Oeuvres de Molière: Avec un commentaire historique et littéraire; précédées du tableau des moeurs du dix-septième siècle, et de la vie de Molière, Volume 4Aillaud, 1829 |
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Page 31
... force en rien . Ce n'est pas que mon cœur veuille ici se défendre De répondre à ses vœux d'une ardeur assez tendre ; Je l'aime , je l'avoue , autant qu'on puisse aimer : Mais cet amour n'a rien qui vous doive alarmer ; Et , pour vous ...
... force en rien . Ce n'est pas que mon cœur veuille ici se défendre De répondre à ses vœux d'une ardeur assez tendre ; Je l'aime , je l'avoue , autant qu'on puisse aimer : Mais cet amour n'a rien qui vous doive alarmer ; Et , pour vous ...
Page 38
... force , et laissoit reconnoître le grand maître . Licarsis , vieux berger , vient d'apprendre une nouvelle im- portante ; d'autres bergers le tourmentent pour la dire ; il Episode de Timarette et de Sésostris . RÉFLEXIONS SUR MELICERTE ...
... force , et laissoit reconnoître le grand maître . Licarsis , vieux berger , vient d'apprendre une nouvelle im- portante ; d'autres bergers le tourmentent pour la dire ; il Episode de Timarette et de Sésostris . RÉFLEXIONS SUR MELICERTE ...
Page 67
... force . Pour moi , je vous l'avoue , si j'étois galant d'une femme qui fût au pouvoir de quelqu'un , je mettrois toute mon étude à rendre ce quelqu'un jaloux , et l'obligerois à veiller nuit et jour celle que je voudrois gagner . C'est ...
... force . Pour moi , je vous l'avoue , si j'étois galant d'une femme qui fût au pouvoir de quelqu'un , je mettrois toute mon étude à rendre ce quelqu'un jaloux , et l'obligerois à veiller nuit et jour celle que je voudrois gagner . C'est ...
Page 102
... forces de la nature humaine ; et je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher en- tièrement . J'avoue qu'il y a des lieux qu'il vaut mieux fréquenter que le ...
... forces de la nature humaine ; et je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher en- tièrement . J'avoue qu'il y a des lieux qu'il vaut mieux fréquenter que le ...
Page 144
... force impunément ; Et je lui ferois voir , bientôt après la fète , Qu'une femme a toujours une vengeance prête . ORGON , à Dorine . Donc de ce que je dis on ne fera nul cas ? DORINE . De quoi vous plaignez - vous ? Je ne vous parle pas ...
... force impunément ; Et je lui ferois voir , bientôt après la fète , Qu'une femme a toujours une vengeance prête . ORGON , à Dorine . Donc de ce que je dis on ne fera nul cas ? DORINE . De quoi vous plaignez - vous ? Je ne vous parle pas ...
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Common terms and phrases
ACANTE ACTE ADRASTE affaire aime ALCMÈNE Allons amant âme amour AMPHITRYON ANSELME assez avez avoit beau belle bonté céans charmante chose ciel CLEANTE CLEANTHIS cœur comédie comique COMMISSAIRE connoître consentir coups courroux crois DAMIS DAPHNÉ dessein dévot Dieu dieux dire discours don Pèdre DORINE doute doux ÉLISE ELMIRE enfin époux ÉROXÈNE Est-ce êtes étoit Euclion fâcheux femme fille fils FLÈCHE frère FROSINE gens HALI HARPAGON Hélas homme ISIDORE j'ai j'aurois j'avois j'en jamais JUPITER l'amour L'AVARE LICARSIS LYCAS m'en MADAME PERNELLE main MAÎTRE JACQUES MARIANE MÉLICERTE MERCURE mieux mille Molière monde monsieur MYRTIL NAUCRATES NICANDRE ORGON parler paroître pendard pense père personne PHILÈNE Plaute prendre qu'à Qu'est-ce raison rien s'il vous plaît sais sauroit SCÈNE VII sentiments seroit seul soin sort SOSIE souffrir Strobile TARTUFFE tendresse théâtre du Palais-Royal TIRÈNE traître trouve vais VALÈRE valet veut veux vœux voilà vois voulez-vous vrai yeux zèle
Popular passages
Page 471 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 471 - Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 132 - Et, laissant la fierté des paroles aux autres, C'est par leurs actions qu'ils reprennent les nôtres. L'apparence du mal a chez eux peu d'appui, Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre; : . On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre.
Page 131 - À prix de faux clins d'yeux et d'élans affectés; Ces gens, dis-je, qu'on voit, d'une ardeur non commune...
Page 98 - C'est une grande atteinte aux vices que de les exposer à la risée de tout le monde. On souffre aisément des répréhensions, mais on ne souffre point la raillerie. On veut bien être méchant, mais on ne veut point être ridicule.
Page 128 - II m'avertit des gens qui lui font les yeux doux, Et plus que moi six fois il s'en montre jaloux. Mais vous ne croiriez point jusqu'où monte son zèle...
Page 128 - II s'impute à péché la moindre bagatelle; Un rien presque suffit pour le scandaliser ; Jusque-là qu'il se vint l'autre jour accuser D'avoir pris une puce en faisant sa prière, Et de l'avoir tuée avec trop de colère ". CLÉANTE Parbleu ! vous êtes fou, mon frère, que je croi.
Page 198 - Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 125 - II passa dans sa chambre au sortir de la table; Et dans son lit bien chaud il se mit tout soudain, Où, sans trouble, il dormit jusques au lendemain.
Page 131 - Ce titre par aucun ne leur est débattu. Ce ne sont point du tout fanfarons de vertu, On ne voit point en eux ce faste insupportable, Et leur dévotion est humaine et traitable.