qu'une même façon de penser, a fait connaître à diverses reprises, et tout récemment encore, « qu'il n'y avait rien dejdécidé sur ce serment; qu'il était très-persuadé qu'il ne fallait point inquiéter ceux qui l'avaient prêté, quel que fût leur état, et que ce point était sans difficulté. » 8 M. l'évêque de Langres ayant appris que des prêtres, autorisés à exercer le ministère dans son diocèse, avaient voulu exiger de quelques personnes la rétractation du serment, leur a aussitôt retiré ses pouvoirs. Quelles réflexions ne fait pas renaître ce trait de conduite de la part d'un évêque si zélé, si savant, et bien à portée de connaître les intentions du Saint-Père et celles d'un grand nombre de ses collègues? Tous les faits que l'on vient de citer sont constants. Après cela est-on vraiment fondé à soutenir et à publier que les évêques de France condamnent unanimement le serment, et que, pour se conformer à leurs intentions et à leurs ordres, il est nécessaire qu'on le rétracte? Examinons à présent si, dans la vérité, on a été mieux fondé à avancer que le Pape le condamne, et à supposer qu'il est au moins présumé en exiger la rétractation. ་ On allègue pour preuve principale, c'est même la seule qu'on allègue, un fragment de lettre écrite par M. L. M. à un ecclésiastique de Paris, dans les premiers mois de 1793, d'après laquelle il paraîtrait que le Pape n'approuvait pas le serment, et désirait que sa façon de penser fût communiquée à cet ecclésiastique. Mais outre que le fragment de lettre prouverait seulement l'opinion particulière du Pape à cette époque; outre qu'on a tout sujet de croire que si le Pape a été d'abord indisposé contre le serment, il ne l'a point été également dans la suite: outre qu'il est absurde de donner le caractère d'un jugement quelconque à une simple opinion énoncée dans une lettre faite pour être et pour demeurer très-secrète, c'est que le fait même énoncé dans la lettre souffre bien des difficultés du moins l'on sait que le fragment de lettre littéralement copié ayant été envoyé au cardinal Zélada par des personnes qui désiraient en avoir la confirmation, le cardinal répondit : « Que les personnes sensées ne devaient pas s'en rapporter à ce que dit un particulier qui écrit suivant sa propre manière de penser. » 9° Le Pape, consulté par des évêques ou des prêtres qui supposaient que le serment était condamné, et demandaient seulement quelle espèce de peines les prêteurs de ce serment avaient encourues, a répondu constamment: <«< qu'il n'avait porté aucun jugement sur le serment, et que ceux qui l'avaient prêté n'avaient encouru par conséquent aucune peine. »> Et remarquez que toute condamnation faite par un autre que le Pape serait au moins irrégulière; que le Pape seu!, ainsi que l'observe le cardinal Zélada, est en droit de prononcer dans cette cause, parce que la question intéressant une aussi grande Eglise que l'Eglise gallicane, un nombre aussi considérable d'évêques, de prêtres, de fidèles, c'est une de ces causes majeures que les plus zélés défenseurs de nos libertés conviennent être réservées de droit au Saint-Siége: ce qui est encore plus vrai, lorsque le jugement lui en a été déféré par les parties elles mêmes. Il est donc très-avéré et très-manifeste que le Pape n'a porté aucune espèce de jugement. Il s'est contenté de dire que ceux qui avaient prêté le serment devaient aviser à leur conscience, parce que dans le doute on ne doit pas jurer: Consciencia tua consulunt, cum in dubio jurare non liceat. La maxime est incontestable. Ainsi, ceux à qui la conscience rend ce témoignage, qu'ils ont prêté le serment dans le doute s'il était licite, ont agi contre le respect qu'ils doivent au saint nom de Dieu, et doivent obtenir l'absolution de cette faute. La décision