FablesH. Bossange, 1829 |
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... main qui par les airs chemine ? Un jour viendra , qui n'est pas loin , Que ce qu'elle répand sera votre ruine . De là naîtront engins à vous envelopper , Et lacets pour vous attraper , Enfin mainte et mainte machine Qui causera dans la ...
... main qui par les airs chemine ? Un jour viendra , qui n'est pas loin , Que ce qu'elle répand sera votre ruine . De là naîtront engins à vous envelopper , Et lacets pour vous attraper , Enfin mainte et mainte machine Qui causera dans la ...
Page 36
... main , Menoit , en empereur romain , Deux coursiers à longues oreilles . L'un , d'éponges chargé , marchoit comme un courier ; Et l'autre , se faisant prier , Portoit , comme on dit , les bouteilles : Sa charge étoit de sel . Nos ...
... main , Menoit , en empereur romain , Deux coursiers à longues oreilles . L'un , d'éponges chargé , marchoit comme un courier ; Et l'autre , se faisant prier , Portoit , comme on dit , les bouteilles : Sa charge étoit de sel . Nos ...
Page 62
... , non , ne plaise aux dieux que jamais ma main coupe La gorge à qui s'en sert si bien ! Ainsi dans les dangers qui nous suivent en croupe Le doux parler ne nuit de rien . XIII . Les Loups et les Brebis . APRÈS mille 62 FABLE S.
... , non , ne plaise aux dieux que jamais ma main coupe La gorge à qui s'en sert si bien ! Ainsi dans les dangers qui nous suivent en croupe Le doux parler ne nuit de rien . XIII . Les Loups et les Brebis . APRÈS mille 62 FABLE S.
Page 72
... main que met à sa beauté Une femme allant en conquête , C'est un ajustement des mouches emprunté . Puis allez moi rompre la tête De vos greniers ! Avez - vous dit ? Lui répliqua la ménagere . Vous hantez les palais : mais on vous J ...
... main que met à sa beauté Une femme allant en conquête , C'est un ajustement des mouches emprunté . Puis allez moi rompre la tête De vos greniers ! Avez - vous dit ? Lui répliqua la ménagere . Vous hantez les palais : mais on vous J ...
Page 74
... main , un bras , leve un coin du mouchoir ; Toutes sottises dont la belle Se défend avec grand respect : Tant qu'au pere à la fin cela devient suspect . Cependant on fricasse , on se rue en cuisine . De quand sont vos jambons ? ils ont ...
... main , un bras , leve un coin du mouchoir ; Toutes sottises dont la belle Se défend avec grand respect : Tant qu'au pere à la fin cela devient suspect . Cependant on fricasse , on se rue en cuisine . De quand sont vos jambons ? ils ont ...
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Common terms and phrases
Adieu alloit animaux Apollon assez asyle auroit avoient avoit baudet beau belette belle berger bête bois brebis Bûcheron C'étoit cent Cérès cerf chasseur chat Chauve-Souris cheval Chevre chien chose Cicogne cœur conte corbeau Cormoran coup crut déja Démocrite Dieu dieux dire disoit disoit-il dit-il doux éléphant encens enfants enfin Eschyle Esope esprit étoient étoit FABLE PREMIERE faisoit femme Fortune Fourmi gens grace Grenouilles homme hôtes J'ai J'en jour Jupiter l'Aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lapin Lievre lion logis loup maint maître maniere messieurs mieux mort mouche mouton n'avoit n'en neuf sœurs par-tout passer pauvre peine perdrix pere peuple pieds Pilpay plaisir prince qu'à qu'un queue raison Renard repartit rien s'en sage Scythe seigneur seroit serpent seul Singe sire soin sort souris Styx tête Tircis Tortue trésor trouva Ulysse veux vieillard vient VIII voilà voleurs zéphyrs
Popular passages
Page 37 - C'est assez qu'on ait vu par là qu'il ne faut point. Agir chacun de même sorte. J'en voulais venir à ce point. FABLE XI LE LION ET LE RAT II faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux Fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde. Entre les pattes d'un Lion Un Rat sortit de terre assez à l'étourdie. Le Roi des animaux, en cette occasion, Montra ce qu'il était, et lui donna la vie. Ce bienfait ne fut pas perdu. Quelqu'un...
Page 136 - M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Page 24 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin.
Page 6 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 5 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 141 - Je supplie avant tout les dieux de m'assister : Veuillent les immortels , conducteurs de ma langue, Que je ne dise rien qui doive être repris ! Sans leur aide , il ne peut entrer dans les esprits Que tout mal et toute injustice: Faute d'y recourir, on viole leurs lois. Témoin...
Page 35 - L'invisible ennemi triomphe, et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux Lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais; et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.
Page 35 - Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes (') : L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 24 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 56 - Le Renard sort du puits, laisse son compagnon, Et vous lui fait un beau sermon Pour l'exhorter à patience. Si le ciel t'eût, dit-il, donné par excellence Autant de jugement que de barbe au menton, Tu n'aurais pas, à la légère, Descendu dans ce puits.