Oeuvres, Volume 4Lefevre, 1821 |
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Page 29
... présent à toutes ces ordonnances , qu'il a fort approuvées ; et il a aussi demandé des remèdes pour sa santé , se croyant le plus malade de nous trois . Je vous ai mandé qu'il avoit visité la boucherie de Châlons . Il est , à l'heure ...
... présent à toutes ces ordonnances , qu'il a fort approuvées ; et il a aussi demandé des remèdes pour sa santé , se croyant le plus malade de nous trois . Je vous ai mandé qu'il avoit visité la boucherie de Châlons . Il est , à l'heure ...
Page 37
... présent , si horrible que je me l'étois imaginé : j'ai un jardin pour me promener , et je m'étois préparé à une si grande inquiétude , que je n'en ai pas la moitié de ce que j'en croyois avoir . Celui qui doit porter cette lettre à ...
... présent , si horrible que je me l'étois imaginé : j'ai un jardin pour me promener , et je m'étois préparé à une si grande inquiétude , que je n'en ai pas la moitié de ce que j'en croyois avoir . Celui qui doit porter cette lettre à ...
Page 102
... présent qu'il m'en a fait . Je l'ai reçue tard , et l'ai lue aussitôt deux ou trois fois avec une grande satisfaction ; * Le comte de La Chaise , capitaine de la porte du roi . * L'austérité de sa doctrine formoit un véritable contraste ...
... présent qu'il m'en a fait . Je l'ai reçue tard , et l'ai lue aussitôt deux ou trois fois avec une grande satisfaction ; * Le comte de La Chaise , capitaine de la porte du roi . * L'austérité de sa doctrine formoit un véritable contraste ...
Page 113
... présent que les quatre premières lettres ; on doit aux utiles et constantes re- cherches de M. de Monmerqué la découverte de la cinquième et de la sixième , qui complètent un récit d'autant plus interessant , que le poëte y parle de lui ...
... présent que les quatre premières lettres ; on doit aux utiles et constantes re- cherches de M. de Monmerqué la découverte de la cinquième et de la sixième , qui complètent un récit d'autant plus interessant , que le poëte y parle de lui ...
Page 164
... reconnoissance que j'ai de toutes ses bontés . Nous devons encore aller lundi pro- Nous éviterions à présent de placer cette épithète avant le mot personne . chain , M. Dongois et moi , prendre madame Racine 164 LETTRES.
... reconnoissance que j'ai de toutes ses bontés . Nous devons encore aller lundi pro- Nous éviterions à présent de placer cette épithète avant le mot personne . chain , M. Dongois et moi , prendre madame Racine 164 LETTRES.
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Common terms and phrases
Adieu Apollon Arnauld assez auroit Auteuil avez avoient avoit bonté Bourbon Bourdier Brossette c'étoit Chapelle Charles Perrault cher monsieur chose Cizeron-Rival cœur comte crois déja dernière lettre Despréaux Dieu dire Dongois donner écrire écris écrit endroits ennemis envoie épigramme épître êtes étoient étoit Fagon faisoit falloit frère gens grace guère Homère homme j'ai j'avois j'en jamais jésuites journalistes de Trévoux jours juger l'abbé l'académie françoise l'ai l'avoit l'honneur laisse Lamoignon latin long-temps Louis Racine Louis XIV Luxembourg Lyon m'avez m'en madame madame de Maintenon madame de Montespan mander maréchal médecin ment mérite monde monseigneur mort n'ai n'en obligé ouvrages parcequ'il parceque parler paroît passer père Perrault personne plaisir plaisirs de l'enfer poëme poëte Pontchartrain pourtant pouvoit prince Puget qu'à RACINE A BOILEAU raison reconnoissance reçu rien Saint-Aulaire Saint-Paulin Sainte-Chapelle sais satire saurois seroit seulement sincèrement sur-tout tion Topinamboux trouvez bon vérité Voilà vois voix Voyez
Popular passages
Page 73 - Il ne sauroit guère rien arriver de plus glorieux, je ne dis pas à un misérable comme moi, mais à tout ce qu'il ya de gens plus considérables à la cour; et je gage qu'il y en a plus de vingt d'entre eux qui, à l'heure qu'il est, envient ma bonne fortune, et qui voudroient avoir perdu la voix, et même la parole à ce prix. Je ne...
Page 245 - LETTRE LXXXV" RACINE A I10II I AI . Versailles, 4 avril 1686. Je suis très-obligé au P. Bouhours de toutes les honnêtetés qu'il vous a prié de me faire de sa part, et de la part de sa compagnie. Je...
Page 75 - Bourdier lève toujours des yeux très tristes au ciel quand on parle de bain. Quoi qu'il en soit, je leur suis obligé de leurs soins et de leur bonne volonté ; et quand vous m'écrirez, je vous prie de me dire quelque chose qui marque que je parle bien d'eux. M. de la Chapelle m'a écrit une lettre fort obligeante, et m'envoie plusieurs inscriptions, sur lesquelles il me prie de dire mon avis. Elles me...
Page 253 - ... dit que vous lui aviez lu un ouvrage de ma façon, où il y avoit beaucoup de bonnes choses , mais que la matière que j'y traitois étoit une matière fort délicate et qui demandoit beaucoup de...
Page 209 - ... médisances qui ont fait rechercher ses ouvrages avec tant d'empressement; qu'il va toujours terre à terre, comme un corbeau qui va de charogne en charogne ; que tant qu'il ne fera que des satires comme celles qu'il nous a données, Horace et...
Page 79 - Marly est agréable : la cour y est, ce me semble, toute autre qu'à Versailles ; il ya peu de gens , et le Roi nomme tous ceux qui l'y doivent suivre. Ainsi tous ceux qui y sont, se trouvant fort honorés d'y être, y sont aussi de fort bonne humeur. Le Roi même y est fort libre et fort caressant. On...
Page 212 - Ils me viennent voir dans ma solitude d'Atiteuil, et ils y séjournent même quelquefois. Je les reçois du mieux que je puis ; mais la première convention que je fais avec eux, c'est qu'il me sera permis dans nos entretiens do vous louer à outrance.
Page 219 - Rhin s'étoit débordé tout à coup, et que près de quatre mille Allemands ont été noyés. Mais au moment que je vous écris, le roi n'a point encore reçu de confirmation de cette nouvelle. On dit que milord Barclay est devant Calais pour le bombarder. M. le maréchal de Villeroi s'est jeté dedans. Voilà toutes les nouvelles de la guerre. Si vous voulez, je vous en dirai d'autres de moindre conséquence. M. de Toureil est venu ici présenter le dictionnaire de l'académie au roi et à la reine...
Page 231 - Longin dit d'Hypéride [a] , qu'il est toujours à jeun , et qu'il n'a rien qui remue ni qui échauffe; en un mot , qu'il n'a point cette force de style et cette vivacité d'expression qu'on cherche dans les ouvrages , et qui les font durer.
Page 415 - Oh! le fâcheux dieu! il ne parle jamais que de sobriété et d'abstinences ; et nous autres beaux esprits , quoique ses frères en Apollon, nous ne le pouvons plus souffrir , surtout depuis qu'il n'a plus voulu entreprendre de guérir messieurs de de la folie de juger des ouvrages. Je le tiens de la Faculté ; je lui pardonne pourtant volontiers la défense qu'il vous a faite de m'écrire de belles lettres ; mais non pas de m'écrire , comme vous faites , tout ce qui vient au bout de la plume ,...