du Pape ne va pas plus loin. Mais le Pape, de plus, a déclaré trèsexpressément que ceux qui avaient prêté le serment n'étaient jusqu'ici obligés, par aucune espèce de loi, à le rétracter. Voici la décision entière; observez qu'elle est du 26 juillet 1794. C'est apparemment la connaissance de cette décision qui a déterminé les évêques de Fribourg à ne plus prescrire de rétractation. Quid agendum eum secundi æqualitatis ac libertatis juramenti labe pollutis, si pœnitentiam petant, nec tute præstitum juramentum publice retractandi spes ulla affulgeat? Telle est la demande faite au Saint-Siége, et voici la réponse : Ad dubium rescribendum mandavit satis esse quod ii qui præstiterunt juramentum libertatis et æqualitatis consulant conscientiæ suæ, cum in dubio jurare non liceat; neque ulla lege usque modo obstringi, nondum prolato sanctitatis suæ judicio, ad emittendum ejusmodi juramenti retractationem. Le Souverain Pontife croit si peu qu'on n'a pu prêter le serment sans blesser grièvement la conscience, et ceux qui ont cru devoir faire cette démarche ont si peu mérité à ses yeux de perdre sa confiance, qu'un ecclésiastique, non résidant à Paris, que le Pape sait très-bien avoir prêté le serment et ne l'avoir point rétracté, a été investi, de sa part, de pouvoirs très-importants, dans l'ordre spirituel, pour toute l'étendue de la France. Cette conduite du Souverain Pontife ne contraste-t-elle pas singulièrement avec celle de quelques vicaires) généraux, qui, sur le prétexte de zèle et de respect pour les décisions du Saint-Siége, jugent indignes de toute confiance les prêtres qui ont prêté le serment, les dépouillent de toute juridiction, et voudraient les soumettre à une longue pénitence? Pour achever de convaincre le vicaire général de Toulouse qu'il doit fort peu compter sur les relations qui lui ont été faites, on observe que sa lettre est accompagnée d'un corps de décisions qui lui ont été an-, noncées comme émanant du Pape et des évêques. Or, parmi ces décisions, il en est quelques-unes qui, loin d'être émanées du Pape, sont en opposition avec des décisions que le Pape a très-certainement données. On n'en produira qu'un exemple. C'est ainsi qu'on fait décider le Pape : ARTICLE II. « Les ornements et les pierres sacrées ne sont plus nécessaires. Tout ce qui n'est que de droit ecclésiastique positif cesse aujourd'hui d'obliger. » Voici maintenant une réponse donnée par le Pape, le 26 juillet 1794, à cette question: Petitur facultas celebrandi Missam absque altari, absque ministro, absque ornamentis. R. Sanctissimus de concilio sacræ cardinalium Congregationis, attentis luctuosissimis circumstantiis de quibus agitur, benigne concessit oratoribus facultatem celebrandi Missæ sacrificium sine ministro et super altari portatili. Iisdem præterea concessit facultatem consecrandi aliaria portatilia, cum oleis tamen ab episcopo consecratis, et benedicendi sacerdotalia indumenta, non tamen celebrandi in habitu laicali. On voit que la permission de célébrer sans autel et sans ornements est formellement refusée. Le Pape n'a donc pas pu décider que les pierres sacrées et les ornements n'étaient plus nécessaires; et si le principe général mis en avaut et donné comme approuvé par le Pape, était vraiment approuvé par le Pape, savoir que «< tout ce qui n'est que de droit ecclésiastique positif cesse aujourd'hui d'obliger,» le Pape n'aurait point encore exigé dans la décision précédente, que l'huile qui servirait à la consécration des pierres sacrées fût bénite par un évêque et les pierres sacrées sacrées et les calices consacrés eux-mêmes ne seraient pas nécessaires pour la célébration du saint sacrifice : car les bénédictions et les consécrations ne sont nécessaires que de droit positif ecclésiastique, et