Les voiages et les expeditions de Pirrhus, roi d'Épire: Par J. GautierChez l'auteur, 1745 - 591 pages |
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affemblée affés affiégés aïant ainfi Alexandre Androclion Antigone Antipater Athenes Athéniens auffi avoient avoit bataille befoin c'eft c'eſt c'étoit Caffandre Carthaginois caufe chofes Cinéas citoïens confeil confidérable confuls croïant croïoit d'Epire deffein déja Démétrius devoit Dieux enfuite ennemis entrepriſe envoïa Epire Epirotes eſt étoient étoit Eumenes faifoient faifoit fans fe rendre feconde fecours fénat fentiment feroit fervice fervir fes foldats fes troupes feul fiege foit fon armée fon fils fon pere fon roïaume font fouffrir fous fouvent fouverain fuiv fujets fur le trône Gélon Glaucias Grece guerre jufte l'armée l'Egipte Lacédémoniens laiffa Lifimaque loix lontems Macédoine Macédoniens maniere mille hommes moïen mort n'avoit n'eft néceffaire paffer païs Pélopidas Perdiccas Perfe perfonne perfuadé peuple philofophes Pirrhus plaifir plufieurs pouvoit préfent prefque prémier prémiere prince Ptolomée puiffant raifon refte Romains Seigneur ſes Sicile Siracufe Sparte tems Thebes Timochare tiran tribuns vaiffeaux venoit victoire voïant voïoit vouloit vûe
Popular passages
Page 226 - Parce que, dit le médecin, c'est la mienne, et que je ne la lui donnerai pas. Vous ne la céderez pas, repartit le prince, pour sauver la vie à un fils que j'aime si tendrement ! Est-ce là l'amitié que vous avez pour moi ! Seigneur , reprit le médecin, mettez-vous pour un moment à ma place : lui céderiez-vous Stratonice?
Page 43 - ton bonheur, si tu veux en demeurer maître. « Si tu es un dieu, tu dois faire du bien aux mortels, et non « pas leur ravir ce qu'ils ont; si tu n'es qu'un homme, songe «toujours à ce que tu es. Ceux que tu laisseras en paix seront
Page 42 - Perse, laBactriane: tu songes à pénétrer jusqu'aux Indes; et tu viens ici pour nous enlever nos troupeaux. Tout ce que tu as ne sert qu'à te faire désirer plus ardemment ce que tu n'as pas.
Page 43 - Sogdiens se révoltent; et la victoire n'est pour toi qu'une semence de guerre. Passe seulement l'Iaxarte , et tu verras l'étendue de nos plaines. Tu as beau suivre les Scythes ; je te défie de les atteindre. Notre pauvreté sera toujours plus agile que ton armée chargée des dépouilles de tant de nations ; et quand tu nous croiras bien loin , tu nous verras tout d'un coup tomber sur ton camp ; car c'est avec la même vitesse que nous poursuivons et que nous fuyons nos ennemis. J'apprends que...
Page 41 - Jamais nous n'avons mis le pied dans ton pays : n'est-il pas permis à ceux qui vivent dans les bois d'ignorer qui tu es et d'où tu viens? Nous ne voulons ni obéir ni commander à...
Page 48 - ... sur le peuple, et jamais sur ceux qui le ruinent. Le grand plaisir qu'Alexandre prit à la relation que Néarque lui avait faite de son heureux voyage donna à ce prince du goût pour la navigation et pour les voyages de mer. Il ne se proposait pas moins que d'aller, en partant du golfe de Perse, faire le tour de l'Arabie et de l'Afrique , et de rentrer dans la Méditerranée par le détroit de Gibraltar , appelé alors les Colonnes d'Hercule; voyage qu'on avait plusieurs fois entrepris, et qui...
Page 335 - Il résolut de pourvoir à la subsistance du soldat, d'une manière qu'il n'en eût aucune obligation aux tribuns. Tous les citoyens romains jusqu'alors avoient été à la guerre à leurs dépens : il falloit que chacun tirât de son petit héritage de quoi subsister, tant en campagne que pendant le quartier d'hiver; et souvent, quand la campagne duroit trop longtemps , les terres, surtout celles des pauvres plébéiens demeuroient en friche.
Page 41 - Si les Dieux t'avoient donné un corps proportionné à ton ambition, tout l'Univers seroit trop petit pour toy : d'une main tu toucherois l'Orient, et de l'autre l'Occident...
Page 305 - Romains qui composoient alors les trente tribus, tant les habitans de la ville que ceux de la campagne , étoient également admis à donner leurs suffrages , et qui étoit dégagée de l'assujettissement aux sénatus-consultes , et de l'influence des Augures.
Page 436 - Je la retrouverai bien, repris-je. La lune tourne autour de la terre et ne l'abandonne point ; mais, comme la terre avance toujours dans le cercle qu'elle décrit autour du soleil, la lune la suit en tournant toujours autour d'elle; et, si elle tourne autour du soleil, ce n'est que pour ne point quitter la terre.