| 1849 - 672 pages
...non eu les contraignant, mais en les inspirant... «Nos maîtres ne faisaient pas semblant de'nous aimer, ils nous aimaient véritablement, comme les...mon âge aussi purs et aussi heureux que moi. Ces amitiés nous refaisaient, pour ainsi dire, une famille. « Arrivé trop tard dans les dernières classes,... | |
| Paris (France) - 1849 - 896 pages
...comme les ouvriers. » aiment leur œuvre, comme les superbes aiment leur orgueil. Ils comn mencèrent par me rendre heureux, ils ne tardèrent pas à me...Je formai des amitiés intimes avec des enfants de л mon âge, aussi purs et aussi heureux que moi : ces amitiés nous refai» saient, pour ainsi dire,... | |
| Alphonse de Lamartine - Poets, French - 1849 - 268 pages
...aiment leur devoir, comme les ouvriers aiment leur œuvre, comme les superbes aiment leur orgueil. Ils commencèrent par me rendre heureux ; ils ne tardèrent...au travail. Je formai des amitiés intimes avec des enfans de mon âge aussi purs et aussi heureux que moi. Ces amitiés nous refaisaient, pour ainsi dire,... | |
| Gaetano Baluffi - 1858 - 404 pages
...aiment leur devoir, comme les ouvriers aiment leur « œuvre, comme les superbes aiment leur orgueil. « Ils commencèrent par me rendre heureux ; ils ne «...devint le mobile de mon ardeur « au travail > Je laisse le reste, qui n'est pas moins frappant, et comme expression du cœur et comme fleur de douce... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 532 pages
...aiment leurs devoirs, comme les ouvriers aiment leurs œuvres, comme les superbes aiment leur orgueil. Ils commencèrent par me rendre heureux; ils ne tardèrent...mon âge aussi purs et aussi heureux que moi. Ces amitiés nous refaisaient, pour ainsi dire, une famille. Arrivé trop tard dans les dernières classes,... | |
| Achille Guidée - 1860 - 424 pages
...aiment leur devoir, comme les ouvriers aiment leur œuvre, comme les superbes aiment leur orgueil. Ils commencèrent par me rendre heureux : ils ne tardèrent...ranima dans mon âme ; elle devint le mobile de mon taient donc la dissolution des maisons de l'ordre. Il ne fut pas difficile de faire partager ces idées... | |
| Louis Veuillot - 1861 - 602 pages
...hommes, non en les contraignant, mais en les inspirant... Nos maîtres ne faisaient pas semblant de nous aimer, ils nous aimaient véritablement, comme...sage. La piété se ranima dans mon âme. Elle devint lo mobile de mon ardeur au travail. Je formai des amitiés intimes avec des enfants de mon âge, aussi... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 532 pages
...aiment leurs devoirs, comme les ouvriers aiment leurs œuvres, comme les superbes aiment leur orgueil. Ils commencèrent par me rendre heureux; ils ne tardèrent...amitiés intimes avec des enfants de mon âge aussi purs ot aussi heureux que moi. Ces amitiés nous refaisaient, pour ainsi dire, une famille. Arrivé trop... | |
| abbé V. Postel - 1867 - 340 pages
...« leur devoir, comme les ouvriers aiment « leur œuvre, comme les superbes aiment « leur orgueil. Ils commencèrent par me « rendre heureux; ils ne...elle devint le mobile de mon « ardeur au travail. » Lamennais a raconté aussi, dans ses Réfteonms sur l'état de l'Église de France au dix-huitième... | |
| Revue catholique des institutions et du droit, Grenoble - 1879 - 658 pages
...nous la passion de Dieu. Avec un tel levier placé dans nos propres cœars, ils soulevaient tout... Ils commencèrent par me rendre heureux; ils ne tardèrent...le mobile de mon ardeur au travail. Je formai des ami liés intimes avec des enfants de mon âge, aussi purs et aussi heareux que moi ; ces amitiés... | |
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