Neue practische französische Grammatik, oder, Vollständiger Unterricht in der französischen Sprache, Volume 1 |
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Common terms and phrases
Accusatif arrivé Artikel attendu autres avoir avoit avons beau Beiwörter bien Bindewort bisweilen c'est charmé cheval chose Conditionnel contre coup Curs d'une dans Datif Défini deux devoir dieſe dire donner été étoient étoit être faire fait faut feine fich fois folgende françois Franzosen Fürwort Futur gebraucht gens grand Hauptwort heißt heures homme Imparfait Indicatif présent Infinitif j'ai jamais jeune jour Karl XII l'autre l'on läßt le françois livre mais maison maître mettre mieux moins monde mort muß n'est nous parler Participe Participe passé passé peine pendant personne petit peut pied Pluriel Plus-que-parfait point porte prendre prés prince promets pronom qu'elle qu'il qu'on qu'un quelques réjoui Relatif rien s'en s'est s'il seul seyn ſich ſie soldats sous souvent subj Subjonctif temps terre Theil tout trois trop trouver Uebung unsere venir viel vingt et un voilà voir Wort Zeitwörter
Popular passages
Page 207 - Crétois sont les peuples du monde qui exercent le plus noblement et avec le plus de religion l'hospitalité. On nous fit asseoir, et on nous invita à combattre. Mentor s'en excusa sur son âge, et Hasaël sur sa faible santé.
Page 207 - Je ne lui parus pas digne d'être vaincu, et regardant avec pitié ma tendre jeunesse, il voulut se retirer; mais je me présentai à lui. Alors nous nous saisîmes l'un l'autre; nous nous serrâmes à perdre la respiration. Nous étions épaule contre épaule, pied contre pied, tous les nerfs tendus, et les bras entrelacés comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever de terre son ennemi.
Page 78 - J'ai reçu un ordre sous le sceau de Votre « Majesté , de faire mourir tous les protestants « qui sont dans ma province. Je respecte trop « Votre Majesté pour ne pas croire que ces « lettres sont supposées ; et si , ce qu'à Dieu ne « plaise , l'ordre est véritablement émané d'elle , « je la respecte aussi trop pour lui obéir.
Page 86 - Suédois n'en sortaient point ; mais leur étonnement fut encore plus grand lorsqu'ils virent ouvrir les portes, et le roi et les siens fondre sur eux en désespérés. Charles et ses principaux officiers étaient armés d'épées et de pistolets : chacun tira deux coups à la fois à l'instant que la porte s'ouvrit; et dans le même clin...
Page 207 - J'acceptai donc l'offre qu'on me faisoit: je me dépouillai de mes habits ; on fit couler des flots d'huile douce et luisante sur tous les membres de mon corps ; et je me mêlai parmi les combattans.
Page 70 - Dieu me soit en aide , dit-il , je vous crie depuis une heure que ce sont des moulins à vent. Il faut en avoir d'autres dans la tête pour ne pas le voir tout de suite. Paix ! paix ! répondit le héros ; c'est dans le -métier de la guerre que l'on se voit le plus dépendant des caprices de la fortune , surtout lorsqu'on a pour ennemi ce redoutable enchanteur Freston', déjà voleur de ma bibliothèque.
Page 87 - ... divers et par la prodigieuse variété de son ramage ; en sorte que la chanson de chacun de ces oiseaux , prise dans toute son étendue , n'est qu'un couplet de celle du rossignol. Le rossignol charme toujours , et ne se répète jamais , du moins jamais servilement : s'il redit quelque passage, ce passage est animé d'un accent nouveau , embelli par de nouveaux...
Page 69 - Un jour que le roi dictait des lettres pour la Suède à un secrétaire, une bombe tomba sur la maison, perça le toit, et vint éclater près de la chambre même du roi ; la moitié du plancher tomba en pièces ; le cabinet où le roi dictait étant pratiqué en partie dans une grosse muraille, ne souffrit point de l'ébranlement...
Page 82 - Louis XIV : Sire, je ne regarde jamais le nouveau Louvre sans m'écrier : Superbe monument de la magnificence d'un des plus grands rois qui de son nom ait rempli la terre , palais digne de nos monarques, vous seriez achevé , si l'on vous avait donné à l'un des quatre ordres mendiants pour tenir ses chapitres et loger son général.
Page 78 - J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique: car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche.