II m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère , enfants , mère , et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. Recueil des publications - Page 190by Société havraise d'études diverses - 1897Full view - About this book
| Joseph Droz - Happiness - 1811 - 258 pages
...discours sont précisément ceux du personnage qui dit , en parlant de Tartuffe : De tonte affection il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère...femme , Que je .m'en soucierais autant que de cela. La plupart des hommes exagérant leurs regrets, payant tribut aux bienséances plus qu'à la nature,... | |
| Joseph Droz - Happiness - 1811 - 246 pages
...personnage qui dit , en parlant de Tartuffe : De toute affection il détache mon âme ; Et je verrois mourir frère , enfants , mère et femme , Que je m'en soucierais autant que de cela. La plupart des hommes exagérant leurs regrets, payant tribut aux bienséances plus qu'à la nature... | |
| Francois Xavier Joseph Droz - 1815 - 346 pages
...discours sont précisément ceux du personnage qui dit, en parlant de Tartuffe : De tonte affection il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme, Qne je m'en soncîrois antant qne de cela. La plupart des hommes exagérant leurs regrets, payant tribut... | |
| Aignan (M., Étienne) - Literature - 1823 - 528 pages
...mère à son lit de mor1. A la bonne heure ! voilà ce qui s'appelle un vrai saint homme de moine. De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir frère, eofans, mère et femme, Que je m'en soucîrais tout comme de cela. FIN DES REMARQUES. LE STRATAGÈME... | |
| Scènes - 1829 - 394 pages
...tout le monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien ; II m'enseigne à n'avoir d'affection pour rien ; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucîrais autant que de celR. CLÉANTE, Les sentimens humains,... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...regarde tout le monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien, II m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme, Et je verrais mourir, frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. CLEANTE. 1.. s sentimens humains,... | |
| Molière, Jean-Léonor Le Gallois de Grimarest - 1833 - 750 pages
...m'enseigne à n'avoir affection pour rien , De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrois mourir frère, enfants , mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. CLÉANTE. Les sentiments humains , mon frère, que voilà ! ORGON. Ah ! si vous aviez vu comme j'en... | |
| French language - 1834 - 632 pages
...regarde tout le monde. Oui, je deviens tout autre avec son entretien; II m'enseigne à n'avoir affection pour rien, De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfans, mère, et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. Clé. Les sentiraens humains, mon... | |
| Molière - 1837 - 770 pages
...11 m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme; Et je verrois mourir frère , enfants , mère , et femme , Que je m'en soucierais autant que de cela ' . ' On ne poavoit marquer par des traits plus vigoureux l'espèce de fascination que peut exercer... | |
| Edgar Quinet - 1839 - 360 pages
...On aurait pu , avec Orgon , dire de cet idéal de la. critique : II m'enseigne à n'atoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir, frère, enfans, mère et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela. Il faut convenir que ces maximes... | |
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