Critique littéraire sous le Premier Empire, Volume 1

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Popular passages

Page lxxxvi - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Page xxviii - Bechercb.es critiques et historiques sur la Langue et la Littérature de l'Egypte.
Page 99 - Daphnis , qui lui semblait un enfant , fit dessein de tout tenter , ou par présents , ou par ruse , ou à l'aventure par force , pour avoir contentement, instruit qu'il était, lui, du nom et aussi des œuvres d'amour.
Page 15 - C'est lui qui fait tout dans l'univers, et qui est « à la fois le commencement, le milieu et la fin. » « Suidas, en citant ce fragment, assure qu'Orphée « avait lu les livres de Moïse et en avait tiré tout ce « qu'il enseignait sur la nature divine. On a contesté « cette assertion ; il est clair pourtant que l'on retrouve « dans ce morceau, non-seulement les idées, mais les « expressions des livres saints, très-antérieurs aux écrits « d'Orphée, et il est difficile de ne pas croire...
Page 381 - ... nitidus plenis confisus rusticus agris ingeret ardenti grandia ligna foco, turbaque vernarum, saturi bona signa coloni, ludet et ex virgis extruet ante casas.
Page lxiv - Je sais ce que je vaux, et crois ce qu'on m'en dit. Pour me faire admirer je ne fais point de ligue : J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue ; Et mon ambition pour faire plus de bruit, Ne les va point quêter de réduit en réduit : Mon travail sans appui monte sur le théâtre ; Chacun en liberté l'y blâme ou l'idolâtre. Là, sans que mes amis prêchent leurs...
Page lxv - Normant; mais, de M. de Chateaubriand, il me faut une lettre, et je vous prie de le lui dire. Il ne me suffit pas que ce superbe écrivain me fasse demander un service : il faut qu'il le demande luimême. Il a oublié de me remercier de la peine que je me suis donnée pour ses Martyrs : je ne me soucie pas de l'accoutumer avec moi à ces façons cavalières. Vous me trouverez bien formaliste, bien exigeant, bien pointilleux ; il faut l'être quelquefois. M. de Chateaubriand s'imagine apparemment...
Page 413 - Brunck, qui était tranchant et très-caustique, comme ses notes imprimées n'en offrent que trop de preuves, critique Villoison avec fort peu de ménagement. Un éditeur de Longus pourrait extraire de cette lettre quelques bonnes observations ; Bast, dans ses remarques sur Grégoire de Corinthe, en a cité un passage assez curieux.
Page 408 - Dans cette conviction, il corrigeait les vers, les déplaçait, les bouleversait avec une audace souvent heureuse, sous le rapport du goût et du sentiment poétique; mais ces hardis changements, que les anciens eux-mêmes n'auraient peut-être pas toujours désavoués, étaient, sous le rapport critique , absolument condamnables.
Page 440 - et qui causa à l'irascible vieillard des accès de fureur. Il tâcha de répondre par la Défense de mon oncle, production honteuse où il s'est emporté contre son adversaire aux excès les plus condamnables. La qualité de répétiteur au collège Mazarin, qu'il y donne de sa grâce à M.

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