Oeuvres complètes de Voltaire. Tome premiere. [-, Volume 1; Volume 63De Imprimerie de la Société littéraire-typographique., 1785 |
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Page 30
... place , je vous aurais demandé la préférence . J'ai été fi malade , depuis près de deux mois , que j'ai cru que je le gagnerais de vîteffe , et alors je me ferais recommandé à vos bontés . L'académie me devient plus chère que jamais ...
... place , je vous aurais demandé la préférence . J'ai été fi malade , depuis près de deux mois , que j'ai cru que je le gagnerais de vîteffe , et alors je me ferais recommandé à vos bontés . L'académie me devient plus chère que jamais ...
Page 42
... place à la jeunesse . Il y a et il y aura toujours à Paris beaucoup de jeunes gens qui font et qui feront très - joliment des vers ; mais ce n'est pas affez de les faire bons , il leur faut un je ne fais quoi qui force à les retenir par ...
... place à la jeunesse . Il y a et il y aura toujours à Paris beaucoup de jeunes gens qui font et qui feront très - joliment des vers ; mais ce n'est pas affez de les faire bons , il leur faut un je ne fais quoi qui force à les retenir par ...
Page 43
... place , malgré la canaille des Frèron , des Clément et des Sabatier . Vous avez de la gloire et un commencement de for- tune . On dira de vous comme à Tibulle : Gratia , fama , valetudo contingit abundè , Et mundus victus , non ...
... place , malgré la canaille des Frèron , des Clément et des Sabatier . Vous avez de la gloire et un commencement de for- tune . On dira de vous comme à Tibulle : Gratia , fama , valetudo contingit abundè , Et mundus victus , non ...
Page 71
... place . Mon unique défir eft d'être oublié dans ma folitude , non pas oublié de tout le monde ; car je défire bien vivement que , vous et M. d'Argental , vous vous fouveniez toujours de moi : je vous prierai même de parler quelquefois ...
... place . Mon unique défir eft d'être oublié dans ma folitude , non pas oublié de tout le monde ; car je défire bien vivement que , vous et M. d'Argental , vous vous fouveniez toujours de moi : je vous prierai même de parler quelquefois ...
Page 73
... place pour Cicéron , pour Catilina et pour Cefar , dans les fêtes qu'on prépare pour les princeffes des pays fubjugués autrefois par ce Céfar , je compterais fur vos bontés auprès de monfieur le maréchal dont vous êtes l'ami . Votre ...
... place pour Cicéron , pour Catilina et pour Cefar , dans les fêtes qu'on prépare pour les princeffes des pays fubjugués autrefois par ce Céfar , je compterais fur vos bontés auprès de monfieur le maréchal dont vous êtes l'ami . Votre ...
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Common terms and phrases
affaire affez affurément auffi avez Barmécide befoin bontés c'eft c'eſt cher ami cher ange chofe cœur COMTE D'ARGENTAL confeil Confervez confolation contrôleur général Correfp corvées crois d'augufte daigné demande eft vrai embraffe envoyé eſt êtes fans doute fanté favez fefait feigneur femble fentimens fentir fera fermiers généraux Ferney fervir feul fiècle flatte foit foixante fommes font fouper fous fouvent fuis fujet furtout Genève gens homme J'ai l'honneur d'être j'avais J'ofe jamais jufqu'à jufte Kain l'abbé laiffer LETTRE long-temps m'avez MADAME DE SAINT-JULIEN madame Denis mademoiſelle malade de Ferney mandé marquis de Villette meffieurs mille livres miniftre miniſtère Monfeigneur monfieur le contrôleur mont Jura mourir n'ai n'eft n'eſt paffer paffion pardon parler pays de Gex penfe perfonne petit pays petite philofophe plaifir préfent prefque procès province Pruffe puiffe quatre-vingts raiſon reconnaiſſance refpect refte s'eft Suiffe Thibouville trente mille trifte Trudaine Turgot vieilleffe vieux malade
Popular passages
Page 262 - Shakespeare ; c'est moi qui le premier montrai aux Français quelques perles que j'avais trouvées dans son énorme fumier. Je ne m'attendais pas que je servirais un jour à fouler aux pieds les couronnes de Racine et de Corneille, pour en orner le front...
Page 261 - Il ne daigne pas même nommer Corneille et Racine ; ces deux grands hommes sont seulement enveloppés dans la proscription générale, sans que leurs noms soient prononcés. Il ya déjà deux tomes imprimés de ce Shakespeare qu'on prendrait pour des pièces de la Foire, faites il ya deux cents ans. Ce barbouilleur a trouvé le secret de faire engager le roi, la reine et toute la famille royale à souscrire à son ouvrage.
Page 357 - Et cette illusion pour quelque temps répare Le défaut des vrais biens que la nature avare N'a pas accordés aux humains.
Page 249 - Je ne vois plus que la mort devant moi, depuis que M. Turgot est hors de place. Je ne conçois pas comment on a pu le renvoyer. Ce coup de foudre m'est tombé sur la cervelle et sur le cœur.
Page 68 - César, d'Auguste, et d'empereur. Vous eussiez vu leurs yeux s'enflammer de fureur, Et dans un même instant, par un effet contraire, Leur front pâlir d'horreur et rougir de colère.
Page 195 - Il est bien clair que toutes ces maîtrises et toutes ces jurandes n'ont été inventées que pour tirer de l'argent des pauvres ouvriers, pour enrichir les traitants, et pour écraser la nation.
Page 111 - Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté. Plus on veut l'affaiblir, plus...