La satire en France, ou, La littérature militante au XVIe siècle |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Béarnais Bellay Bèze bientôt Boucher bourgeois Calvin cardinal cardinal de Lorraine catholique Chanson Charles cœur colère Coligny comédie coup d'Aubigné d'Espagne Despériers devait diable Dieu dispute Dolet Dorléans ennemis Érasme esprit Étienne Pasquier farce Florent Chrestien François Ier gaieté Gargantua Genève gens gentilhomme gloire Guises haine Henri de Navarre Henri Estienne Henri III Henri IV hérétiques homme huguenots Jean Jésuites jour l'auteur l'Église l'esprit langue latin Lestoile libelles Ligue ligueur livre Lizet Lorraine lui-même Luther main maître malice Marot médisance mêlée Mellin de Saint-Gelais Ménippée ment messe monde mort Moyen Age Navarre œuvre pamphlet Pantagruel Panurge Pape Parlement parole Pasquier passé Passerat passion pauvre peuple philosophe plaisir plume poëte politique prédicateurs premier princes protestants Rabelais Ramus rancunes Réforme Régnier religieuse Remy Belleau reste rimeur rire Ronsard royale saint Saint-Barthélemy Satire scène seizième siècle seul Sorbonne sorte style tête teur théologiens théologique tion triomphe trouver Valois vieille Viret
Popular passages
Page 262 - Je ne veux pas que vous le poussiez, ni le branliez ; mais seulement ne le soutenez plus ; et vous le verrez, comme un grand colosse à qui on a dérobé la base, de son poids même fondre en bas, et se rompre.
Page 542 - Épier si des vers la rime est brève ou longue ; Ou bien si la voyelle, à l'autre s'unissant, Ne rend point à l'oreille un vers trop languissant. Et laissent sur le vert le noble de l'ouvrage.
Page 428 - ... souvenir qui tu as été. au prix de ce que tu es? Ne veux-tu jamais te guérir de cette frénésie, qui pour un légitime et gracieux Roi, t'a engendré cinquante Roytelets et cinquante Tyrans? Te voilà aux fers, te voilà en l'Inquisition d'Espagne, plus intolérable mille fois, et plus dure à supporter aux esprits nez lihres et francs, comme sont les François, que les plus cruelles morts, dont les Espagnols se sçauroient adviser.
Page 261 - ... qui soit à eux ! souffrir les pilleries, les paillardises, les cruautés, non pas d'une armée, non pas d'un camp barbare contre lequel il faudrait...
Page 14 - S'il me faict bien dire d'Auvergne. XL DU LIEUTENANT CRIMINEL ET DE SAMBLANÇAY (1527) Lors que Maillart, juge d'Enfer, menoit A Montfaulcon Samblançay l'ame rendre, A vostre advis, lequel des deux tenoit Meilleur maintien?
Page 262 - Comment a il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les prend de vous? Les pieds dont il foule vos citez, d'où les a il, s'ils ne sont des vostres? Comme a il aucun pouvoir sur vous , que par vous autres mesmes? Comment vous oseroit il courir sus, s'il n'avoit intelligence avec vous?
Page 120 - Je ne suis point entrant, ma façon est rustique, Et le surnom de bon me va-t-on reprochant, D'autant que je n'ai pas l'esprit d'être méchant.
Page 57 - ... et pédagogue ; ne porte les commodités et choses nécessaires à la république , comme le marchand. C'est la cause pourquoi de tous sont hués et abhorris.
Page 12 - Son inconstance seulement, Mais elle ne fut endormie A me le rendre chauldement; Car dès l'heure tint parlement A je ne sçay quel papelard, Et lui a dict tout bellement : « Prenez le, il a mengé le lard.
Page 262 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre...