Poésies de Malherbe: suivies d'un choix de ses lettresBaudouin frères, 1832 - 416 pages |
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Common terms and phrases
adorable Alcandre amour Anne d'Autriche appas assez auroit avecque avez avoient avoit beau beauté belle c'étoit Charles Chabot chose ciel cieux cœur connoissance connoître consoler courage déja désirer destinées Dieu dieux dire douleur duc de Bellegarde duc de Guise ennemis ennui ÉPIGRAMME esprit éternelle êtes étoient étoit eût faisoit fasse fils fleurs fortune funestes gloire grace guerre Henri Henri III Henri IV HENRI-LE-GRAND heure homme honte humble Hypsipyle j'ai jamais jours l'envie l'honneur l'onde laisser larmes lettre Louis Louis XIII Luigi Tansillo m'en madame main qui vengera majesté Malherbe malheur Marie de Médicis mérite merveille miracle monde MONSIEUR MON COUSIN mort mourir n'en Neptune passer peine pense peur plaît pleurs poëte pource pouvoir prince princesse qu'en qu'un Racan raison reine rien rois s'il sais sera seroit serviteur seule SIBYLLE soin soleil SONNET sort soupire STANCES sujet terre trépas vertu veux visage vœux vois yeux
Popular passages
Page 117 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Page 100 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas? Je sais de quels appas son enfance étoit pleine, Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 189 - Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils...
Page 106 - Mais, ô loi rigoureuse à la race des hommes, C'est un point arrêté, que tout ce que nous sommes Issus de pères rois et de pères bergers, La Parque également sous la tombe nous serre, Et les mieux établis au repos de la terre N'y sont qu'hôtes et passagers. Tout ce que la grandeur a de vains équipages, D'habillements de pourpre et de...
Page 189 - N'espérons plus, mon ame, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités , lassons-nous de les suivre : C'est Dieu qui nous fait vivre , C'est Dieu qu'il faut aimer.
Page 153 - Quelque soir en sa chambre apparois devant elle, Non le sang en la bouche et le visage blanc, Comme tu demeuras sous l'atteinte mortelle Qui te perça le flanc; Viens-y tel que tu fus quand aux monts de Savoie Hymen en robe d'or te la vint amener, Ou tel qu'à Saint-Denis entre nos cris de joie Tu la fis couronner.
Page 217 - Beaux et grands bâtiments d'éternelle structure , Superbes de matière et d'ouvrages divers, Où le plus digne roi qui soit en l'univers Aux miracles de l'art fait céder la nature : Beau parc et beaux jardins qui, dans votre clôture, Avez toujours des fleurs et des ombrages verts, Non sans quelque démon qui défend aux hivers D'en effacer jamais l'agréable peinture : Lieux qui donnez aux cœurs tant d'aimables désirs , Bois...
Page 46 - En la paix naissent les plaisirs ; Elle met les pompes aux villes, Donne aux champs les moissons fertiles, Et, de la majesté des lois Appuyant les pouvoirs suprêmes, Fait demeurer les diadèmes Fermes sur la tête des rois.
Page 47 - La troupe de leurs nourrissons ; Tous leurs vœux seront de te plaire ; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
Page 152 - L'image de ses pleurs, dont la source féconde Jamais depuis ta mort ses vaisseaux n'a taris, C'est la Seine en fureur qui déborde son onde Sur les quais de Paris.