Oeuvres, Volume 4Lefevre, 1821 |
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... doute , quoique possesseur , des 1711 , des papiers de Boileau , Brossette n'ajouta , en 1716 , qu'un très petit nombre de lettres , à celles que Boileau avoit publices lui - même dans son édition de 1701 . Mais , je le répète , ce qui ...
... doute , quoique possesseur , des 1711 , des papiers de Boileau , Brossette n'ajouta , en 1716 , qu'un très petit nombre de lettres , à celles que Boileau avoit publices lui - même dans son édition de 1701 . Mais , je le répète , ce qui ...
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... doute , mais dont je ne me soucie point . Jugez donc si c'est que une raison pour m'engager à vous aller voir , récit que vous demandez . J'irai pourtant , si je puis , aujourd'hui , mais à la charge que nous ne récite- rons point de ...
... doute , mais dont je ne me soucie point . Jugez donc si c'est que une raison pour m'engager à vous aller voir , récit que vous demandez . J'irai pourtant , si je puis , aujourd'hui , mais à la charge que nous ne récite- rons point de ...
Page 25
... doute que la grace molinienne , la plus suffisante , suffise pour me soutenir dans l'abattement où je suis . Vous ne sauriez vous imaginer à quel excès va cet abatte- ment , et quel mépris il m'inspire pour toutes les choses de la terre ...
... doute que la grace molinienne , la plus suffisante , suffise pour me soutenir dans l'abattement où je suis . Vous ne sauriez vous imaginer à quel excès va cet abatte- ment , et quel mépris il m'inspire pour toutes les choses de la terre ...
Page 32
... 4 Ou Saar - Bockenheim , petite ville du comté de Saar - Wer- den , dans ce qu'on appeloit la Lorraine allemande , et qui est aujourd'hui comprise dans le département de la Moselle , bien ; mais , entre nous , je doute que 32 LETTRES.
... 4 Ou Saar - Bockenheim , petite ville du comté de Saar - Wer- den , dans ce qu'on appeloit la Lorraine allemande , et qui est aujourd'hui comprise dans le département de la Moselle , bien ; mais , entre nous , je doute que 32 LETTRES.
Page 33
Nicolas Boileau Despréaux. bien ; mais , entre nous , je doute que ni lui , ni per- sonne , connoisse bien ma maladie , ni mon tempé- rament . Quand je fus attaqué de la difficulté de res- pirer , il y a vingt - cinq ans , tous les ...
Nicolas Boileau Despréaux. bien ; mais , entre nous , je doute que ni lui , ni per- sonne , connoisse bien ma maladie , ni mon tempé- rament . Quand je fus attaqué de la difficulté de res- pirer , il y a vingt - cinq ans , tous les ...
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Common terms and phrases
Adieu Apollon Arnauld assez auroit Auteuil avez avoient avoit bonté Bourbon Bourdier Brossette c'étoit Chapelle Charles Perrault cher monsieur chose Cizeron-Rival cœur comte crois déja dernière lettre Despréaux Dieu dire Dongois donner écrire écris écrit endroits ennemis envoie épigramme épître êtes étoient étoit Fagon faisoit falloit frère gens grace guère Homère homme j'ai j'avois j'en jamais jésuites journalistes de Trévoux jours juger l'abbé l'académie françoise l'ai l'avoit l'honneur laisse Lamoignon latin long-temps Louis Racine Louis XIV Luxembourg Lyon m'avez m'en madame madame de Maintenon madame de Montespan mander maréchal médecin ment mérite monde monseigneur mort n'ai n'en obligé ouvrages parcequ'il parceque parler paroît passer père Perrault personne plaisir plaisirs de l'enfer poëme poëte Pontchartrain pourtant pouvoit prince Puget qu'à RACINE A BOILEAU raison reconnoissance reçu rien Saint-Aulaire Saint-Paulin Sainte-Chapelle sais satire saurois seroit seulement sincèrement sur-tout tion Topinamboux trouvez bon vérité Voilà vois voix Voyez
Popular passages
Page 73 - Il ne sauroit guère rien arriver de plus glorieux, je ne dis pas à un misérable comme moi, mais à tout ce qu'il ya de gens plus considérables à la cour; et je gage qu'il y en a plus de vingt d'entre eux qui, à l'heure qu'il est, envient ma bonne fortune, et qui voudroient avoir perdu la voix, et même la parole à ce prix. Je ne...
Page 245 - LETTRE LXXXV" RACINE A I10II I AI . Versailles, 4 avril 1686. Je suis très-obligé au P. Bouhours de toutes les honnêtetés qu'il vous a prié de me faire de sa part, et de la part de sa compagnie. Je...
Page 75 - Bourdier lève toujours des yeux très tristes au ciel quand on parle de bain. Quoi qu'il en soit, je leur suis obligé de leurs soins et de leur bonne volonté ; et quand vous m'écrirez, je vous prie de me dire quelque chose qui marque que je parle bien d'eux. M. de la Chapelle m'a écrit une lettre fort obligeante, et m'envoie plusieurs inscriptions, sur lesquelles il me prie de dire mon avis. Elles me...
Page 253 - ... dit que vous lui aviez lu un ouvrage de ma façon, où il y avoit beaucoup de bonnes choses , mais que la matière que j'y traitois étoit une matière fort délicate et qui demandoit beaucoup de...
Page 209 - ... médisances qui ont fait rechercher ses ouvrages avec tant d'empressement; qu'il va toujours terre à terre, comme un corbeau qui va de charogne en charogne ; que tant qu'il ne fera que des satires comme celles qu'il nous a données, Horace et...
Page 79 - Marly est agréable : la cour y est, ce me semble, toute autre qu'à Versailles ; il ya peu de gens , et le Roi nomme tous ceux qui l'y doivent suivre. Ainsi tous ceux qui y sont, se trouvant fort honorés d'y être, y sont aussi de fort bonne humeur. Le Roi même y est fort libre et fort caressant. On...
Page 212 - Ils me viennent voir dans ma solitude d'Atiteuil, et ils y séjournent même quelquefois. Je les reçois du mieux que je puis ; mais la première convention que je fais avec eux, c'est qu'il me sera permis dans nos entretiens do vous louer à outrance.
Page 219 - Rhin s'étoit débordé tout à coup, et que près de quatre mille Allemands ont été noyés. Mais au moment que je vous écris, le roi n'a point encore reçu de confirmation de cette nouvelle. On dit que milord Barclay est devant Calais pour le bombarder. M. le maréchal de Villeroi s'est jeté dedans. Voilà toutes les nouvelles de la guerre. Si vous voulez, je vous en dirai d'autres de moindre conséquence. M. de Toureil est venu ici présenter le dictionnaire de l'académie au roi et à la reine...
Page 231 - Longin dit d'Hypéride [a] , qu'il est toujours à jeun , et qu'il n'a rien qui remue ni qui échauffe; en un mot , qu'il n'a point cette force de style et cette vivacité d'expression qu'on cherche dans les ouvrages , et qui les font durer.
Page 415 - Oh! le fâcheux dieu! il ne parle jamais que de sobriété et d'abstinences ; et nous autres beaux esprits , quoique ses frères en Apollon, nous ne le pouvons plus souffrir , surtout depuis qu'il n'a plus voulu entreprendre de guérir messieurs de de la folie de juger des ouvrages. Je le tiens de la Faculté ; je lui pardonne pourtant volontiers la défense qu'il vous a faite de m'écrire de belles lettres ; mais non pas de m'écrire , comme vous faites , tout ce qui vient au bout de la plume ,...