non de droit divin. Il est donc bien prouvé que quand on a assuré le vicaire général de Toulouse que le Pape et les évêques condannaient unanimement le serment, le témoignage n'a pas été conforme à la vérité, et quand on impose l'obligation étroite de le rétracter, c'est sur un fondement ruineux que l'on s'appuic. On croit inutile de rien observer sur les intentions et les motifs qu'on prétend avoir empêché le Pape de prononcer une condamnation. Des intentions et des motifs qu'on ne connaît ordinairement que par des conjectures, sont-ils faits pour servir de règles et de principes de décisions dans une controverse aussi importante: et d'ailleurs, quelle confiance ajouter aux témoignages que rendent sur les intentions ordinairement secrètes, des personnes qui, dans la même affaire, se sont trompées sur des faits palpables? On ne croit pas devoir s'arrêter sur l'imputation faite au serment dans la Lettre du vicaire général, de renfermer « un consen tement à la destruction de la religion, à la proscription de ses ministres, au renverse-. ment de toutes les lois de la société humaine, » etc., etc., etc. Une imputation aussi odieuse et aussi étrange montre seulement sous quelle forme hideuse se sont présentées la liberté et l'égalité aux yeux de ceux qui ont blâmé le serment; et combien ils étaient éloignés de ne voir, ainsi que n'y ont vu ceux qui l'ont prêté, dans la liberté, que le droit d'être gouvernés par des lois et non par des volontés arbitraires; et dans l'égalité, que l'exclusion des priviléges dans la répartition des impôts, l'admission aux dignités, et l'application des châtiments. Oh! combien de justes plaintes de la part de ceux qui ont prêté le serment, n'autoriseraient pas les procédés d'un si grand nombre de ceux qui, en France, lui ont été opposés. Combien en est-il parmi ces derniers qui ont poussé l'excès de la prévention jusqu'à tomber eux-mêmes dans le schisme, jusqu'à renouveler l'hérésie des vaudois et des donatistes! Car il en est qui ont rompu ouvertement toute communion avec ceux qui avaient fait ce serment. Et que qualifiera-t-on schisme antischismatique, si on ne qualifie pas ainsi la séparation dans les choses spirituelles, dans un nombre si considérable d'évêques et de prêtres, de fidèles, qui constamment ont conservé la communion de l'Eglise? Il en est d'autres qui ont soutenu que ceux qui avaient prêté le serment, par là même avaient perdu toute juridiction et tout pouvoir d'absoudre ce qui est retomber dans l'hérésie des vaudois. Enfin, il en est qui ont cru devoir rebaptiser les enfants baptisés par les prêteurs du serment; et voilà encore l'hérésie si ancienne et si odieuse des donatistes. L'ignorance dans de semblables cas peut excuser bien des fidèles; peut-elle excuser des prêtres? Au reste, ceux qui ont prêté le serment s'abstiennent de toute espèce de plainte et même de toute observation sur les maux qu'eût entraînés le sentiment et la conduite de leurs adversaires. Ils rendent justice à la foi, au zèle, à la magnanimité sacerdotale de la plupart de ceux qui les censurent. Ils sentent parfaitement, par les préventions qu'eux-mêmes ont eues d'abord contre le serment, comment des confrères qui n'habitaient point Paris comme eux, qui comme eux n'avaient pas la faculté de conférer et de s'instruire, ont d'abord aussi conçu les mèmes préventions, ont dû les conserver et ne consulter qu'elles dans leur jugement et leur conduite. Ils reconnaissent avec candeur que, s'ils avaient partagé la position de leurs confrères, très-vraisemblablement ils auraient aussi partagé leurs sentiments et suivi leurs exemples. Mais, en rendant à ceux qui ont refusé le serment la justice qui leur est due, ceux qui l'ont prêté n'en sont pas moins fondés à de Diander : 1° Qu'on ne leur impute pas des erreurs et des sens pervers, dont ils furent toujours très-éloignés; VI. Combien il est avantageux d'avoir un directeur VII. La voie de la perfection est plus douce qu'on VIII.