Les ennéades de Plotin, tr., accompagnées de sommaires, de notes [&c.] par M.-N. Bouillet, Volume 1 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Les Ennéades de Plotin ...: Tr... . en Français ... et Précédées de la Vie ... Plotinus,Porphyry No preview available - 2014 |
Les Enneades de Plotin ...: Tr. ... En Francais ... Et Precedees ..., Volume 3 Plotinus,Marie Nicolas Bouillet,Porphyry No preview available - 2014 |
Common terms and phrases
acte âme anima animaux appelle arriver astres auteur avons beau beauté besoin bonheur c'est-à-dire cause changement choses ciel cité complète composé connaissance considère consiste contemplation contraire corps d'Aristote d'être Démiurge déterminer développement Dieu différence dire divine division doctrine doit donne écrits effet elle-même emprunté enfin Ennéades espèce essence facultés forme général génération Gnostiques grec haut hommes idées image incorporelles intelligible l'âme l'Ame universelle l'autre l'essence l'être l'homme l'intelligence l'objet l'ordre l'un l'univers lieu livre lui-même lumière manière matière ment monde monde intelligible mouvement nature naturelle nécessaire note objets ouvrages parfaite parler passage passions pensée Père philosophie place Platon Plotin Porphyre possède premier présent produit propre puissance pure qu'une qualité raison rapport réel regarde reste rien s'il sagesse saint saurait science second sens sensation sensible sent séparée serait seulement sorte substance suivant sujet supérieure terre théorie trad traduction traité trouve véritable vertu Voici volume
Popular passages
Page 426 - S4-6, p, 104-108. tous les degrés de l'échelle, d'un seul beau corps à deux, de deux à tous les autres, des beaux corps aux beaux sentiments, des beaux sentiments aux belles connaissances, jusqu'à ce que, de connaissances en connaissances...
Page 179 - Or cette liaison ou cet accommodement de toutes les choses créées à chacune, et de chacune à toutes les autres, fait que chaque substance simple a des rapports qui expriment toutes les autres, et qu'elle est par conséquent un miroir vivant perpétuel de l'univers.
Page 310 - Disons la cause qui a porté le suprême ordonnateur à produire et à composer cet univers. Il était bon , et celui qui est bon n'a aucune espèce d'envie. Exempt d'envie, il a voulu que toutes choses fussent, autant que possible , semblables à lui-même. Quiconque, instruit par des hommes sages, admettra ceci comme la raison principale de l'origine et de la formation du monde, sera dans le vrai.
Page 355 - A la vérité, ma raison est en moi : car il faut que je rentre sans cesse en moi-même pour la trouver. Mais la raison supérieure qui me corrige dans le besoin, et que je consulte, n'est point à moi, et elle ne fait point partie de moi-même.
Page 419 - ... secondement dans la nature, et enfin dans leur source et dans leur principe qui est Dieu; qui voit Aristote louer ces heureux moments, où l'âme n'est possédée que de l'intelligence de la vérité, et juger une telle vie seule digne d'être éternelle , et d'être la vie de Dieu ; mais qui voit les saints tellement ravis de ce divin exercice, de connaître, d'aimer et de louer Dieu, qu'ils ne le quittent jamais, et qu'ils éteignent, pour le continuer durant tout le cours de leur vie, tous...
Page 434 - D'autres ont joint Dieu et la nature. On y peut donner un bon sens. Dieu sera l'entendement, et la nécessité, c'est-à-dire la nature essentielle des choses, sera l'objet de l'entendement, en tant qu'il consiste dans les vérités éternelles. Mais cet objet est interne et se trouve dans l'entendement divin. Et c'est là-dedans que se trouve non seulement la forme primitive du bien, mais encore l'origine du mal : c'est la région des vérités éternelles qu'il faut mettre à la place de la matière,...
Page 419 - ... de grâces; qui voit Archimède, attentif à quelque nouvelle découverte, en oublier le boire et le manger ; qui voit Platon célébrer la félicité de ceux qui contemplent le beau et le bon, premièrement dans les arts, secondement dans la nature, et enfin dans leur source et dans leur principe qui est Dieu; qui voit Aristote louer ces heureux moments, où l'âme n'est possédée que de l'intelligence de la vérité, et juger une telle vie seule digne d'être éternelle , et d'être la vie...
Page 475 - Comme nous avons établi ci-dessus une harmonie parfaite entre deux règnes naturels, l'un des causes efficientes, l'autre des finales, nous devons remarquer ici encore une autre harmonie entre le règne physique de la nature et le règne moral de la grâce, c'est-à-dire entre Dieu, considéré comme architecte de la machine de l'univers, et Dieu considéré comme monarque de la cité divine des esprits.
Page 474 - ... ne commencent qu'avec le monde et ne finissent pas non plus que .le monde), — il ya pourtant cela de particulier dans les animaux raisonnables, que leurs petits animaux spermatiques tant qu'ils ne sont que cela, ont seulement des âmes ordinaires ou sensitives, mais dès que ceux qui sont élus, pour ainsi dire, parviennent par une actuelle conception à la nature humaine, leurs âmes sensitives sont élevées au degré de la raison et à la prérogative des esprits.
Page 55 - C'est pourquoi nous devons tâcher de fuir au plus vite de ce séjour à l'autre. Or, cette fuite, c'est la ressemblance avec Dieu', autant qu'il dépend de nous; et on ressemble à Dieu par la justice, la sainteté et la sagesse...