Oeuvres, Volume 4Lefevre, 1821 |
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... jusqu'au moindre billet sorti de leur plume ; en publiant ce qu'ils n'avoient probablement pas destiné à devenir ja- mais public ; et en révélant à l'universalité des lecteurs ce que l'amitié révéloit à l'amitié , dans le.
... jusqu'au moindre billet sorti de leur plume ; en publiant ce qu'ils n'avoient probablement pas destiné à devenir ja- mais public ; et en révélant à l'universalité des lecteurs ce que l'amitié révéloit à l'amitié , dans le.
Page 6
... public , n'ayant garde de murmurer du refus d'un privilége qui me laissoit celui de jouir paisiblement de toute ma paresse , Cependant , monseigneur , puisque vous daignez vous intéresser si obligeamment pour moi , j'aurai l'honneur de ...
... public , n'ayant garde de murmurer du refus d'un privilége qui me laissoit celui de jouir paisiblement de toute ma paresse , Cependant , monseigneur , puisque vous daignez vous intéresser si obligeamment pour moi , j'aurai l'honneur de ...
Page 79
... public deux tomes de Ré- Le président Roze , secrétaire du cabinet du roi , étoit un courtisan d'un caractère très souple et d'un esprit très aimable ; il plaisoit beaucoup à Louis XIV ; mais , ce qui est très digne de remarque , il n ...
... public deux tomes de Ré- Le président Roze , secrétaire du cabinet du roi , étoit un courtisan d'un caractère très souple et d'un esprit très aimable ; il plaisoit beaucoup à Louis XIV ; mais , ce qui est très digne de remarque , il n ...
Page 84
... public le voyoit avec plaisir , même après La Thorillière C'étoit , du reste , un homme d'esprit , recherche des aimables li bertins de son temps , aux dépens desquels il buvoit le champagne que lui reproche ici Boileau . Il mourut ...
... public le voyoit avec plaisir , même après La Thorillière C'étoit , du reste , un homme d'esprit , recherche des aimables li bertins de son temps , aux dépens desquels il buvoit le champagne que lui reproche ici Boileau . Il mourut ...
Page 91
... public , nous avons , vous et moi , un intérêt très particulier à lui souhaiter une longue santé . On ne peut pas nous témoigner plus de bonté qu'il nous en témoigne ; et vous ne sauriez croire avec quelle amitié il m'a toujours demandé ...
... public , nous avons , vous et moi , un intérêt très particulier à lui souhaiter une longue santé . On ne peut pas nous témoigner plus de bonté qu'il nous en témoigne ; et vous ne sauriez croire avec quelle amitié il m'a toujours demandé ...
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Common terms and phrases
Adieu Apollon Arnauld assez auroit Auteuil avez avoient avoit bonté Bourbon Bourdier Brossette c'étoit Chapelle Charles Perrault cher monsieur chose Cizeron-Rival cœur comte crois déja dernière lettre Despréaux Dieu dire Dongois donner écrire écris écrit endroits ennemis envoie épigramme épître êtes étoient étoit Fagon faisoit falloit frère gens grace guère Homère homme j'ai j'avois j'en jamais jésuites journalistes de Trévoux jours juger l'abbé l'académie françoise l'ai l'avoit l'honneur laisse Lamoignon latin long-temps Louis Racine Louis XIV Luxembourg Lyon m'avez m'en madame madame de Maintenon madame de Montespan mander maréchal médecin ment mérite monde monseigneur mort n'ai n'en obligé ouvrages parcequ'il parceque parler paroît passer père Perrault personne plaisir plaisirs de l'enfer poëme poëte Pontchartrain pourtant pouvoit prince Puget qu'à RACINE A BOILEAU raison reconnoissance reçu rien Saint-Aulaire Saint-Paulin Sainte-Chapelle sais satire saurois seroit seulement sincèrement sur-tout tion Topinamboux trouvez bon vérité Voilà vois voix Voyez
Popular passages
Page 73 - Il ne sauroit guère rien arriver de plus glorieux, je ne dis pas à un misérable comme moi, mais à tout ce qu'il ya de gens plus considérables à la cour; et je gage qu'il y en a plus de vingt d'entre eux qui, à l'heure qu'il est, envient ma bonne fortune, et qui voudroient avoir perdu la voix, et même la parole à ce prix. Je ne...
Page 245 - LETTRE LXXXV" RACINE A I10II I AI . Versailles, 4 avril 1686. Je suis très-obligé au P. Bouhours de toutes les honnêtetés qu'il vous a prié de me faire de sa part, et de la part de sa compagnie. Je...
Page 75 - Bourdier lève toujours des yeux très tristes au ciel quand on parle de bain. Quoi qu'il en soit, je leur suis obligé de leurs soins et de leur bonne volonté ; et quand vous m'écrirez, je vous prie de me dire quelque chose qui marque que je parle bien d'eux. M. de la Chapelle m'a écrit une lettre fort obligeante, et m'envoie plusieurs inscriptions, sur lesquelles il me prie de dire mon avis. Elles me...
Page 253 - ... dit que vous lui aviez lu un ouvrage de ma façon, où il y avoit beaucoup de bonnes choses , mais que la matière que j'y traitois étoit une matière fort délicate et qui demandoit beaucoup de...
Page 209 - ... médisances qui ont fait rechercher ses ouvrages avec tant d'empressement; qu'il va toujours terre à terre, comme un corbeau qui va de charogne en charogne ; que tant qu'il ne fera que des satires comme celles qu'il nous a données, Horace et...
Page 79 - Marly est agréable : la cour y est, ce me semble, toute autre qu'à Versailles ; il ya peu de gens , et le Roi nomme tous ceux qui l'y doivent suivre. Ainsi tous ceux qui y sont, se trouvant fort honorés d'y être, y sont aussi de fort bonne humeur. Le Roi même y est fort libre et fort caressant. On...
Page 212 - Ils me viennent voir dans ma solitude d'Atiteuil, et ils y séjournent même quelquefois. Je les reçois du mieux que je puis ; mais la première convention que je fais avec eux, c'est qu'il me sera permis dans nos entretiens do vous louer à outrance.
Page 219 - Rhin s'étoit débordé tout à coup, et que près de quatre mille Allemands ont été noyés. Mais au moment que je vous écris, le roi n'a point encore reçu de confirmation de cette nouvelle. On dit que milord Barclay est devant Calais pour le bombarder. M. le maréchal de Villeroi s'est jeté dedans. Voilà toutes les nouvelles de la guerre. Si vous voulez, je vous en dirai d'autres de moindre conséquence. M. de Toureil est venu ici présenter le dictionnaire de l'académie au roi et à la reine...
Page 231 - Longin dit d'Hypéride [a] , qu'il est toujours à jeun , et qu'il n'a rien qui remue ni qui échauffe; en un mot , qu'il n'a point cette force de style et cette vivacité d'expression qu'on cherche dans les ouvrages , et qui les font durer.
Page 415 - Oh! le fâcheux dieu! il ne parle jamais que de sobriété et d'abstinences ; et nous autres beaux esprits , quoique ses frères en Apollon, nous ne le pouvons plus souffrir , surtout depuis qu'il n'a plus voulu entreprendre de guérir messieurs de de la folie de juger des ouvrages. Je le tiens de la Faculté ; je lui pardonne pourtant volontiers la défense qu'il vous a faite de m'écrire de belles lettres ; mais non pas de m'écrire , comme vous faites , tout ce qui vient au bout de la plume ,...