-Union entre les personnes qui servent Dieu. 42 IX. C'est une fausse humilité de ne point tomber d'accord des grâces dont Dieu nous favorise. X. - Confiance dans la bonté et la puissance de Dieu, et mépris que nous devons faire du démon. II. Les troubles de la religion en France ont enga gé sainte Thérèse à établir une observance si étroite III. Joie de sainte Thérèse et de ses filles, lorsque dans la fondation de leurs monastères, elles étaient par- IV. Exhortation aux religieuses du monastère de Saint-Joseph d'Avila, sur la pauvreté avantages qu'elle VI. Obligation dans les monastères de religieuses, de prier Dieu pour les ecclésiastiques et les religieux qui travaillent dans le monde. Prière de sainte Thérèse. VII. — Amitiés particulières très-dangereuses dans les VIII. Langage que doivent tenir les religieuses. 95 IX. Attachement à son confesseur souvent très pré- X. - Amour spirituel des âmes parfaites pour Dieu et XI. Qualités admirables de l'amour que les person- nes saintes ont pour les âmes à qui Dieu les lie. Quel bonheur c'est d'avoir part à leur amitié. La compassion XII. Amitié compatissante et en même temps géné reuse que doivent avoir les religieuses les unes pour les autres elle éloigne la division qui est la peste des mo XIII. Détachement des parents, nécessaire et très- XIV. On doit se détacher de soi-même, et ne pas prendre tant de soin de son corps. XV. On ne doit point se plaindre pour de légères indispositions, ni tant appréhender la mort. XVI. Nécessité de la mortification intérieure. XVII. Combien il est important de mépriser les prééminences, et de ne point murmurer d'aucune préfé- XXVI. Manière dont les supérieurs doivent se con- 132 et dont la plupart conviennent à tous les fidèles. 135 XXVIII. Autres avis de sainte Thèrèse, données de- puis sa mort, par le moyen de l'illustre et vénérable fille Catherine de Jésus, fondatrice du couvent de Veas, au P. Jérôme Gratien, premier provincial de la réforme, et aux Chapitre premier. Il ne faut paint écouter ceux qui prétendent que la voie de l'oraison mentale est dange- II. Il n'y a point de véritable oraison vocale sans la mentale injustice des hommes qui blâment l'oraison III. Peines des personnes qui sont partagées entre IV. Continuation de l'oraison durant les infirmités. VII. Erreur des auteurs qui conseillent de ne point envisager l'humanité de Notre-Seigneur dans l'oraison. VIII. Moyens d'être recueillis dans l'oraison. 158 IX. Utilité du recueillement et de la pensée que X. On peut, sans le don de l'oraison mentale et con- templative, parvenir à la perfection. XII. L'obéissance et la charité peuvent nous élever à la plus haute perfection: ces deux vertus préférables à toutes les consolations de l'oraison et aux ravissements même On ne doit point craindre de quitter l'oraison et la solitude, lorsque les occasions de pratiquer ces vertus y obligent. Exemples que la sainte en rapporte, et con- Plaisir inconcevable de l'âme dans l'oraison XIV. Oraison de ravissement ou d'extase; état de l'âme dans cette oraison; réflexions et sentiments admi- Lettre première. A dom Laurent de Cépède, frère de la sainte, résidant au Pérou. — Elle lui rend grâces d'une somme considérable qu'il lui avait fait tenir dans le temps qu'elle était le plus embarrassée pour la fondation du cou- vent de Saint-Joseph d'Avila, le félicite sur le dessein qu'il avait de se retirer du monde, et lui rend compte de l'état actuel de sa famille en Espagne. II. A Mme Guyomar Pardo et Tavera. La sainte la console sur la maladie de madame sa mère, et lui III. A