| Mme. Gabrielle de Paban - Demonology - 1819 - 266 pages
...encopeplusde bruit. On l'accusa de battre les gens la nuit, d'enfoncer les portes, de briser les fenêtres, de déchirer les habits, et de vider les cruches et...bouteilles. C'était un mort bien altéré. Je crois qu'il n'épargna que la maison du consul, chez qui nous logions. Tout le monde avait l'imagination... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Vampires - 1820 - 310 pages
...d'enfoncer les portes et même les terrasses , de briser les fenêtres , de déchirer les vêtemens , de vider les cruches et les bouteilles. C'était un mort bien altéré : je crois qu'il n'épargna que la maison du consul chez qui nous logions. » Cependant je n'ai rien vu de si... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Magic - 1844 - 672 pages
...lorsqu'on le transportait de la campagne à l'église pour l'enterrer, et que, par conséquent , c'étail un vrai broucolaque; c'était le refrain. Enfin, on...bouteilles. C'était un mort bien altéré. Je crois, ajoute Tournelort, qu'il n'épargna que la maison du consul chez qui nous logions. — Mais tout le monde... | |
| Mathias de Giraldo - Occultism - 1846 - 346 pages
...de bruit. On l'accusa de battre les gens la nuit, d'enfoncer les portes , de briser les fenêtres , de déchirer les habits et de vider les cruches et...bouteilles. C'était un mort bien altéré. Je crois qu'il n'épargna que la maison du consul, chez qui nous logions. Tout le monde avait l'imagination... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy, Jacques-Paul Migne - Dreams - 1848 - 604 pages
...broucolaque. C'était le refrain. Enfin, on fut d'avis de brûler le cœur du mort, qui, après celte exécution, ne fut pas plus docile qu'auparavant....de vider les cruches et les bouteilles. C'était un morí bien altéré. Je crois, ajoute Tourneforl, qu'il n'épargna que la maison du consul chez qui... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Magic - 1853 - 602 pages
...mort, qui, après cette exécution, ne fut pas plus docile qu'auparavant, un l'accusa encore de batiré les gens la nuit , d'enfoncer les portes, de déchirer...les cruches et les bouteilles. C'était un mort bien allere. Je crois, ajoute Tournelorl, qu'il n'épargna que la maison du consul chez qui nous logions.... | |
| Louis Pierre F. Adolphe Chesnel de la Charbouclais (marq. de.) - 1856 - 690 pages
...de bruil. Ou l'accusa de battre les gens la nui! , d'enfoncer les portes, de briser les fenêtres , de déchirer les habits et de vider les cruches et...bouteilles. C'était un mort bien altéré. Je crois qu'il n'épargna que la maison du consul , chez qui nous logions. Tout le monde avait l'imagination... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Oracles - 1860 - 604 pages
...qu'il n'était pas roide, lorsqu'on le transportait de la campagne à l'église pour l'enterrer, el que, par conséquent, c'était un vrai broucolaque....ajoute Tournefort, qu'il n'épargna que la maison <lu consul chez qui nous logions. Mais tout le monde avait l'imagination renversée ; «•'était... | |
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