Œuvres de Michel de MontaigneSociété du Panthéon Littéraire, 1842 - 806 pages |
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Page xx
... cause de la réapparition de la préface de mademoiselle de Gournay , diffé- rente sur chacune d'elles et différente de ce qu'elle se montre en 1595 et de ce qu'elle devait être à l'édition de 1635 . 1627 . 24. Les mêmes . - Rouen ...
... cause de la réapparition de la préface de mademoiselle de Gournay , diffé- rente sur chacune d'elles et différente de ce qu'elle se montre en 1595 et de ce qu'elle devait être à l'édition de 1635 . 1627 . 24. Les mêmes . - Rouen ...
Page xxxv
... cause à ceux qui soutiennent ( 1 ) Les éditeurs de 1725 rapportent dans les jugements et cri- tiques l'extrait d'une lettre de M.de Plassac MERE à M. de Mitton et ils l'indiquent comme étant la 90 " . J'ignore où ils ont trouvé cette ...
... cause à ceux qui soutiennent ( 1 ) Les éditeurs de 1725 rapportent dans les jugements et cri- tiques l'extrait d'une lettre de M.de Plassac MERE à M. de Mitton et ils l'indiquent comme étant la 90 " . J'ignore où ils ont trouvé cette ...
Page 2
... cause de sa mort , pour n'avoir voulu rendre son païs entre les mains d'un tyran , le mena- ceant d'une prochaine punition des dieux . Dio- nysius , lisant dans les yeulx de la commune de son armée , que , au lieu de s'animer des ...
... cause de sa mort , pour n'avoir voulu rendre son païs entre les mains d'un tyran , le mena- ceant d'une prochaine punition des dieux . Dio- nysius , lisant dans les yeulx de la commune de son armée , que , au lieu de s'animer des ...
Page 14
... cause , parce que les effects et executions ne sont aulcunement en nostre puissance , et qu'il n'y a rien à bon escient en nostre puissance que la volonté ; en celle là se fondent par ne- cessité , et s'establissent toutes les regles du ...
... cause , parce que les effects et executions ne sont aulcunement en nostre puissance , et qu'il n'y a rien à bon escient en nostre puissance que la volonté ; en celle là se fondent par ne- cessité , et s'establissent toutes les regles du ...
Page 17
... cause à ce qui s'en suivit après , comine nous pensons : ( 1 ) Détournent du brat . E. J. 2 ) De sorte que deux hommes de différentes nations ne sont point hommes l'un à l'égard de l'autre . PLINE , Nat . hist . , VII , 1 . MONTAIGNE ...
... cause à ce qui s'en suivit après , comine nous pensons : ( 1 ) Détournent du brat . E. J. 2 ) De sorte que deux hommes de différentes nations ne sont point hommes l'un à l'égard de l'autre . PLINE , Nat . hist . , VII , 1 . MONTAIGNE ...
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Common terms and phrases
aspre aulcune aultre aultre chose aureilles avecques avoient avoit ayse ayséement besoing bransle c'estoit Cæsar celuy ceste ceulx chascun cholere cognoissance conduicte costé coustume creance d'aultruy d'estre debvoir dict Dieu dieux DIOG discours disoit doibt doubte droict édition Epist estant esté estoient estoit estonne estran estre eulx eust faict fantasie fault feit femmes feust feut fortune gents hault homme j'ay jecter jugement jusques l'adventure l'ame l'aultre l'édition LAERCE loing loix mademoiselle de Gournay maistre malaysé MARTIN DU BELLAY matiere medecine ment mesler mesme mieulx Montaigne mort oultre OVIDE peult philosophie plaisir Platon plustost PLUT Plutarque poinct pourquoy premiere present prins publicque quæ quoy raison reng rien sainct sçais sçavoir semble seroit seulement Socrates soing soubs subject suyvant tantost tion TITE LIVE tousjours toutesfois traicts treuve veoid veoir veois veoyons verité vertu veult veulx vifve VIRG voylà vray yeulx
Popular passages
Page 90 - Ce n'est pas une spéciale considération, ny deux, ny trois, ny quatre, ny mille : c'est je ne sçay quelle quinte essence de tout ce meslange, qui, ayant saisi toute ma volonté, l'amena se plonger et se perdre dans la sienne; qui, ayant saisi toute sa volonté, l'amena se plonger et se perdre en la mienne, d'une faim, d'une concurrence pareille. Je dis perdre, à la vérité, ne nous reservant rien qui nous fut propre, ny qui fut ou sien, ou mien.
Page xxiv - Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu.
Page 180 - Ce n'est pas merveille , ce dict un ancien ', que le hazard puisse tant sur nous, puisque nous vivons par hazard. A qui n'a dressé en gros sa vie à une certaine fin , il est impossible de disposer les actions particulières : il est impossible de renger les pièces , à qui n'a une forme du total en sa teste : à quoy faire la provision des couleurs , à qui ne sçait ce qu'il a à peindre?
Page 36 - Le continuel ouvrage de vostre vie, c'est bastir la mort. Vous estes en la mort pendant que vous estes en vie.
Page 223 - J'ayme les historiens ou fort simples, ou excellents. Les simples, qui n'ont point de quoy y mesler quelque chose du leur, et qui n'y apportent que le soing et la diligence de r'amasser tout ce qui vient à leur notice, et d'enregistrer, à la bonne foy, toutes choses sans chois et sans triage...
Page x - Pour la religion, ajouta-t-il dont tous les deux font parade, c'est un beau prétexte pour se faire suivre par ceux de leur parti, mais la religion ne les touche ni l'un ni l'autre...
Page 233 - Nous devons la justice aux hommes, et la grâce et la bénignité aux autres créatures qui en peuvent estre capables. Il ya quelque commerce entre elles et nous, et quelque obligation mutuelle.
Page 88 - Car elle me fut montrée longue pièce avant que je l'eusse veu, et me donna la première connoissance de son nom, acheminant ainsi cette amitié que nous avons nourrie, tant que Dieu a voulu, entre nous, si entière et si parfaite que certainement il ne s'en lit guiere de pareilles, et, entre nos hommes, il ne s'en voit aucune trace en usage.
Page 106 - Je pense qu'il ya plus de barbarie à manger un homme vivant qu'à le manger mort, à deschirer par tourmens et par geénes un corps encore plein de sentiment, le faire rostir par le menu, le faire mordre et meurtrir aux chiens et aux pourceaux (comme nous l'avons non seulement leu, mais veu de fresche...
Page 64 - Quand il estoit arrivé au quatorziesme, ils le deposoient entre les mains de quatre; le plus sage, le plus juste, le plus tempérant, le plus vaillant de la nation : le premier luy apprenoit la religion; le second, à estre tousjours véritable; le tiers, à se rendre maistre des cupiditez; le quart, à ne rien craindre.