| İbrahim Fehim - 1890 - 126 pages
...jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.» comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt...furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ces flânes. L'Arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redoubles ses éfforts,... | |
| Jean de La Fontaine - 1799 - 412 pages
...leurs coups épouvantables. Réliflé fans courber le dos : _ Mais attendons la fin. Comme il difoit ces mots : Du bout de l'horizon accourt avec furie...plus terrible des enfants Que le nord eût porté juiques-là dans fes flancs , L'arbre tient bon; le rofeau plie. Le vent redoîble fes eflorts , Et... | |
| David Etienne Choffin - 1774 - 520 pages
...leurs coups épouvantables Kéiiitc fans courber le dos; • Mais attendons la fin. Comme il difoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfant, Que Je Nord eut porte' jusques-là dans fes iianci; L'Arbre tient bon, le Kofeau plie: Le vent... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - French literature - 1770 - 750 pages
...achever le récit. Il prend alors le ton de la matière ; il peint un orage furieux : Comme il difoii ces mots , Du bout de l'horizon, accourt, avec furie, Le plus terrible des enfans Que le Nord eût porté jufques-là dans fes flancs. Au lieu de dire un vefit de Nord , on le... | |
| Jean de La Fontaine - Fables, French - 1787 - 328 pages
...leurs coups épouvantables . Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants <^ue le nord eût portés jusques lu dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble... | |
| Jean de La Fontaine - 1796 - 332 pages
...bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient... | |
| Jean de La Fontaine - 1799 - 262 pages
...romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jnsques là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
| Louis Domairon - 1802 - 476 pages
...bout de l'horizon accourt avec l'uria Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté jusques-là dans ses flancs, L'arbre tient bon ; le roseau plie ; Le vent redouble ses efforts : II fait si bien , qu'il dérapine Celui de qui la tête au ciel étoil voisine, Kl dont les pieds... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pages
...de l'horizon accourt avec l'urie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-, là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie; Le vent redouble ses efforts: Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tète au ciel étoit voisine, Et dont les pieds touchoient... | |
| Louis Domairon - 1804 - 496 pages
...Coqs.) Ici, ce sont des idées nobles , des figures hardies, un syle plein d'énergie et de majesté : Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût porté jnsques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie : Le... | |
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