Histoire de la Philosophie dans ses Rapports avec la Religion Depuis L'ere Chretienne1854 |
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... corps de notions , des théories sans âme et sans vie . Et grande est cette faute , car nulle doctrine n'a de valeur si ce n'est dans ses rapports avec la pratique contempo- raine ; sans cela elle est morte ou stérile . On croit que la ...
... corps de notions , des théories sans âme et sans vie . Et grande est cette faute , car nulle doctrine n'a de valeur si ce n'est dans ses rapports avec la pratique contempo- raine ; sans cela elle est morte ou stérile . On croit que la ...
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... corps de doctrines , qui offrent , si variées qu'elles soient d'ailleurs selon les époques et les nationalités , le même caractère d'union normale , de primitive et permanente harmonie . Le brahmanisme ou la doctrine de l'Inde , quoiqu ...
... corps de doctrines , qui offrent , si variées qu'elles soient d'ailleurs selon les époques et les nationalités , le même caractère d'union normale , de primitive et permanente harmonie . Le brahmanisme ou la doctrine de l'Inde , quoiqu ...
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... corps , mais tenant au monde des idées , remontera vers sa patrie , tandis que la partie sensible et matérielle de l'homme n'a été créée ni par Dieu , ni par le λόγος , mais par les πολλοί sur lesquels Philon ne s'ex- plique que ...
... corps , mais tenant au monde des idées , remontera vers sa patrie , tandis que la partie sensible et matérielle de l'homme n'a été créée ni par Dieu , ni par le λόγος , mais par les πολλοί sur lesquels Philon ne s'ex- plique que ...
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... corps célestes ( iecirah ) , et dans le monde terrestre ( assiah ) , qui tous participent à son être , en sorte que tout , même le génie du mal , prendra part un jour au sabbat éternel de la vie bienheureuse , quand il sera redevenu pur ...
... corps célestes ( iecirah ) , et dans le monde terrestre ( assiah ) , qui tous participent à son être , en sorte que tout , même le génie du mal , prendra part un jour au sabbat éternel de la vie bienheureuse , quand il sera redevenu pur ...
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... corps , celle de l'univers . On distingue dans l'âme trois principes : l'un , siége de l'intelligence contemplative ; l'autre , de la volonté ; le troisième , des instincts animaux . La forme extérieure de l'homme a une existence propre ...
... corps , celle de l'univers . On distingue dans l'âme trois principes : l'un , siége de l'intelligence contemplative ; l'autre , de la volonté ; le troisième , des instincts animaux . La forme extérieure de l'homme a une existence propre ...
Common terms and phrases
absolue Aristote Averrhoès Bacon bientôt Boëce choses chrétienne christianisme connaissance cosmologie création créé critique d'abord d'Alexandrie d'Aristote d'autres Descartes dialecticisme dialectique Dieu disciples distingue divine doctrine dogmatique dogme éclectique écoles écrits effet enseignement esprits études facultés Fichte forme Gassendi Gnosticisme Grèce Hegel humaine idées Jean Jésus-Christ judaïsme Juifs kabbale Kant l'âme l'éclectisme l'école l'Eglise l'enseignement l'esprit l'existence l'histoire l'homme l'intelligence latine Leibniz liberté libre Locke logique losophie maître Malebranche ment métaphysique méthode monde morale mort mysticisme mystique nature Némésius non-seulement œuvres ouvrages panthéisme pensée penseurs phie philo philoso philosophie arabe philosophie grecque philosophie juive physique Platon platoniciens Plotin pneumatologie politique polythéisme Pomponace Porphyre principes Proclus professa professeur psychologie pure question raison réfutation religieuse religion révélation saint scepticisme Schelling science scolastique Scot sectes sens sensualisme seule siècle sophie spéculation Spinoza spiritualisme substance suprême surtout système textes théisme théo théologie théologien théorie théosophique tion Toutefois traité vérité vrai
Popular passages
Page 284 - C'est en ce sens que j'entendrais le mot extraordinaire de Malebranche : « Dieu est le lieu des esprits, comme l'espace est le lieu des corps.
Page 312 - C'est ainsi que les idées et les vérités nous sont innées, comme des inclinations, des dispositions, des habitudes ou des virtualités naturelles, et non pas comme des actions, quoique ces virtualités soient toujours accompagnées de quelques actions souvent insensibles, qui y répondent.
Page 273 - Per substantiam intelligo id, quod in se est et per se concipitur; hoc est id, cujus conceptus non indiget conceptu alterius rei, a quo formari debeat.
Page 289 - C'est le cœur qui sent Dieu, et non la raison. Voilà ce que c'est que la foi : Dieu sensible au cœur, non à la raison.
Page 314 - ... besoins), pourquoi s'étonner que nous disions que ces idées nous sont innées, avec tout ce qui en dépend? Je me suis servi aussi de la comparaison d'une pierre de marbre qui a des veines...
Page 313 - Zopyru, comme voulant dire des feux vivants, des traits lumineux cachés au dedans de nous, que la rencontre des sens et des objets externes fait paraître comme des étincelles que le choc fait sortir du fusil ; et ce n'est pas sans raison qu'on croit que ces éctats marquent quelque chose de divin et d'éternel, qui paraît surtout dans les vérités nécessaires.
Page 214 - ... que les ennemis qui nous tourmentent en ce monde , ni d'autre Dieu que les rois et les princes qui nous font du bien.
Page 280 - L'évidence, l'intelligence est préférable à la foi, car la foi passera, mais l'intelligence subsistera éternellement. La foi est véritablement un grand bien, mais c'est qu'elle conduit à l'intelligence.
Page 313 - Les sens , quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes , puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles.
Page 313 - Car, après avoir employé tout son premier livre à rejeter les lumières innées prises dans un certain sens , il avoue pourtant, au commencement du second et dans la suite, que les idées qui n'ont point leur origine dans la sensation viennent de la réflexion. Or la réflexion n'est autre chose qu'une attention à ce qui est en nous , etjes sens ne nous donnent point ce que nous portons déjà avec nous.