Œuvres complètes de Voltaire, Volume 15la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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... ment il y répandit des réflexions d'une phi- lofophie jufte et modérée , présentées d'une manière piquante , caractère commun à tous fes ouvrages . Il s'éleva toujours contre l'abus de la plaifanterie dans les 4 AVERTISSEMENT.
... ment il y répandit des réflexions d'une phi- lofophie jufte et modérée , présentées d'une manière piquante , caractère commun à tous fes ouvrages . Il s'éleva toujours contre l'abus de la plaifanterie dans les 4 AVERTISSEMENT.
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... ment ftérile entre les mains de Snellius ; et Descartes en tira la théorie des lunettes : on lui doit celle des miroirs et des verres dont les furfaces feraient formées par des arcs de fections coniques . Il découvrit indépendam- ment ...
... ment ftérile entre les mains de Snellius ; et Descartes en tira la théorie des lunettes : on lui doit celle des miroirs et des verres dont les furfaces feraient formées par des arcs de fections coniques . Il découvrit indépendam- ment ...
Page 20
... ment la terre , les planètes , les comètes , & c . & c . ont été formées . M. de Voltaire attaqua la manie des fyftêmes ; et c'est un service important qu'il a rendu aux fciences . Cet efprit de fyftême nuit à leurs pro- grès , en ...
... ment la terre , les planètes , les comètes , & c . & c . ont été formées . M. de Voltaire attaqua la manie des fyftêmes ; et c'est un service important qu'il a rendu aux fciences . Cet efprit de fyftême nuit à leurs pro- grès , en ...
Page 26
... ment à la connaiffance d'un Etre fuprême , qui a tout créé , tout arrangé librement . Car fi le monde eft fini , s'il y a du vide , la matière n'exifte donc pas néceffairement ; elle a donc reçu l'exiftence d'une caufe libre . Si la ...
... ment à la connaiffance d'un Etre fuprême , qui a tout créé , tout arrangé librement . Car fi le monde eft fini , s'il y a du vide , la matière n'exifte donc pas néceffairement ; elle a donc reçu l'exiftence d'une caufe libre . Si la ...
Page 28
... ment , qui fe développe fans ceffe ; c'eft un même être , dont la nature eft d'être immuable dans sa fub- ftance , et éternellement varié dans fes modifications . Ainfi l'argument , tiré feulement des êtres qui fe succè- dent ...
... ment , qui fe développe fans ceffe ; c'eft un même être , dont la nature eft d'être immuable dans sa fub- ftance , et éternellement varié dans fes modifications . Ainfi l'argument , tiré feulement des êtres qui fe succè- dent ...
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Common terms and phrases
abfolument affez affurément aftres ainfi angle animaux attraction auffi boule c'eft c'eſt caufe cauſe cent centre CHAPITRE chofes choſe compofé conféquent confidérer corps couleurs criftal découvertes Defcartes degrés démontré DIEU diftances diſtance également élémens enfuite eſpèce eſt étoile polaire exifte expériences fans favoir feconde fefait felon femble fenfations fenfible fens fentiment fept ferait fervir feul fiècle fimple fluide foit foleil folides fon mouvement font force force centripète fous fouvent fubftance fuivant fuppofe fur la terre furface fyftême globe gravitation hommes hypothèſe idées impoffible jufqu'à l'air l'attraction l'eau l'efpace l'efprit l'équateur l'eſpace laiffer Leibnitz lumière lune maffe maſſe matière fubtile meſure mille monades n'eft n'eſt nature néceffaire Newton obfervations paffe paraît pefant pefanteur penfer philofophes phyficiens phyfique planètes plufieurs poffible polypes preffe prefque principe propriété puiffe qu'un quarré raiſon rayons reffort réfifte réfraction refte Roëmer s'eft Saturne ſes Snellius ſon ſubſtance ſur tourbillons vérité vîteffe vîteſſe
Popular passages
Page 416 - Je viens vous annoncer une grande nouvelle. Nous l'avons en dormant, Madame, échappé belle : Un monde près de nous a passé tout du long, Est chu...
Page 29 - Il ne trouvait point de raifonnement plus convaincant et plus beau en faveur de la Divinité que celui de Platon, qui fait dire à un de fes interlocuteurs : Vous jugez que j'ai une...
Page 112 - ... chambre , il ne concevait pas comment la vue pouvait donner cette idée. Ce ne fut qu'au bout de deux mois d'expérience...
Page 393 - Ce pain, cet aliment dans mon corps digéré, Se transforme en un lait doucement préparé ? Comment, toujours filtré dans ses routes certaines, En longs ruisseaux de pourpre il court enfler mes veines, A mon corps languissant rend un pouvoir nouveau. Fait palpiter mon cœur, et penser mon cerveau ? Il lève au ciel les yeux, il s'incline, il s'écrie : « Demandez-le à ce Dieu qui nous donna la vie.