Portraits littéraires, Volume 1Didier, 1855 - Authors, French |
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... qu'à eux - mêmes . « L'his- << toire littéraire est une mer sans rivage , » avait cou- tume de dire M. Daunou , qui en parlait en vieux nocher ; elle a par conséquent ses écueils , ses ennuis . Mais il faut vite ajouter qu'au milieu ...
... qu'à eux - mêmes . « L'his- << toire littéraire est une mer sans rivage , » avait cou- tume de dire M. Daunou , qui en parlait en vieux nocher ; elle a par conséquent ses écueils , ses ennuis . Mais il faut vite ajouter qu'au milieu ...
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... qu'à la fin du XVIIIe siècle , en attendant que l'ère véritablement moderne commençât pour la société et pour l'art en particulier , la France , à peine reposée des agitations de la Ligue et de la Fronde , se créait lentement une litté ...
... qu'à la fin du XVIIIe siècle , en attendant que l'ère véritablement moderne commençât pour la société et pour l'art en particulier , la France , à peine reposée des agitations de la Ligue et de la Fronde , se créait lentement une litté ...
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... qu'à la manière un peu vulgaire du bon sens , c'est - à - dire sans portée , sans principes , avec des vues incomplètes , insuffisantes . Ce sont des médecins empiriques ; ils s'attaquent à des vices réels , mais extérieurs , à des sym ...
... qu'à la manière un peu vulgaire du bon sens , c'est - à - dire sans portée , sans principes , avec des vues incomplètes , insuffisantes . Ce sont des médecins empiriques ; ils s'attaquent à des vices réels , mais extérieurs , à des sym ...
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... qu'à toute autre affection . Dans une lettre , datée de 1695 et adressée à M. de Maucroix au sujet de la mort de La Fontaine , on lit ce passage , le seul touchant peut - être que présente la correspon- dance de Boileau : « Il me semble ...
... qu'à toute autre affection . Dans une lettre , datée de 1695 et adressée à M. de Maucroix au sujet de la mort de La Fontaine , on lit ce passage , le seul touchant peut - être que présente la correspon- dance de Boileau : « Il me semble ...
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... qu'à la fin Boileau , devenu morose , l'ait vendue . 2 La raison , dit Vauvenargues , n'étoit pas en Boileau distincte du senti- ment . » Mademoiselle de Meulan ( depuis madame Guizot ) ajoute : « C'était , << en effet , jusqu'au fond ...
... qu'à la fin Boileau , devenu morose , l'ait vendue . 2 La raison , dit Vauvenargues , n'étoit pas en Boileau distincte du senti- ment . » Mademoiselle de Meulan ( depuis madame Guizot ) ajoute : « C'était , << en effet , jusqu'au fond ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 402 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Page 135 - J-ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant; Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. La Mort déployant ses ailes Couvrait d-ombres éternelles La clarté dont je jouis , Et dans cette nuit funeste Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ,*votre main réclame Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus...
Page 403 - Il ya des lieux que l'on admire; il y en a d'autres qui touchent, et où l'on aimerait à vivre. Il me semble que l'on dépend des lieux pour l'esprit , l'humeur , la passion , le goût , et les sentiments.
Page 391 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 391 - De même, on ne saurait en écrivant rencontrer le parfait, et s'il se peut, surpasser les anciens que par leur imitation.
Page 63 - Térence est dans mes mains ; je m'instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
Page 84 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Page 386 - On me l'a dépeint , dit l'abbé d'Olivet , comme un philosophe qui « ne songeait qu'à vivre tranquille avec des amis et des livres ; faisant « un bon choix des uns et des autres; ne cherchant ni ne fuyant le « plaisir; toujours disposé à une joie modeste, et ingénieux à la faire « naître ; poli dans ses manières , et sage dans ses discours ; craignant « toute sorte d'ambition, même celle de montrer de l'esprit3.
Page 121 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions en soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 387 - C'est un fort honnête homme , et à qui il ne manquerait rien si la nature l'avoit fait aussi agréable qu'il a envie de l'être. Du reste, il a de l'esprit, du savoir et du mérite.