French by the Direct Method: Livre de Lecture ... Complétant la Série Rossmann Et Schmidt |
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... avait fait construire une nouvelle ligne de ce côté et ils furent repoussés . JULES CÉSAR . Pendant ce temps Vercingétorix avec le reste de l'armée gauloise mourait de faim dans Alésia . Il comprit qu'il n'avait plus aucune chance de ...
... avait fait construire une nouvelle ligne de ce côté et ils furent repoussés . JULES CÉSAR . Pendant ce temps Vercingétorix avec le reste de l'armée gauloise mourait de faim dans Alésia . Il comprit qu'il n'avait plus aucune chance de ...
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... avait fait ouvrir le passage . Il sauta à bas de son cheval , jeta ses armes aux pieds de César et attendit son jugement . César furieux d'avoir été vaincu d'abord , puis d'avoir été retenu si longtemps devant Alésia , ne fut pas touché ...
... avait fait ouvrir le passage . Il sauta à bas de son cheval , jeta ses armes aux pieds de César et attendit son jugement . César furieux d'avoir été vaincu d'abord , puis d'avoir été retenu si longtemps devant Alésia , ne fut pas touché ...
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... avaient pas de rois ; mais en temps d choisissaient le plus bravé d'entre eux qu'ils leur chef . Ils le faisaient monter ... avait à peine un siècle que les Francs ét en Gaule , lorsqu'ils furent menacés d'une in terrible que toutes les ...
... avaient pas de rois ; mais en temps d choisissaient le plus bravé d'entre eux qu'ils leur chef . Ils le faisaient monter ... avait à peine un siècle que les Francs ét en Gaule , lorsqu'ils furent menacés d'une in terrible que toutes les ...
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... avait posé le pied . Aussi quelle ne fut pas la frayeur des habitants de Lutèce ( c'est ainsi que s'appelait Paris à cette époque ) , lorsqu'ils apprirent qu'Attila avait passé le Rhin et traversait rapide- ment le pays . Sur son ...
... avait posé le pied . Aussi quelle ne fut pas la frayeur des habitants de Lutèce ( c'est ainsi que s'appelait Paris à cette époque ) , lorsqu'ils apprirent qu'Attila avait passé le Rhin et traversait rapide- ment le pays . Sur son ...
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... avait été élevé sur le bouclier à seize ans , résolut de garder l'autorité pour toute sa vie et de devenir un vrai roi . Dans ce temps - là , les mœurs des guerriers étaient très barbares ; ils comptaient leur propre vie pour très peu ...
... avait été élevé sur le bouclier à seize ans , résolut de garder l'autorité pour toute sa vie et de devenir un vrai roi . Dans ce temps - là , les mœurs des guerriers étaient très barbares ; ils comptaient leur propre vie pour très peu ...
Common terms and phrases
aimait animaux armée arriva-t-il Atlantique avaient beau belle Bernardin de Saint-Pierre Bordeaux c'était célèbre César Charlemagne Charles Perrault Charles VII château chevaux cloche Clovis cocher COLONIES FRANÇAISES commence COMTE Corneille cour croisades Curiaces DON DIÈGUE duc de Bourgogne Duguesclin ÉCRIVAINS écrivit Édouard Édouard III élève enfants Esméralda fables faisait femme Fénelon fille fils Fontaine François 1er frères fut-il Gaule Gaulois Geneviève guerre HARPAGON Henri de Navarre hommes HORACE Jardin jeune joli jour l'histoire l'Océan l'ogre Louis XIV Madame de Sévigné maison MAÎTRE JACQUES Marseille Méditerranée mer Méditerranée mère ministre Molière Monsieur monta mort mourut n'avait Napoléon 1er Nommez nord Normands Notre-Dame OCEAN palais Pascal passe Paul pauvres pays père Petit Poucet peuple Pierre premier prince protestants Qu'est-ce Quasimodo Racontez Renaissance Richelieu rien rois Roland Rollon Saint Louis savants seigneurs soldats sort surtout tour traversée trouve VALÈRE Vatel Vercingétorix Versailles victoire Victor Hugo Virginie
Popular passages
Page 59 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 81 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans couber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 81 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU. LE chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 106 - ... seule tous les objets de la terre , de la mer et des cieux. Dans les balancements du vaisseau, ce qu'on craignait arriva. Les câbles de son avant rompirent; et comme il n'était plus retenu que par une seule ansière, il fut jeté sur les rochers , à une demi-encablure du rivage.
Page 81 - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
Page 27 - Coligny languissait dans les bras du repos, Et le sommeil trompeur lui versait ses pavots. Soudain de mille cris le bruit épouvantable Vient arracher ses sens à ce calme agréable.
Page 62 - Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes, Ils peuvent se tromper comme les autres hommes ; Et ce choix sert de preuve à tous les courtisans Qu'ils savent mal payer les services présents.
Page 68 - Rome ! l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! Rome, qui t'a vu naître, et que ton cœur adore...
Page 74 - Ah ! ils n'ont que ce mot à la bouche : « De l'argent ! » Toujours parler d'argent. Voilà leur épée de chevet, de l'argent.
Page 27 - L'espoir de son parti, l'honneur de sa famille. Qui, sanglant, déchiré, traîné par des soldats, Lui demandait vengeance, et lui tendait les bras. Le héros malheureux, sans armes, sans défense, Voyant qu'il faut périr, et périr sans vengeance, Voulut mourir du moins, comme il avait vécu, Avec toute sa gloire et toute sa vertu. Déjà des assassins la nombreuse cohorte Du salon qui l'enferme allait briser la porte...