Portraits littéraires, Volume 1Didier, 1855 - Authors, French |
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... il résigna après quelques années de jouissance , au profit , dit - on , de la demoiselle Marie Poncher de Bretouville qu'il avait aimée et qui se faisait religieuse . A part cet attachement , qu'on a même révoqué en BOILEAU . 7.
... il résigna après quelques années de jouissance , au profit , dit - on , de la demoiselle Marie Poncher de Bretouville qu'il avait aimée et qui se faisait religieuse . A part cet attachement , qu'on a même révoqué en BOILEAU . 7.
Page 15
... . » Cette même raison si sensible , qui lui inspirait , nous dit - il , dès quinze ans , la haine d'un sot livre , lui faisait bénir son siècle après Phèdre . non moins parfaitement la gravité soutenue , le bon sens BOILEAU . 15.
... . » Cette même raison si sensible , qui lui inspirait , nous dit - il , dès quinze ans , la haine d'un sot livre , lui faisait bénir son siècle après Phèdre . non moins parfaitement la gravité soutenue , le bon sens BOILEAU . 15.
Page 16
... faisait le vers à la Vauban ; les transitions valent les circonvallations ; la grande guerre n'était pas encore inventée . Son Épître sur le passage du Rhin est tout à fait un tableau de Van der Meulen . On a appelé Boileau le ...
... faisait le vers à la Vauban ; les transitions valent les circonvallations ; la grande guerre n'était pas encore inventée . Son Épître sur le passage du Rhin est tout à fait un tableau de Van der Meulen . On a appelé Boileau le ...
Page 22
... Faisait rire l'écho jusqu'au bout du jardin , Soit que , du vieux Sénat l'àme tout occupée , Il poignardât César en proclamant Pompée , Soit que de l'antimoine il contât quelque tour . Huet , d'un ton discret et plus fait à la cour ...
... Faisait rire l'écho jusqu'au bout du jardin , Soit que , du vieux Sénat l'àme tout occupée , Il poignardât César en proclamant Pompée , Soit que de l'antimoine il contât quelque tour . Huet , d'un ton discret et plus fait à la cour ...
Page 37
... faisait de fréquentes excursions à Rouen . Dans l'un de ces voyages , il visita un M. de Châlons , ancien secrétaire des commandements de la reine - mère , qui s'y était retiré dans sa vieillesse : « Monsieur , lui dit le vieil- « lard ...
... faisait de fréquentes excursions à Rouen . Dans l'un de ces voyages , il visita un M. de Châlons , ancien secrétaire des commandements de la reine - mère , qui s'y était retiré dans sa vieillesse : « Monsieur , lui dit le vieil- « lard ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 402 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Page 135 - J-ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant; Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. La Mort déployant ses ailes Couvrait d-ombres éternelles La clarté dont je jouis , Et dans cette nuit funeste Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ,*votre main réclame Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus...
Page 403 - Il ya des lieux que l'on admire; il y en a d'autres qui touchent, et où l'on aimerait à vivre. Il me semble que l'on dépend des lieux pour l'esprit , l'humeur , la passion , le goût , et les sentiments.
Page 391 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 391 - De même, on ne saurait en écrivant rencontrer le parfait, et s'il se peut, surpasser les anciens que par leur imitation.
Page 63 - Térence est dans mes mains ; je m'instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
Page 84 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Page 386 - On me l'a dépeint , dit l'abbé d'Olivet , comme un philosophe qui « ne songeait qu'à vivre tranquille avec des amis et des livres ; faisant « un bon choix des uns et des autres; ne cherchant ni ne fuyant le « plaisir; toujours disposé à une joie modeste, et ingénieux à la faire « naître ; poli dans ses manières , et sage dans ses discours ; craignant « toute sorte d'ambition, même celle de montrer de l'esprit3.
Page 121 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions en soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 387 - C'est un fort honnête homme , et à qui il ne manquerait rien si la nature l'avoit fait aussi agréable qu'il a envie de l'être. Du reste, il a de l'esprit, du savoir et du mérite.