Œuvres complètes de Jacques-Henri-Bernardin de Saint-Pierre, Volume 12Méquignon-Marvis, 1820 |
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... force des Turcs et des peuples qui ne boivent que de l'eau , ainsi que la fraîcheur de leurs femmes , à la taille raccourcie et au teint bourgeonné des deux sexes dans les pays de vignobles , vous en verrez la prodigieuse différence . L ...
... force des Turcs et des peuples qui ne boivent que de l'eau , ainsi que la fraîcheur de leurs femmes , à la taille raccourcie et au teint bourgeonné des deux sexes dans les pays de vignobles , vous en verrez la prodigieuse différence . L ...
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... forces du corps et de l'ame , il dis- sipe les chagrins , il est utile à ceux dont le sang est glacé par les années ou par la mé- lancolie ; mais il est nuisible aux enfants , dont les soucis légers se dissipent d'eux- mêmes par la ...
... forces du corps et de l'ame , il dis- sipe les chagrins , il est utile à ceux dont le sang est glacé par les années ou par la mé- lancolie ; mais il est nuisible aux enfants , dont les soucis légers se dissipent d'eux- mêmes par la ...
Page 108
... forces de notre ame , qui est en harmonie avec la Divinité , pour nous élever vers elle ; il ne faut que nous y abandonner . Si nous nous méfions de Dieu , nous ne pourrons supporter la vie ; mais si nous nous fions à lui , la vie elle ...
... forces de notre ame , qui est en harmonie avec la Divinité , pour nous élever vers elle ; il ne faut que nous y abandonner . Si nous nous méfions de Dieu , nous ne pourrons supporter la vie ; mais si nous nous fions à lui , la vie elle ...
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... force à monter dans le vide que vous avez formé . Le jeu de nos pompes as- pirantes est fondé sur la même loi . Vous for- mez un vide dans le corps de la pompe en tirant son piston , et l'eau y monte , parce que le poids de l'atmosphère ...
... force à monter dans le vide que vous avez formé . Le jeu de nos pompes as- pirantes est fondé sur la même loi . Vous for- mez un vide dans le corps de la pompe en tirant son piston , et l'eau y monte , parce que le poids de l'atmosphère ...
Page 135
... çà et là toute la surface en très - peu de moments . J'en ai conclu que la vitesse du vent ne dé- pendait point de sa force , et qu'elle était beaucoup plus considérable que les physi- ciens ne la supposaient DE LA NATURE . 135.
... çà et là toute la surface en très - peu de moments . J'en ai conclu que la vitesse du vent ne dé- pendait point de sa force , et qu'elle était beaucoup plus considérable que les physi- ciens ne la supposaient DE LA NATURE . 135.
Common terms and phrases
à-la-fois agarics algues animaux arbres atmosphère austral bergers bois bords Bouguer branches cap de Bonne-Espérance cerf-volant chaleur ciel cieux circonférence continents Corydon couches couleurs croissent d'air d'autres d'eau débris détroit dilatation doute eaux effets églogue électrique Énéide enfants équateur espèces feuilles fibres fleurs fleuves flots fluide forêts forme fruits fucus gétaux glaces globe graminées harmonies HARMONIES AQUATIQUES hommes îles îles de Scilly insectes j'ai l'air l'astre du jour l'atmosphère l'eau l'horizon l'Ile-de-France l'océan souterrain lumière lune lycopode madrépores mers mousses nature non-seulement nord nuages océans oiseaux paysage Pérou plantes marines pluies poëte poissons pôles puissance végétale qu'un quelquefois racines radicule rayons du soleil reflets renferme rivages rivière rochers roches ruisseau sables semblables semences sent servent seul sommets sorte souvent Spitzberg sur-tout surface tempêtes terre terrestres Thyrsis tige tions Tityre trachées tronc trouve vaisseau vallons vapeurs végétaux vent Virgile volcans zone torride zones glaciales
Popular passages
Page 24 - Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 24 - Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusque-là dans ses flancs.
Page 26 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 23 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau : Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau , Vous oblige à baisser la tête; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 138 - ... digue venant à passer sous notre vaisseau, elle le faisait tellement pencher, que ses grandes vergues trempaient à moitié dans la mer qui mouillait le pied de ses mâts, de sorte qu'il était au moment de chavirer.
Page 253 - LORSQUE j'étais en pleine mer , et que je n'avais d'autre spectacle que le ciel et l'eau , je m'amusais quelquefois à dessiner les beaux nuages blancs et gris, semblables à des groupes de montagnes, qui voguaient à la suite les uns des autres sur l'azur des cieux.
Page 24 - Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants, Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon, le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 201 - Les coryphées distribuent les postes à ceux qui restent, et tous continuent à danser et à chanter. Leur vie, après tout, est une image de la nôtre. Les hommes se bercent de vaines illusions autour de quelques vapeurs qui s'élèvent de la terre, tandis que la mort, comme un oiseau de proie, passe au milieu d'eux, et les engloutit tour à tour sans interrompre la foule qui cherche le plaisir.
Page 256 - L'astre des nuits, la triple Hécate, qui répète par des harmonies plus douces celles de l'astre du jour, en se levant sur l'horizon, dissipa l'empire de la lumière, et fit régner celui des ombres. Bientôt des étoiles innombrables et d'un éclat éternel brillèrent au sein des ténèbres. Oh ! si le jour n'est lui-même qu'une image de la vie, si les heures rapides de l'aube du matin, du midi et du soir, représentent les âges, si fugitifs, de l'enfance, de la jeunesse, de la virilité et...
Page 273 - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ; Que ce soit aux rives prochaines. Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau. Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.