Les trois siècles de la littérature françoise: ou Tableau de l'esprit de nos écrivains, depuis François I, jusqu'en 1779, Volume 4Moutard, 1779 - France |
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Abbé affez ainfi auffi auroit Auteurs avoit befoin c'eft c'eſt ceffe chofes cœur compofé connoiffances connoître critiques deffus Difcours écrit Ecrivains efprit eftimable Eloge eſt étoient étoit eût expreffions fagacité fage faifir fans doute favoir feconde felon femble fenfible fens fentimens fentir feroit fervir fes Ouvrages feul fienne fimple foible foient foit folides fon efprit font fource fous fouvent François Françoiſe fuccès fuffrage fuiv fujet fupérieur fur-tout fyftêmes génie genre gloire goût graces Havre de Grace Henriade Hiftoire Hommes idées jufte l'Abbé l'Académie Françoife l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffé Lettres Littérateurs Loix lumieres Madame de Tencin maniere mérite mœurs morale mort Mufe n'eft n'eſt n'étoit néceffaire nobleffe obfervations Oratorien paffer paffions paroître penfées perfonne Philofophie plaifir plufieurs Poéfie Poëme Poëte pouvoit préfent prefque premiere Profeffeur puiffe raifon refforts refpect refte Religion s'eft Sarafin Sardaigne ſes Siecle ſon ſtyle Théatre Tragédie traits verfification vérité Voltaire دو
Popular passages
Page 115 - ... toute prête ; Je n'en veux difpofer qu'en faveur de ton fang ; Et je la donne à qui te percera le flanc. Cette équivoque & cette pointe lui aurait paru précifément de la même efpèce que celle de Théophile , qu'il relève fi bien dans une de fes judicieufes préfaces.
Page 147 - M"e Le Vasseur a fait une étude toute particulière de ce nouveau genre de musique, et qu'elle en a parfaitement bien saisi la tournure et le goût. — Œuvres diverses de M. le comte de Tressan, lieutenant général des armées du roi, des Académies des sciences de Paris, de Londres, etc., un volume in-8°. Il ya dans ce volume beaucoup de prose et peu de vers; on eût désiré tout le contraire. Les poésies de M. de Tressan ont une touche infiniment agréable, une tournure légère et facile;...
Page 37 - II choque leur gloire aujourd'hui ; En vérité je lui pardonne : S'il n'eût mal parlé de personne, On n'eût jamais parlé de lui.
Page 209 - Pour votre bien 8c pour le nôtre, Seigneur, il vous la faut garder. Quoi que votre efprit fe propofe , Quand votre courfe fera clofe , On vous abandonnera fort. Croyez-moi, c'eft fort peu de chofe Qu'un demi-dieu quand il eft mort.
Page 39 - Ouvrages eft celui qui a pour titre , dnnales politiques de Louis XIV, où l'Auteur offre un tableau frappant des progrès de l'efprit chez notre Nation , pendant le regne de ce Monarque , & où M. de Voltaire a puifé l'idée fi mal remplie de fon Siecle de Louis XIV , & le plan de fon prétendu Ejfaifur l'Hiftoire générale.
Page 145 - ... auteur , qu'on parvienne à ne faire qu'un avec lui. Un habile Traducteur doit être un Protée , qui n'ait point de forme immuable , & qui fache prendre toutes les diverfes formes de fes originaux.
Page 74 - Sots pour les lire. Et quand la Rime enfin fe trouve au bout des vers, Qu'importé que le refte y foit mis de travers ? cup.uion.
Page 215 - Portraits affez de variété ; de les dcflmec tous de la même maniere ; de les peindre des mêmes couleurs ; de n'y avoir ménagé d'autre contrafte que celui des antithefes ; de les terminer conftamment par des pointes ou des fentences ; d'oublier enfuite , dans le cours de. l'action , l'idée qu'il a donnée de fes perfonnages pour...
Page 74 - J'envie en écrivant le fort de Pelletier. Bienheureux Scuderi! dont la fertile plume Peut tous les mois fans peine enfanter un volume...
Page 259 - VICQ D'AZIR, [ Félix DE ] Doreur-Régent de^la ïaculté de Médecine de Paris, ProfeiTeur de Phyfiologie , de l'Académie des Sciences, Secrétaire Perpétuel de la Société Royale de Médecine, Correfpoudant des Académies de Metz, de Dijon., de Madrid, &c. né à Valogne en 1748. Peu d'hommes ont débuté avec plus d'éclat dans la carrier' des feiences, & y ont acquis, plus jeunes , des titres à la rcconnoiflance publique.