| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...fis tant de tours , que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile ,. las et mourant de soif et de faim ,. j'entrai chez...c'était comme à Genève ou en Suisse , où tous les habitans à leur aise sont en état d'exercer l'hospitalité. Je priai celui-ci de me donner à dîner... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pages
...j'y fis tant de tours que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim J'entrai chez un paysan dont la maison n'avoit pa* belle apparence, mais c'étoit la seule que je visse aux environs. Je croyois que c'étoit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pages
...fis tant de tours que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile , las et mourant de soif et de faim , j'entrai chez...visse aux environs. Je croyais que c'était comme à Getiève ou en Suisse , où tous les habitants à leur aise sont en état d'exercer l'hospitalité.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pages
...j'y fis tant de tours que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim, j'entrai chez un paysan dont la maison n'avoit pas belle apparence, mais c'étoit la seule que je visse aux environs. Je croyois que c'étoit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...j'y fis tant de tours que je me prnlis enfin toul-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim, j'entrai chez un...c'était la seule que je visse aux environs. Je croyais qne c'était comme à Genève ou en Suisse, où tous les Labitans à leur aise sont en état d'exercei... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 pages
...fis tant de tours que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile , las et mourant de soif et de faim , j'entrai chez un paysan dont la maison n'avoit pas belle apparence, mais c'étoit la seule que je visse aux environs. Je croyois que c'étoit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...fis tant de tours que je me perdis enfin tout-à-fait. Après plusieurs heures de course inutile , las et mourant de soif et de faim , j'entrai chez un paysan dont la maison n'avoit pas belle apparence, mais c'étoil la seule que je visse aux environs. Je croyois que c'étoit... | |
| Édouard Goumy - 1839 - 354 pages
...fis tant de tours, que je m'y perdis enfin tout à fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim, j'entrai chez un...état d'exercer l'hospitalité. Je priai celui-ci rie me donner à dîner, en payant. Il m'offrit du lait écrémé et de gros pain d'orge, en me disant... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...j'y fis tant de tours que je me perdis enfin tout à fait. Après plusieurs heures de course inutile, las et mourant de soif et de faim , j'entrai chez...aise sont en état d'exercer l'hospitalité. Je priai celui- ci de me donner à dîner en payant. Il m'offrit du lait écrémé et du gros pain d'orge ,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French language - 1849 - 638 pages
...tout à fait. Après plusieurs heures de course inutile , las et mourant de soif et de faim ^'entrai chez un paysan dont la maison n'avait pas belle apparence;...Genève ou en Suisse , où tous les habitants à leur a ise sont en état d'exercer l'hospitalité. Je priai celui-ci de me donner à dîner en payant. Il... | |
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