Œuvres complètes de La Fontaine: FablesGarnier Frères, 1872 |
From inside the book
Results 1-5 of 16
Page 15
... sentiments . L'âge la fit déchoir : adieu tous les amants . Un an se passe , et deux , avec inquiétude : Le chagrin vient ensuite ; elle sent chaque jour Déloger quelques Ris , quelques Jeux , puis l'Amour ; Puis ses traits choquer et ...
... sentiments . L'âge la fit déchoir : adieu tous les amants . Un an se passe , et deux , avec inquiétude : Le chagrin vient ensuite ; elle sent chaque jour Déloger quelques Ris , quelques Jeux , puis l'Amour ; Puis ses traits choquer et ...
Page 69
... sentiment de représailles . Un ecclésiastique , nommé M. Choquet , raconte , dans l'Année littéraire de 1775 , l'anecdote suivante , qu'il dit tenir de l'abbé d'Olivet : « Le nom de ce curé , Chouart , n'est LIVRE VII . 69 Le Songe du ...
... sentiment de représailles . Un ecclésiastique , nommé M. Choquet , raconte , dans l'Année littéraire de 1775 , l'anecdote suivante , qu'il dit tenir de l'abbé d'Olivet : « Le nom de ce curé , Chouart , n'est LIVRE VII . 69 Le Songe du ...
Page 76
... sentiment , Quand tout faillit en toi ? Plus de goût , plus d'ouïe ; Toute chose pour toi semble être évanouie ; Pour toi l'astre du jour prend des soins superflus : Tu regrettes des biens qui ne te touchent plus . Je t'ai fait voir tes ...
... sentiment , Quand tout faillit en toi ? Plus de goût , plus d'ouïe ; Toute chose pour toi semble être évanouie ; Pour toi l'astre du jour prend des soins superflus : Tu regrettes des biens qui ne te touchent plus . Je t'ai fait voir tes ...
Page 104
... sentiments que puisse avoir un cœur ? Amarante aussitôt réplique : Comment l'appelez - vous ce mal ? quel est son nom ? -L'amour . Ce mot est beau ! dites - moi quelques marques A quoi je le pourrai connoître que sent - on ? -- Des ...
... sentiments que puisse avoir un cœur ? Amarante aussitôt réplique : Comment l'appelez - vous ce mal ? quel est son nom ? -L'amour . Ce mot est beau ! dites - moi quelques marques A quoi je le pourrai connoître que sent - on ? -- Des ...
Page 206
... la réputation de femme savante ( la comédie de Molière avait été représentée en 1672 ) ; et c'est ce sentiment qui explique la réticence délicate du poëte . ( C. ) Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts 206 FABLES .
... la réputation de femme savante ( la comédie de Molière avait été représentée en 1672 ) ; et c'est ce sentiment qui explique la réticence délicate du poëte . ( C. ) Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts 206 FABLES .
Contents
103 | |
106 | |
109 | |
111 | |
115 | |
117 | |
122 | |
125 | |
127 | |
129 | |
130 | |
132 | |
134 | |
136 | |
139 | |
145 | |
151 | |
153 | |
157 | |
161 | |
163 | |
181 | |
186 | |
188 | |
190 | |
192 | |
195 | |
201 | |
254 | |
293 | |
299 | |
382 | |
388 | |
394 | |
481 | |
482 | |
501 | |
502 | |
503 | |
505 | |
507 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abstemius Agueda alloit amant Amour animaux apologue avoit beau belette Belphegor berger bête Bidpay bruit C'étoit chasseur chat chèvre chiens Chloris chose cœur conte coqs corbeau Cormoran d'étranges voisins Dieu dieux dire discours disoit dit-il doux éditions Esop Ésope esprit étoit FABLE VIII faisoit femme fille Fontaine fortune gens homme j'ai J'en jour juge Jupiter l'amour l'autre l'édition l'homme l'ours l'un laisse lion Livre des lumières logis loup maint maître manger Menciguela mieux monde mort mouche mouton n'en neuf sœurs OEuvres posthumes Ouvrages de prose parler passer pauvre peine père peuple Pierre de Larivey Pilpay plaisir pleurs poésie des sieurs poëte prince qu'un raison renard rien s'en sage Saint-Marc Girardin Seigneur seroit serpent seul sieurs de Maucroix singe sire soins sort souris souvent Styx sujet Télamon tête folle tortue Toruvio trésor trouve vieux VIRG voilà Voyez yeux
Popular passages
Page 30 - , la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Page 158 - N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là : telle chose m'avint : Vous y croirez être vous-même.
Page 275 - J'inspirerais ici l'amour de la retraite : Elle offre à ses amants des biens sans embarras, Biens purs, présents du ciel, qui naissent sous les pas, (Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et du bruit, goûter l'ombre et le frais?
Page 404 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Page 79 - J'attrape le bout de l'année; Chaque jour amène son pain. — Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? — Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L'une fait tort à l'autre; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 491 - Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats.
Page 492 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 158 - Le voyageur s'éloigne : et voilà qu'un nuage L'oblige de chercher retraite en quelque lieu. Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage Maltraita le pigeon en dépit du feuillage. L'air devenu serein, il part tout morfondu, Sèche du mieux qu'il peut son corps chargé de pluie, Dans un champ à l'écart voit du blé répandu, Voit un pigeon auprès ; cela lui donne envie ; Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un lacs Les menteurs et traîtres appâts.
Page 207 - Ils disent donc Que la bête est une machine; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts: Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine, A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 76 - II n'en est point qu'il ne comprenne Dans le fatal tribut; tous sont de son domaine; Et le premier instant où les enfants des rois Ouvrent les yeux à la lumière Est celui qui vient quelquefois Fermer pour toujours leur paupière.