 | Jean de La Bruyère - 1790 - 410 pages
...qu'à être goûtés et applaudis; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autruù Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être un effet de notre jugement. C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler... | |
 | Jean de La Bruyère - 1808 - 290 pages
...qu'à être goûtes et applaudis; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être un clîet de notre jugement. C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pourbienparler,... | |
 | Jean de La Bruyère - 1819 - 304 pages
...te plus délicat est de faire celui d'autrui. Il ne faut pas qu'ily ait trop d'imagination dans B09 conversations ni dans nos écrits : elle ne produit...qui ne servent point à perfectionner le goût , et a nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être un effet de notre jugement. C'est une grande misère... | |
 | Jean de La Bruyère - Conduct of life - 1820 - 454 pages
...qu'à être goûtés et applaudis ; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. i Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être un efl'et de notre jugement. C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler,... | |
 | Jean de La Bruyère - 1820 - 440 pages
...puériles , qui ne servent point à perfectionner le goût, et à nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être un effet de notre jugement. C'est une...grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour Lien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe de toute impertinence. Dire d'une... | |
 | Jean de La Bruyère - Characters and characteristics - 1824 - 452 pages
...qu'à être goûtés et applaudis ; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'espriypour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe de toute impertinence.... | |
 | Jean de La Bruyère - Characters and characteristics - 1824 - 326 pages
...qu'à être goûtés et applaudis ; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...bon sens et la droite raison , et doivent être un eflet de notre jugement. C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler... | |
 | Jean de La Bruyère - Character sketches - 1829 - 342 pages
...qu'à être goûtés et applaudis; elle plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui. Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...que des idées vaines et puériles, qui ne servent poin t à perfectionner le goût, et a nous rendre meilleurs : nos pensées doivent être prises dans... | |
 | Jean de La Bruyère - Characters and characteristics - 1839 - 584 pages
...être goûtés et applaudis; et le plaisir le plus délicat est de faire celui d' autrui ' . C II ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations...raison, et doivent être un effet de notre jugement. <J C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement... | |
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Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations ni dans nos écrits; elle ne produit souvent que des idées vaines et puériles, qui ne servent point à perfectionner le goût et à nous rendre meilleurs: nos pensées doivent être... 