dom François de Salcède, gentilhomme d'A- V.A Mme Agnès Nieto. - La sainte lui parle de l'usage de la prospérité, et de la réception d'une fille VI. A des demoiselles qui désiraient d'être Carmé- lites. La sainte leur donne de sages avis pour surmon- ter les obstacles qu'on formait à l'exécution de leur des- VII. A dom Laurent de Cépède, son frère. Elle le confirme dans le dessein qu'il avait de repasser en Espa- VIII. A MIle Isabelle Chimène, à Ségovie. — La sainte la fortifie dans le dessein qu'elle avait de se faire Carmélite, et lui donne son agrément. IX. Au révérend P. Dominique Bagnez, de l'ordre de Saint-Domique, l'un de ses confesseurs. La sainte lui rend compte de l'excellente vocation d'une fille qu'il l'avait priée de recevoir sans dol, et lui donne quelques X. A dom Tutonio de Bragance, depuis archevêque d'Ebora.-La sainte lui donne des avis utiles, le console, et le remercie de quelques aumônes. XI. — A la révérende Mère Marie-Baptiste, prieure du monastère de Valladolid. La sainte lui annonce l'espé- rance qu'elle a conçue de voir bientôt la fin de la longue persécution qu'elle avait éprouvée à Séville, lui apprend les secours qu'elle a tirés de son frère, dont elle fait l'é- XVI. - Au révérend Père Gratien de la Mère de Dieu. La sainte l'exhorte à ne chercher que la gloire de Dieu, et le prie de maintenir le règlement qui défend de manger aux parloirs des Carmélites. XVII. A la révérende Mère Marie de Saint-Joseph. La sainte veut qu'on préfère dans ses maisons la sim- XVIII. Au révérend Père Jérôme Gratien. - La sainte le félicite de la spiritualité de ses lettres et de ses XIX. Au révéreud Père Louis de Grenade, de l'ordre XX. A Mgr dom Alvaro de Mendoça, évêque d'Avila. - La sainte y fait la critique de quatre petits ouvrages composés par différentes personnes, sur un sujet spirituel donné par l'évêque, à l'occasion d'une révélation qu'elle XXI A dom Laurent de Cépède, son frère. Elle le reprend d'un vœu qu'il avait fait trop légèrement. l'exhorte à prendre plus de soins qu'il ne faisait de ses XXII. A dom Laurent de (épède, son frère - La sainte continue la correspondance spirituelle qu'elle avait avec son frère, et lui marque le chagrin qu'elle a que ses ravissements l'aient reprise. Elle lui apprend ce que c'est que cet état, où il cominençait à entrer lui-même; et à cette occasion elle lui explique les couplets qu'elle lui avait envoyés par sa précédente lettre, lui donne des conseils de direction, et lui fait présent d'un cilice, en lui prescrivant la manière dont il doit s'en servir. 258 XXIII. A dom Laurent de Cépède, son frère. — Elle lui rend compte de l'état de sa santé, et continue de lui donner des instructions pour la vie spirituelle. - A dom Laurent de Cépède, son frère. XXVI. Au roi d'Espagne, Philippe II. - La sainte 248 - 250 - 255 XXXI. - A la révérende Mère Marie de Saint-Joseph. 257 - 238 XXXIII. A la révérende Mère Marie de Saint-Joseph. - XXXV. Au révérend Père Jérôme Gratien. — La 262 XXXVI.-Au révérend Père Marian, Carme déchaussé. Aux religieuses Carmélites déchaussées - XXXVIII. A Mme Agnès Nieto. Lettre de condo- 266 XXXIX. Au révérend Père Jean de Jésus Rocca, XLI. A la révérende Mère Marie-Baptiste, sa nièce, 269 XLII. A dom Laurent de Cépède, son frère. - Elle XLIII. Au révérend Père Jérôme Gratien. - La - 273 XLV. A la révérende Mère Marie de Saint-Joseph. XLVIA la révérende Mère Marie de Saint-Joseph. XLVII. Au révérend Père Jérôme Gratien. - Mé- LIV. A Mgr dom Alonzo Vélasqué, évêque d'Osme, LV. Au révérend Père Jérôme Gratien. - Plaintes LVI. A une religieuse d'un autre ordre, qui désirant LXI. A la révérende Mère Marie de Saint-Joseph LXII. A la sœur Eléonore de la Miséricorde, no- LXIII.-A la sœur Thérèse de Jésus, nièce de la sain- |