 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.