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... premières ouvertures , ce premier aveu , heureux et timide à la fois , où nous nous hasardâmes à lui faire part de nos vues , de nos modestes travaux et de nos espérances ; il se mit tout à notre disposition , et avec cette chaleur d ...
... premières ouvertures , ce premier aveu , heureux et timide à la fois , où nous nous hasardâmes à lui faire part de nos vues , de nos modestes travaux et de nos espérances ; il se mit tout à notre disposition , et avec cette chaleur d ...
Page 20
... premières années du vi ° siècle . Le monde se remettait lentement de la grande commotion par laquelle l'invasion des barbares avait ébranlé les nations , ruiné l'empire romain et commencé , avec des éléments nouveaux , l'ère du Moyen ...
... premières années du vi ° siècle . Le monde se remettait lentement de la grande commotion par laquelle l'invasion des barbares avait ébranlé les nations , ruiné l'empire romain et commencé , avec des éléments nouveaux , l'ère du Moyen ...
Page 31
... première abbesse de Jouarre , morte vers 660. La crypte remonterait , dit - on , à la fon- dation de l'abbaye et les voûtes auraient été refaites au x'ou au XI ° siècle . Nous avons là un exemple de ces fondations , com- munes alors ...
... première abbesse de Jouarre , morte vers 660. La crypte remonterait , dit - on , à la fon- dation de l'abbaye et les voûtes auraient été refaites au x'ou au XI ° siècle . Nous avons là un exemple de ces fondations , com- munes alors ...
Page 35
... Jacques - François Begouen- ( 1 ) Ce traité a été publié pour la première fois par M. H. Omont , dans le Bulle- tin de la Société de l'Histoire de Paris , 1884 . Demeaux , né à Saint - Jacques - du - HAVRAIS ET RUSSES AU XVIII SIECLE ...
... Jacques - François Begouen- ( 1 ) Ce traité a été publié pour la première fois par M. H. Omont , dans le Bulle- tin de la Société de l'Histoire de Paris , 1884 . Demeaux , né à Saint - Jacques - du - HAVRAIS ET RUSSES AU XVIII SIECLE ...
Page 40
... première moitié de l'année 1764 , qu'il s'était lié d'amitié avec le Gênevois Duval , joaillier de la Couronne , avant d'aller à Varsovie . De retour en France , Bernardin de Saint - Pierre n'avait pas renoncé à son titre d'officier ...
... première moitié de l'année 1764 , qu'il s'était lié d'amitié avec le Gênevois Duval , joaillier de la Couronne , avant d'aller à Varsovie . De retour en France , Bernardin de Saint - Pierre n'avait pas renoncé à son titre d'officier ...
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Common terms and phrases
abbé DUBOIS Académie Alphonse MARTIN Antiope Arcachon Arnolphe auréole lunaire Avranches barométrique BARREY beau l'après-midi Belles-Lettres Bossuet boulevard de Strasbourg Brouillard matin Caudebec centenaires CHAMARD Cherbourg choléra chose Chrysale Ciel Cléville climat cœur collègue commerce concours conférence curé Dames décédé dentelle Dieu DUBOIS échevins FAUVEL femme Fénelon Folloppe forêt du Gâvre forts vents François Ier Gelée à glace Gelée blanche général GLANEUR Granville Hambourg Harfleur Havre herbiers hommes hygrométrique J'ai Jean MACK jeunes filles jour l'abbé l'amour l'armée vendéenne l'assemblée lettre LEVAREY livres Lubeck malades Malouins mari mariage maximum Membre correspondant Membre résidant ment millimètres Minihy Miséricorde mois Molière moyenne navires neige Normandie nuit ODALBERT passé pauvres pendant Philaminte Pluie matinée port première Président prêtre prieuré de Cléville reste RIDENT Rochejaquelein Rouen Rouget-Marseille Russie saint Saint-Malo sanitaire Sciences séance sera seulement Société Havraise soir Stofflet SUZETTE Tartufe température Thériot thermométrique travail trouve VALENTINE VILLEHERVÉ XVIIIe siècle
Popular passages
Page 188 - Ah! si vous aviez vu comme j'en fis rencontre, Vous auriez pris pour lui l'amitié que je montre. Chaque jour à l'église il venait, d'un air doux, Tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux. Il...
Page 215 - Et ce que le soldat, dans son devoir instruit. Montre d'obéissance au chef qui le conduit, Le valet à son maître, un enfant à son père, A son supérieur le moindre petit frère, N'approche point encor de la docilité, Et de l'obéissance, et de l'humilité. Et du profond respect où la femme doit être Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître.
Page 189 - Vous êtes assurée ici d'un plein secret, Et le mal n'est jamais que dans l'éclat qu'on fait . Le scandale du monde est ce qui fait l'offense , Et ce n'est pas pécher, que pécher en silence.
Page 189 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame; et je sais l'art de lever les scrupules. Le ciel défend, de vrai, certains contentements; Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 200 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 216 - Chez vous le mariage est fâcheux et pénible, Et vos discours en font une image terrible; Mais las ! il le fait lui si rempli de plaisirs, Que de se marier il donne des désirs.
Page 190 - II m'enseigne à n'avoir affection pour rien; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère , enfants , mère , et femme, Que je m'en soucierais autant que de cela.
Page 215 - Votre sexe n'est. là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute-puissance. Bien qu'on soit deux moitiés de la société...
Page 205 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait : De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 217 - ... d'un seul regard elle se fait entendre, et on craint de lui déplaire ; elle donne des ordres précis ; elle n'ordonne que ce qu'on peut exécuter; elle reprend avec bonté, et, en reprenant, elle encourage.